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Enfin, j'assume !

Chapitre 2

Travesti / Trans
Chapitre 2

15h30, me voilà sur le palier, Anne :— On se dit à Vendredi Julie ?— Oui, Anne, mais pour la clef de la cage ?— Eh bien comme je te l’ai dit, pour l’instant tu es ma soubrette ?— Oui— Donc, quand tu auras trouvé un ou une partenaire, je la lui donnerais personnellement !— Ok, on fait comme ça— A vendredi— A vendredi, Anne.On se bise, et Anne referme la porte de son appartement.Je suis sur le palier, dans la main gauche, un sac poubelle, avec mes affaires d’homme, et dans la droite, un autre sac avec le reste de mes affaires de filles.Je descends et rejoins ma voiture, je rentre chez moi, si ça roule dans un quart d’heure, j’y suis.Je me gare, pas le choix, je rentre chez moi, ainsi, de toute façon, j’en ai que faire des regards des autres, j’habite au 5éme avec ascenseur, mais la réflexion d’Anne sur mes 2 ou 3 kilos en trop, me fait prendre les escaliers. Devant ma porte, le voisin (marié environ 42 ans), me sourit et me mâte. Il me dit « bonjour », sur un ton charmeur, je ne réponds pas et entre dans mon appartement. Je fais de l’effet aux hommes !Je range mes affaires d’homme, et enfin je me décide à laisser une place dans mon armoire à mon autre moi, il n’y a pas grand-chose, j’accroche sur un cintre ma robe de soubrette, et la robe blanche d’Anne (qu’il faut que je lave), mon corset en satin, les bas et culottes dans un tiroir.Dans la salle de bain, je m’observe, et me prends en photos, pour bien reproduire le maquillage d’Anne, d’ailleurs à ce propos, il faut que je passe au Printemps, Anne m’a laissé une liste des indispensables pour moi.Je repense à Florence la gérante du magasin ETAM, je retrouve son 06, et je lui envoie un texto :« Bonjour Florence, c’est Julie, tu m’as laissé ton n°, je ne sais que faire ce soir, si ça te dit, on pourrait passée la soirée ensemble ?, bises  »Voilà, plus qu’à attendre, pas longtemps, elle me répond très vite :« Bonjour Julie, enfin j’ai de tes nouvelles, je n’y croyais plus, je suis ravie de ton SMS, ton coté transgenre m’a séduite, je suis tombée sous ton charme… »Je lui réponds :« Je ne suis pas transgenre mais travesti, Florence »« Oups, excuse-moi Julie, je ne voulais pas te blesser, mais tu es si belle, et je suis heureuse qu’un homme se cache sous cette apparence plus que féminine »
« Merci de ce compliment, Florence »« C’est tout naturel, je peux te poser une question intime ? »« Oui »« Tu es gay ? »« Non, bisexuel »« Ouf, enfin un type qui m’intéresse et qui n’est pas gay  »« Pour te rassurer Florence, je suis plus hétéro, mais j’aime, excuse-moi l’expression : j’aime que l’on me titille mon intimité »« Tu sais Julie, il n’y a pas besoin d’un homme pour ça, une femme seule a toujours des sextoys avec elle »« mdr »« Ça fait du bien de se parler ainsi, tu passes me prendre à ma boutique ce soir ? »« Oui, vers quelle heure ? »« Je ferme à 20h, 19h30 ? »« Ok, pour 19h30 »« Tu viens en fille ? »« Bien sûr, j’ai des courses à faire au Printemps »« Quoi comme courses ? »« Des trucs de filles, lol, maquillage, etc. »« Ok, faut que j’aille bosser, y a du monde dans la boutique, à toute…bisous »« Bises »Et hop, un rencard….18h00, je passe le manteau d’Anne, toujours à pieds je descends au parking, pas de rencontre, dommage.Je me gare sur le parking.J’entre dans le magasin « Le Printemps », le vigil, du haut de ses 2m me déshabille du regard.Encore hésitante, je donne ma liste à une vendeuse. Elle s’occupera de tout, je règle. Je monte à l’étage, je flâne dans les rayons, et à la caisse je règle mes achats : une jupe courte noire avec un haut vert, une robe moulante jusqu’à la taille, et bouffante sur le bas, ainsi qu’une longue veste en cuir marron et pour finir une belle paire de bottes noire à talons de 10 cm.19h15, les mains remplies de paquets, je me dirige vers la boutique de Florence.19h30, je pousse la porte :— Bonsoir Julie, ravie de te revoir !