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Enchainement imprévus

Chapitre 3

Gay
Il me prend les fesses de ses deux mains puis les écartes dévoilant au maximum mon petit trou envieux d’être ouvert rapidement ! Fabien passe un premier coup de langue dessus qui me procure une sensation bien plus forte que d’habitude, le fait de savoir que le garçon que j’aime me fait l’amour accentue d’avantage mes désir, mes envies et mon plaisir ! Du bout de sa langue, Fabien joue avec mon anus pendant plusieurs minutes, je ne peux retenir des gémissements de plaisir s’échapper de ma gorge, mêlant ses doigts à sa langue, il m’en insert deux d’un coup faisant pulsé un cri de jouissance de ma bouche. Le bougre sait y faire j’ai l’impression, j’ai terriblement chaud, de la sueur coule sur mon front, j’en peu plus, je veux qu’il me prenne comme un dingue, qu’il me démolisse le cul. Je me mets à rouler des hanches pour le lui faire comprendre qu’il ne tarde pas. Il se redresse, me relève à quatre pattes, pose sa bite contre mon anus et pousse doucement, petit à petit mes chair s’écarte sous l’intrusion de son membre, le gland passé, mon anneau cède et Fabien m’enfesse d’un coup plongeant son sexe de 20 centimètre dans mon fondement. Sous l’intrusion, un puissant cri de bien être s’échappe de ma gorge, la jouissance est déjà présente et j’éjacule sur mes draps sans m’être touché ! Fabien entame un va et viens rapide et régulier, sortant presque complètement sa bite de mon anus pour la rentré entièrement la seconde suivante, chaque coup de boutoir m’arrache des cris de jouissance incroyable.
_Putin, ton cul est sublime Ange, je ne vais pas tarder à venir !
Le plaisir trop intense m’empêche de répondre, je ne veux pas qu’il s’arrête, je veux qu’il continue encore longtemps. Seulement quelque seconde après, il se plaque contre mes fesses, je sens ses jets de sperme toucher mes entrailles me procurant d’avantage encore de plaisir. Je sens Fabien se retirer doucement de mon cul, du sperme coule le long de mes couilles pour atterrir sur les draps, toujours à quatre pattes, je tourne la tête et vois Fabien affalé contre le mure, la bite molle englué de son sperme satisfait de sa séance de baise. Je m’assoie face à lui, plus frustré que comblé, il semble qu’il ne veuille pas continuer.
_C’était super, dit Fabien !_Heu, Ouai si tu le dit, répondit-je sans grande conviction !
(Je suis quelqu’un de très direct, vous le remarquerez surement au fil de mes histoires !)
_Ta pas aimé ? Demanda t-il_Non, trop rapide Fabien, faut faire duré là, sa à pas duré 10min !_C’est ton cul qui est trop bon Ange, je n’ai pas pus me retenir !_A la partouze d’hier, il ne crachait pas aussi rapidement donc il pouvait se retenir._Ba alors retourne les voir dans ce cas là, me dit-il sur le ton de la colère._Oui, c’est peut être ce que je vais faire du coup !
Je le provoque pour que sa fierté ressorte et qu’il se reprenne en main, j’aime manipuler les gens et sa à l’air de marcher ! Il recommence à bander dure, je lui présente à nouveau mon cul, avec rapidité il se replace derrière moi et m’encule en un grand coup de reins m’arrachant un nouveau cri de plaisir ! Plus brutal que tout à l’heure, Fabien me tien par les épaules et m’empale vivement sur son membre en des vas et viens très rapide, la jouissance est tout de même présente, je hurle de plaisir sous cet assaut incroyable à mon cul, je joui une nouvelle fois, des étoiles danses devant mes yeux, mes bras se dérobe, je me retrouve ventre sur les draps, le cul en l’air totalement offert au priape qui me pilonne l’arrière train.
_Ta pas eu ta dose, tu va l’avoir maintenant mon p’tit gars ! Dis Fabien
Pendant de longue minute qui me paressèrent une éternité comparé à avant, Fabien me pilonna rapidement et durement le cul pour une jouissance jusque là jamais atteinte, je ne suis plus que jouissance dans tout le bas ventre, j’ai le cul en feu, mes entrailles réclame toujours plus de ce priape qui me démoli la prostate. Une onde de chaleur intense se propage dans tout mon corps pour venir éclater sur mon visage me procurant une jouissance jusqu’à lors inconnu, instinctivement je me cambre d’avantage accentuant encore mieux la pénétration, tout mes muscles se raidisse puis me lâche, je tombe mollement sur le matelas dans une semi conscience flottant dans un univers bienveillant emplis de plaisir.
