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Enfin libre

Chapitre 2

Trash
Je restais assise, pétrifiée, regardant cet homme en train de montrer la vidéo à ses collègues, qui lâchaient leurs commentaires à voix hautes : « la salope quelle suceuse », « quelle pute, regarde comme elle avale le vieux… », « Vas y Jean, fais la venir à table, j’ai trop envie de me faire cette vieille salope ». Jean, celui qui m’avait filmé se leva et revint vers moi.— « Alors, grosse salope, tu viens ou je balance ta vidéo sur internet et j’envoie des photos à ta famille et tes voisins ? Tu préfères que tout le monde sache que tu es une vide-couilles ? Comment tu t’appelles salope ? » — « Je m’appelle Viviane, je veux bien venir mais à la seule condition que vous effaciez la vidéo. »— « Les conditions, c’est moi qui les fixe salope. Si tu m’obéis toute la soirée, peut-être que je l’effacerai, mais il faudra que tu le gagnes avec moi et mes amis. Maintenant ça suffit, lève toi ! »Alors, comme dans un rêve, je me lève de ma table, Jean m’attrape par la nuque et me force à l’embrasser, sa langue pénètre ma bouche, cherchant la mienne que je ne peux lui refuser, sous les railleries et les applaudissements de ses collègues et sous les regards amusés des autres clients du resto. Il me conduit à sa table, s’assoit et me fait asseoir sur ses genoux. Il bande très fort et ne perd pas une seconde pour écarter mes jambes et remonter sa main sur mon sexe.— « Je vous présente Viviane, cette salope m’appartient pour la soirée et croyez moi, elle aime ça, elle dégouline cette pute. On va bien s’amuser. »C’est vrai que je mouille comme une folle, la situation m’échappe complètement moi qui n’avait qu’un fantasme d’exhibition me trouve livrée à un groupe d’hommes en ruts et je suis follement excitée. Le voisin de Jean n’hésite pas à soulever ma jupe et expose ainsi ma chatte épilée investie et dilatée par la main de Jean, son autre voisin écarte violemment ma chemise, faisant sauter les boutons, mes seins jaillissent à la vue de tous, exposés par le redresse seins.Le patron du restaurant arrive alors, je crois être sauvée mais il nous propose juste d’aller dans une salle privée, ce qui est approuvé avec enthousiasme par tous les hommes présents. On se retrouve alors dans une sorte de salon, les hommes s’assoient mais me laissent debout à moitié nue.Jean m’attrape alors par la nuque, puis me force à m’agenouiller devant lui, il défait son pantalon et sort son sexe, pas très long mais trapu, avec un gland comme un champignon. Il prend sa bite dans la main et commence à me gifler les joues.— « Sors ta langue, salope et écartes bien les lèvres, je vais commencer par te baiser la bouche »J’obéis et son sexe investit ma bouche, il me tient par la tête et m’oblige à l’avaler complètement, je manque m’étouffer mais il m’oblige à m’appliquer en me filant des gifles, pendant ce temps ses collègues ont enlevé ma jupe et mon chemisier, un s’est couché entre mes jambes pour lécher mon sexe, un autre explore mon anus avec un doigt, puis deux et s’amuse à essayer de l’écarter avec ses doigts, un ou deux autres triturent mes seins et serrent mes tètons à me faire crier. Une deuxième bite se présente devant ma bouche et Jean me force à l’avaler aussi, j’ai les lèvres et la bouche distendue par ces deux bites mais ce n’est que le début. Jean me relève alors puis me force à m’empaler sur la bite énorme d’un de ses collègues, un malien prénommé Ahmed. J’ai beau être trempée, son sexe sur-dimensionné a du mal à coulisser dans mon vagin étroit. Jean aidé d’un autre collègue me soulève alors par mes jambes écartées, me positionne sur le gland, puis d’un coup me pousse violemment sur cette bite monstrueuse, j’ai l’impression d’être déchirée mais la nature est bien faite, au bout de quelques secondes, ma matrice s’est habituée et Ahmed peut enfin me faire coulisser sur sa bite. Jean en profite alors et me pousse pour m’allonger, mon cul lui est offert dans cette position et il en profite pour me sodomiser brutalement, j’ai maintenant deux bites en moi, moi qui n’avait avant cette soirée pratiqué le sexe que très classiquement me retrouve à baiser comme la dernière des traînées.Je suis secouée par les deux hommes qui se servent de moi sans chercher mon plaisir, un troisième s’approche et fourre sa bite dans ma bouche, on m’introduit une bite dans chaque main, je suis prise de partout, telle une poupée gonflable. L’homme que je suce enfonce sa bite au plus profond de ma gorge et y déverse des quantités de foutre que je suis obligée d’avaler, les deux que je masturbe s’approchent de mon visage et éjaculent leurs spermes sur mes joues, mes yeux mes lèvres. Jean et Ahmed hurlent leur jouissance et je sens leurs spermes remplir mes orifices.Ils se relèvent et me présentent leurs sexes pour les nettoyer, je lèche le gland d’Ahmed mais je refuse de nettoyer la bite de Jean, qui me bouche les narines pour m’obliger à ouvrir la bouche, au bout de quelques secondes, j’ouvre la bouche pour respirer et il engouffre sa bite souillée et m’oblige à lui nettoyer.Ils me laissent là par terre pendant qu’ils se rhabillent en buvant un coup et en commentant ma performance. Jean se penche vers moi, me montre le film qu’il avait fait et l’efface. Ca y est je suis libre, mon cauchemar est terminé. Je me lève, me rhabille avec les lambeaux de mes vêtements et me dirige vers la sortie et la liberté.Jean m’interpelle :— « Et qui t’a permis de partir salope ! »— « J’ai tenu ma promesse et tu as effacé la vidéo, on est quitte »— « On est quitte ? retourne-toi connasse et mate l’écran vidéo ! »Sur ces mots le groupe d’homme éclate de rire…..
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