— Bonsoir Florence, je vais faire un tour— Ok, je fais la fermeture, tu as tout le temps.— Merci.Y a plein de choses intéressantes dans la boutique, je ne vois pas le temps passé, je suis seule dans la boutique, les rideaux sont baisés, Florence a tout fermé :— Nous voilà seule Julie, tu me fais un effet fouElle se dirige vers moi, et m’embrasse langoureusement, ses mains passant dans mes cheveux, et descendantes sur mes fesses, je lui rend la pareil, mes mains sur ses fesses, puis une sur sa poitrine, pas de réticence, je remonte le bas de sa robe, pour venir lui titiller le fond de sa culotte, bien humide déjà :— Stop Julie, pas tout de suite, prenons notre temps, fais-moi voir tes achats !Je lui montre mes sacs, je lui raconte que ce que je porte n’est pas à moi, mais à Anne, et je lui explique une partie de ma journée d’hier, elle est ravie.A elle de me montrer son achat, une boite à chaussure :— J’ai fait la boutique à coté, et comme tu aimes porter des chaussures à grands talons, je suis assez grande : 1m68, mais tu me dépasses avec tes 10 cm de talons, je voulais plus grande que toi, moi, j’ai acheté ça : talons de 15 cm mais sur plateforme, plus facile à marcher, ainsi je te dépasse de quelques centimètres.— Moi aussi, j’aime tu chausses du combien ?— 37 !— Comme moi, tu pourras me les prêtées et inversement ?— Oui, pourquoi pas ! Tu as vue des choses intéressantes dans ma boutique ?— Oui, j’ai vu une superbe guêpière, là, regarde— Ah oui, elle a beaucoup de succès, celle-ci, c’est le modèle LipKiss, tu veux l’essayer ?— Oui— Tu préfères un string ou le shorty avec ?— Le shorty, s’il te plaitSur ses hauts talons, elle m’amène l’ensemble, elle passe derrière moi, j’enlève mon manteau, Florence dézippe ma robe rouge, et la laisse tomber, je suis déjà en guêpière, je comprends vite, je la laisse faire, elle a les mains douces, elle effleure mes jarretelles, dégrafe les bas, enlève mes prothèses mammaires, et les pose à côté, et toujours derrière moi, fait tomber mon shorty. Elle ne peut s’empêcher de caresser mon corps, et bien sûr, le contact métallique et froid de ma cage de chasteté l’a fait réagir :— Tu appartiens déjà à quelqu’un ?— Pas vraiment, c’est Anne qui me l’a posée hier, en rentrant le soir, j’étais sa soubrette soumise, elle en a un peu abusée, elle a eu peur de succomber à ma queue et comme elle aussi elle en porte une, elle m’a encagée— C’est elle qui a la clef ?— Oui, elle la donnera à mon partenaire.— Bon, ben je ferais sans !Elle me passe la guêpière 90B, le shorty en 36, cela me vas parfaitement. Elle revient avec un body couture beige, il modèlera ma silhouette sous une robe bien cintrée.— Je te les offre Julie— Merci Florence— J’aimerais t’habiller pour la soirée, je te mets déjà la guêpière, le shorty et le body dans un sac, laisse-moi composer ta tenue de ce soir avec d’autres dessous et tes achats du Printemps— Ok, je te laisse faire, c’est toi l’experte !Je suis nue, elle me passe un tanga en dentelle noir, un soutien-gorge double push up aussi en dentelle noir, elle y met mes prothèses, et à la taille une jupe gainante avec jarretelles, qui remonte très haut et descend bas. Elle sort ma robe verte bouffante, me la passe délicatement, aux pieds je chausse mes nouvelles bottes. Elle sort mon maquillage et parfait ce dernier, et finalise par une longue paire de boucles d’oreilles clips, bracelet et collier assortis qu’elle trouve dans sa boutique.