A mon réveil, je suis toujours sur le ventre mais allongé, le cul éclater mais comblé, un liquide visqueux et froid coule sur mon visage, je remarque que Fabien m’a allongé la tête sur sa bite débander enduite de sperme et m’en à recouvert la totalité du visage.
_Alors le deuxième round t’a plu ? Me demande t-il._Oui très, j’ai jamais jouis autant, c’était super Fabien.
Malgré cette super séance, j’en veux encore, mais je sais très bien comment je suis j’abuse un petit peu parfois quand même, je n’en dit rien de peur une nouvel fois de vexer Fabien. Je renfile juste mon boxer et mon pantalon, il fait chaud dans la maison, je vais chercher une bière pour chacun, nous parlons longuement ensuite Fabien et moi.
_Depuis quand tu sais que tu es gay, me demande Fabien_Depuis toujours, déjà gamin je regardais les autres garçons, sans comprendre vraiment pourquoi mais je les regardais déjà._Et à quel âge tu as eu ta première fois ?_A 12ans j’ai fait ma première pipe, et à 13ans je me suis fait enculer._Sa c’était passer comment ?_Plutôt mal, on ne savait pas vraiment s’y prendre et j’ai eu vraiment très mal, j’ai eu pas mal peur par la suite, puis j’ai rencontré un autre garçon qui savais y faire et qui m’a redonner le gout au sexe ! Un garçon merveilleux, qui n’a plus donner de nouvel jusqu’à très récemment d’ailleurs, tu le connais peut être, il s’appelle Kylian, il était avec nous au collège._Oui je me souviens bien de lui, c’était devenus une mascotte parce que il revendiquait haut et fort son homosexualité et trainais toujours avec son copain.
Nous avons continué à parler longuement de chose et d’autre, Fabien s’intéressa plus particulièrement à ma vie sexuelle passé, mes conquêtes, mes expérience, mes fantasmes, je n’avais malheureusement pas grand-chose à raconter car hormis ce Kylian, je n’avais jamais vraiment été comblé sexuellement parlant.
Je m’en vais à la douche histoire d’être propre pour une prochaine baise, je n’invite pas Fabien, mais ne le rejette pas non plus, au contraire, j’espère bien qu’il va me rejoindre. Nu et entré dans la douche, je commence à me laver le visage principalement à cause du sperme sécher sa me tiraille la peau, puis l’anus, je m’enfile deux doigts facilement pour bien être propre. A peine dix minutes que je suis entrée, j’entends Fabien entrée dans la salle de bain, je fais comme si je n’avais rien entendus et continue de me laver. Il finit par ouvrir le rideau de douche et entre dans la baignoire, je fais la mine surprise. Il me prend par la taille et m’embrasse d’un long baisé passionné qui me fait fondre comme neige au soleil. Il finit par me lâcher la bouche puis descend petit à petit, il lèche mon torse, dévores mes tétons, lape mon ventre puis finit par engloutir ma bite bander au maximum. En même temps il me caresse de ses mains le dos puis finit par me malaxer délicieusement les fesses. Le tête rejette en arrière, l’eau me coule sur le visage puis sur celui de Fabien, les yeux clos, je gémit sous les multiples caresse de mon amant. Les mais sur sa tête, je commence à donner le rythme pour la fellation qu’il m’offre, sans que je m’y attende, il m’enfesse de trois doigts d’un coup, m’arrachant un gémissement plus haut, ma bite tressaute dans sa bouche et lâche quelque goutte de sperme, il ne semble pas en être gêné. Il me fiste vivement, me suce et me branle en même temps, je finis par hurler de plaisir et lâche tout ce que j’ai dans les couilles dans la petite bouche de Fabien. Instinctivement je plaque son visage contre moi le faisant avaler entièrement ma bite, du sperme s’échappe entre ses lèvres, je le lâche, il se retire et crache mon sperme dans la baignoire évacué rapidement par l’eau.
_Je voulais voir quel gout sa pouvais avoir, ba ce n’est pas bon, dit-il en grimaçant._Tu aurais pus me le garder pour moi, mais bon temps pis, aller encule moi maintenant j’en est trop envi.
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