Chapitre 4 Je reste bouche-bée devant la proposition de Florence, sans mot je vais dans la cuisine pour réfléchir, tout va trop vite.Anne vient me rejoindre, elle me prend par la main :— Choix difficile Julie !— Oui, ça va trop vite !— Une proposition comme ça, j’en ai toujours rêvée, pèse les pour et les contre.— Oui, je trouve beaucoup de pour, pas de contre, c’est ce qui me fait peur.— Je ne vois ma compagne que quelques heures le week-end, profites en, elle a une situation enviable, elle te logera, t’habillera, la belle vie, quoi ! le bonheur !— Tu crois ?— Oui, elle est belle, elle a flashée sur toi, ça se voit, elle t’attendait, elle t’a montrée des signes d’affection ?— Oui, bien sûr, regarde comme je suis habillée, tu devrais voir son dressing, il te ferait envie, elle est tendre, câline, et on porte toutes les deux le même bijou anal.Elle me laisse seule en posant la clef de ma cage sur le bord du plan de travail, mais mon choix est déjà fait :Je prends la clef, Florence est debout dans le salon :— Florence, j’accepte ta proposition, voici la clef de ma cage de chasteté.— Merci Julie, je suis fière de toi, cette clef ne me quittera pas (elle l’accroche à son collier), Anne, je suis désolée mais on va partir— Vous ne mangez pas avec moi ?— Non, on va faire l’impasse sur le déjeuner, Julie a des kilos à perdre— Ok, passez une bonne fin de journée— Elle va être très chargée, dis au revoir à Anne ! JulieJe lui fais une bise.Nous rentrons chez Florence à pieds, sans aucun mots, chez elle, elle me fait rester dans son couloir à genoux les mains sur la tête, elle part dans sa chambre.Elle revient :— Je suis contente de t’avoir comme esclave, si je te pose une question : tu réponds, aucun commentaire, je ne cherche pas une compagne, je te dis de faire quelque chose, tu t’exécutes sans broncher, je choisis tes tenues, tes accessoires, etc. On va chez toi récupérer tes affaires, tes papiers, etc. Je ferais le tri, tu as quelques à ajouter ?— Non, Florence.
Elle passe derrière moi, et me passe un gros collier en cuir noir, le serre et le cadenasse aussi :— Voilà un signe extérieur de ta condition ! Allons chez toi !Nous voici dans ma voiture, direction mon appartement. Arrivée dans le hall de mon immeuble :— Tu habites lequel ?— Au 5e étage, appartement 5B— On prend l’ascenseurLes portes se referment, mais au dernier moment elles se rouvrent, mon voisin :— Bonjour Mesdames, je suis en charmante compagnie, la Maîtresse et son élève !— Bonjour Monsieur, voici Julie et moi Florence— Je connais Julie, je l’ai croisé vendredi soir, elle entrait dans l’appartement de mon voisin.Doucement il se rapproche de moi, et glisse ses mains sur mes fesses, il me les caresse, passe sa main entre mon string et touche mon bijou anal, sans rien dire ou montrer, sa main passe devant, il touche ma cage de chasteté, et se retire aussi tôt :— Mais tu es un mec ?— (Florence) Oui, c’était même votre voisin Jean— C’était toi avant-hier que j’ai croisé ?— Oui!— Eh bien dis-dons, tu vas faire des ravages (il se retourne vers Florence), et je suppose que vous êtes sa Maîtresse ?— Oui, Monsieur, vous avez tout compris— Et vous la louez ?— Comment ça ?— Une petite gâterie me ferait du bien ? combien pour une pipe ?— 30 € !— 50 € et elle avale tout !— Ok!Je ne le crois pas, sans me demander mon avis !J’ouvre la porte de mon appartement, Florence et mon voisin me suivent :— Montre-moi ton savoir-faire Julie !— C’est la 1ére fois Florence— Eh bien, fait comme si une femme te le ferait !Il est debout devant moi, je soulève son tee-shirt, dégrafe son pantalon, le baisse jusqu’aux chevilles, son boxer fait apparaitre les formes de son sexe, je passe mes mains dessus, je le caresse, je sens sa bite gonflée sous mes doigts, elle tire sur le tissu de son boxer, je la sors, elle est bien droite, et bien dure, je la prends bien fermement dans ma main, je le masturbe en le regardant dans les yeux, tout en passant ma langue sur mes lèvres. Je me rapproche de ses testicules, je sors ma langue, et lui lèche ses couilles, puis je les lui prends en bouche pendant 2.. 3 minutes…5 minutes jusqu’à ce qu’un filet de sperme transparent tombe sur le dos de ma main qui le masturbe lentement, et là je mets son gland en bouche, et je le suce comme une actrice porno. Il prend ma tête entre ses deux mains, et me baise comme si ma bouche était un vagin, il accélère, il retire sa verge, je la prends en main, pour la masturber, la reprends en bouche, il n’en peut plus, il bloque ma tête, il lâche 7 ou 8 jets de sperme chaud dans le fond de ma gorge, il se retire, je lui lèche le reste, et remonte son boxer, puis son pantalon.— Ouah, tu es sûre que c’est ta première pipe ? (Mon voisin)— (Florence) Il y a de quoi se poser des questions, mais c’est une experte en cunnilingus— (Moi) Tu m’as dit de faire comme si, et bien voici comment j’aimerais qu’une femme me le fasse.— (Florence) ça ne risque pas, ton sexe est encagé et ne risque pas de ressortir !— (Voisin) Et elle est pucelle du cul ?— Pas vraiment, comme vous l’avez senti dans l’ascenseur, elle est pluguée, tout comme moi, mais une vrai queue lui est inconnue, peut-être un jour !— Je suis volontaire pour la dépuceler, si un jour vous y pensée !— Je note, bon allez bonne soirée !Elle le raccompagne à la porte, et referme à clefs.Elle me félicite, elle est très fière de moi !Sous ses ordres, je rassemble toutes mes affaires vestimentaires, papiers dans une valise, les denrées périssables de mon réfrigérateur sont jetées à la poubelle.Retour chez elle avec mon véhicule vers les 16H00, toujours sous ses ordres, je rédige plusieurs lettres : une pour mon employeur signifiant ma démission, l’autre la résiliation de mon bail à mon propriétaire et les autres pour les différents abonnements que j’ai : eau, électricité, téléphone, etc.Je lui donne entière procuration sur mes comptes bancaires.Donc le 1er mai, je serai comme elle le désire : SON ESCLAVE !Durant le mois de gestation entre mes deux vies, en journée, je redevenais Jean-Luc, le soir soubrette Julie, et esclave sexuel, elle ne m’a toujours libérée de ma cage !