— Voilà, une parfaite jeune femme, très sexyJe me regarde et je ne peux qu’être en admiration devant mon reflet, c’est bien moi, plus rien de masculin, je passe ma veste en cuir longue, Florence rechausse ses plateformes, passe son manteau et nous sortons de sa boutique.Dehors nous nous baladons bras dessus dessous, comme 2 copines, plutôt comme deux amantes, car nous nous échangeons des bisous dans le cou et sur la bouche. Les couples, les hommes seuls se retournent sur notre passage. Arrivée à ma voiture, elle me demande de la raccompagner chez elle, elle habite du côté de la gare.Je me gare, pas loin de chez elle. Je laisse mes affaires dans ma voiture, donc à pieds on s’approche de son appartement, on passe devant un sex-shop :— Julie, j’ai envie de passer une soirée torride avec toi, mais encagée tu ne pourras me satisfaire entièrement.— Oui, c’est vrai, tu veux quelques accessoires ?— Ben, ça serait pas mal, non ?— Si tu veux, fais ton choix, c’est moi qui règle, je te dois bien ça.On entre dans la boutique, je regarde les sextoys, elle a l’air de savoir ce qu’elle veut, car son choix est vite fait, elle apporte 4 paquets à la caisse, le vendeur nous regarde, calcule : — 178 € Mesdemoiselles— Julie, tu règles !Je sors la carte bleue, en sortant, le vendeur :— Bonne soirées les filles, si vous avez besoins d’un vrai mâle, c’est mieux que le plastique !— Non merci, ma copine a tout ce qu’il faut ! dit Florence.Il comprend quand Florence pose sa main sur mon entrejambe, il reste "con".
Voilà, nous sommes chez elle, elle tombe très vite son manteau, moi aussi, comme tout à l’heure, elle m’embrasse et me caresse, moi aussi, je ne peux m’empêcher, nos robes tombent rapidement, elle m’entraine sur le canapé, je lui enlève ses dessous aussi beau que les miens, le string, le soutien-gorge, mais je lui laisse ses DIM UP, elle me guide, et ma tête se retrouve rapidement entre ses cuisses, ma langue experte lui décroche rapidement de petits cris, surprenant aussi, elle aime aussi que celles-ci lui explorent son anus.— Stop, Jean-luc, c’est trop intense, attends, ouvrons nos paquets du sex-shopElle sort un gel lubrifiant, puis un gros plug métallique avec une petite pierre au bout : — J’aimerais que tu portes ce bijou anal pour moiEnsuite les choses sérieuses : un double dong en latex noir d’au moins 60 cm de long sur 5 de diamètre, et un gode ceinture avec des lanières en cuir, et un phallus en latex d’au moins 30 cm sur 5 de large.A genoux, elle tombe mon tanga et ma jupe gainante, pose le gode ceinture par terre, j’y passe mes pieds, elle le remonte, jusqu’à ma taille, elle ajuste et serre fortement les lanières, me voici bien membré !Tout naturellement, je la guide sur le canapé, mais elle prend la bête (le double dong) :— On commence avec lui Julie, mets-toi derrière moi, cul à cul.Donc nous sommes cul à cul, Florence lubrifie ce dernier des 2 cotés, elle commence, elle se l’introduit un peu, à toi, me dit-elle, je fais de même, il entre simultanément dans chacune de nous 2, nos cris de plaisir se mêlent, cela dure, mais chose incroyable, nos fesses se touchent, incroyable ! Nous avons engloutis la bête, ma queue encagée suinte de plaisir, j’arrive à jouir sans pouvoir bander ! Nous soufflons, et doucement on se retire l’une de l’autre, la bête tombe sur le canapé :— Je ne croyais pas, Julie, que l’on puisse aussi facilement engloutir ce gode— Certainement l’excitation mutuelle— Oui, surement ça, d’ailleurs vite avant que ton trou ne se referme, je fais te mettre ton bijou intime, j’ai pris exprès plus gros.— Je suis à ton service Florence— Tu aimes ça ?— Quoi ?— Ben, tu aimes être soumise ?— Oui, j’adore— Ok, dorénavant moi c’est Maîtresse !— Oui, Maîtresse— Tourne-toi, et écarte bien les fesses !— Oui, MaîtresseJ’écarte bien les fesses, car ce plug métallique est bien plus gros que la bête, il fait 7 cm de diamètre et 15 de long, elle ne le lubrifie pas, le contact froid du métal me contracte, il a du mal à entrer, mais quel joie quand le renflement est passé, il prend naturellement sa place, me voici avec une belle pierre rose brillante à mon anus :— Te voilà bien remplie !— Oui, Maîtresse.— Allez vient me monter ma chienne— Oui, MaîtresseJe me retourne, lui écarte les cuisses et commence à lui entrer ce phallus artificiel, la position change rapidement, je la prends aussi en levrette, pour finir, moi allongée sur le dos, et elle s’empale et donne la cadence sur ce dernier. Ses cris, sa mouille, ne peuvent cacher son bonheur et sa jouissance, elle finit sur moi par m’embrasser et me dire merci. Elle reste de longues minutes sur moi et le phallus en elle. Elle se décide enfin, elle se retire doucement, il tombe lourdement sur mon bas-ventre ! Elle remonte à califourchon, jusqu’à ma bouche, et je comprends qu’il faut que je lui nettoie sa mouille et son anus, ma langue toujours aussi experte y arrive.Elle se lève :— Merci, Julie— De rien Maîtresse !— Florence, s’il te plait, in fait une pause— Ok, j’enlève le gode ceinture ?— Gardes-le, tu n’as plus d’attributs masculins à cause de ta cage, ainsi si j’ai une envie, tu es prête !— OkElle ouvre sa penderie, passe une nuisette rouge et un tanga, et me passe une autre nuisette blanche :— Le contraste avec le noir du gode et la nuisette est vraiment bien, on mange un morceau ?— Tu veux que je prépare quelque chose ?— Regarde dans le frigo, il y a des saladesJe trouve facilement mes marques dans sa cuisine, je pose assiettes, verres, etc. et on mange !— Dis-moi Julie, d’après ce que tu m’as dit tout à l’heure, Anne t’as fait ressortir ta double personnalité, tu aimes ?— Oui, j’adore, si je pouvais rester ainsi tout le temps !— Donc tu aimes être femme, mais garder ta masculinité ?— Oui, je suis travesti, pas transsexuel.— Moi aussi je préfère, tu sais j’ai flashé sur toi quand tu es entrée dans ma boutique hier, notre différence d’âge ne te gêne pas ?— Ben je ne pense pas, tu as quel âge ?— 52 et toi ?— 27 ans— Je fais jeune non ?— Je ne t’aurais pas donné 52, mais plutôt une 42— Merci, tu es gentille ! tu restes avec moi cette nuit ?— Oui, demain aussi, demain que je sois à mon boulot lundi matin— Ok, ça va vite notre relation !— Oui, mais aussi, ma transformation fut rapide aussi, grâce à Anne !— D’ailleurs, il faut que je la remercie, tu penses que je peux la voir demain ?— Je lui envoie un SMS !
Il est 01h00, je lui envoi ce texto :" Kikou Anne, c’est Julie, j’ai fait une superbe rencontre aujourd’hui, la patronne de la boutique ETAM, elle voudrait te rencontrer demain, c’est possible ?"La réponse est rapide :" Moi je suis seule, vous pouvez passer demain midi prendre l’apéro ?"" Ok, à demain "— Ok parfait, je suis exténuer Julie, on va se coucher ?— Je reste ainsi ?— Ben oui, si j’ai une envie cette nuit !— OkOn se déshabille, Florence repasse sa nuisette, moi je garde le gode ceinture, mon double pushup, et ma nuisette en dentelle blanche, nous nous couchons côte à côte, les caresses reprennent, mes mains caressent sa très belle poitrine. Et nous nous endormons.
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