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Enfin libre

Chapitre 4

Trash
J’ouvre le tiroir de ma commode et je regarde les dessous que j’ai : une profusion de strings, de bas et de soutien-gorge en dentelles, souvenirs des désirs de mon ex-mari qui, toutes les semaines, me fournissait ce genre de cadeaux. Des porte-jarretelles à foison : il avait anticipé mon avenir de salope, ce gros con !Finalement, autant assumer : j’accroche le porte-jarretelles aux bas (celles qui ont essayé avant comprendront…), l’enfile. Puis je passe un string arachnéen noir, comme mes bas, un soutien-gorge coordonné. Je regarde ensuite les vêtements que je pourrais porter et j’opte finalement pour une petite jupe tailleur noire qui m’arrive à mi-cuisses, et juste la veste qui va avec, trois boutons accrochés : si je me penche, on peut voir mes seins justes voilés par le soutien-gorge. Je me regarde dans le miroir : une vraie working-girl, un peu salope quand même… Il suffit que je me penche un peu pour qu’on voie l’attache de mon porte-jarretelles ou le liseré de mes bas en dentelles. Sûr que je vais faire fureur, au boulot…
Je monte dans ma Twingo et je pars enfin pour ma boîte. À mon arrivée sur le parking, tous les employés sont là, attendant l’ouverture des portes ; c’est moi qui ai les clefs. Je traverse le parking ; les hommes – une trentaine – sont là, les yeux ronds, à me regarder approcher en se demandant qui est cette salope qui arrive. Mes collègues féminines me regardent avec désapprobation ; j’ouvre enfin et, dans un silence lourd et sexuellement chargé, je précède mes collègues dont je sens les regards sur ma croupe mise en valeur par le tailleur.
10 heures ; mon patron est arrivé depuis une demi-heure, quand soudain il me convoque par téléphone :– Viviane, voulez-vous bien vous présenter à mon bureau ?– Bien sûr, Monsieur M. ; j’arrive tout de suite.Je me présente devant le bureau ; Claudine, la secrétaire du patron, une vieille fille austère sans âge, me regarde d’un œil méprisant et me fait poireauter pour montrer son pouvoir. Ses tenues d’un autre siècle sont d’un triste, et la comparaison avec moi donne l’impression que je suis une pute…Enfin la porte s’ouvre ; j’entre dans le bureau : Monsieur M., mon patron, est assis à son bureau ; un autre homme, de dos, lui fait face. Je m’approche : l’homme se retourne et me regarde. Jean !! Mon tourmenteur, mon maître-chanteur est là.– Entre et ferme la porte, Viviane, dit mon patron. Jean, qui est un bon ami, est venu me voir pour me dire que j’avais des personnes très capables dans mon entreprise. Et vu ce que je vois à l’écran, je ne savais pas que j’avais autant de ressources humaines à ma disposition.Je suis pétrifiée ; il n’a pas osé !! Jean me regarde avec un sourire sardonique.Mon patron me regarde alors.– Viens à côté de moi, salope !!!– Mais ?– Viens à côté de moi, sale pute, ou t’es virée !Je fais le tour du bureau et là, je vois la vidéo tournée au restaurant : je suis en train de sucer deux mecs en même temps ; un est en train de jouir sur mon visage, me maculant de longues trainées blanchâtres de sperme tandis que l’autre m’oblige à avaler la totalité de sa bite au fond de ma gorge.– Alors, tu es une vraie grosse salope, Viviane, et tu nous avais caché ça ? Mets-toi à genoux de suite et suce moi ; tu m’as trop excité, sale pute.Comme dans un rêve, je m’agenouille entre les jambes de mon patron et défais sa braguette ; son sexe bandé jaillit dès que j’écarte son boxer et, d’une pression sur ma tête, il m’oblige à l’avaler. Je commence à le sucer, m’obligeant à bien serrer mes lèvres et à jouer de ma langue quand je remonte vers son méat : plus tôt ce sera fini, mieux ce sera. Et puis peut-être que j’aurai une augmentation.Pendant ce temps, Jean et mon patron discutent :– Tu vois, grâce à moi, tu as une pute à disposition.– Oui ; merci Jean. Je vais pouvoir me vider les couilles tous les matins.– Oui, et puis tu vas pouvoir t’en servir pour convaincre des clients difficiles…Pendant que je continue à le sucer, mon patron appelle Claudine à l’interphone :– Claudine, veuillez nous apporter deux cafés immédiatement ; et laissez la porte ouverte quand vous entrerez !!Claudine entre avec les deux cafés, pose le premier devant Jean et contourne le bureau pour servir le café à notre patron. J’ai essayé de me relever avant son entrée, mais il me tient par les cheveux et m’oblige à continuer de le sucer. Claudine est comme statufiée par ce qu’elle voit.– Tu vois, Claudine : tu as toujours refusé de me sucer, alors Viviane va maintenant devenir ma secrétaire. Elle sera sous tes ordres, mais tu vas devoir lui apprendre le métier et à m’obéir comme tu l’as toujours fait.Ce faisant, il relève mon visage et, le tournant vers Claudine, se met à le recouvrir – ainsi que mes cheveux – de longues giclées de sperme. Claudine me regarde avec haine mais ne dit rien. Il s’essuie la bite dans mes cheveux, me relève et me courbe sur le bureau. Il relève ma jupe ; mes fesses sont exposées, à peine barrées par le string minuscule que je porte et les attaches de mon porte-jarretelles. Il introduit ses doigts entre mes lèvres intimes.– Putain, Jean, cette salope est trempée : elle adore sucer, cette pute !– Oui, je te l’avais dit : c’est une vraie nympho. Tu vas pouvoir en faire ce que tu veux !– Claudine, je vous ordonne de vous baisser et de lécher cette pute. Vous avez toujours refusé de me sucer ; peut-être que vous êtes une gouine : alors léchez-là, ou c’est la porte !Claudine est mortifiée : elle n’a jamais eu de rapport sexuel avant, et surtout pas avec une femme pour la première fois ; mais se retrouver au chômage à cinquante ans, seule, et loin de son patron adoré, ce n’est pas possible. Elle va lui faire payer, à cette salope…Elle s’accroupit derrière Viviane, écarte ses fesses sans ménagement et plonge avec sa bouche dans la vulve humide.Viviane, sentant cette langue la parcourir, pénétrer son sexe, remonter et chercher son clitoris érigé ne peut s’empêcher de gémir. La porte ouverte, permettant à ses collègues de la voir s’adonner au stupre, est un formidable aphrodisiaque et elle monte vite vers un premier orgasme ravageur. Même Claudine, derrière elle, sent monter le plaisir ; tant d’années de privations alors que c’est si bon, le sexe…Jean et M. ont sorti leurs bites et se masturbent en regardant le spectacle de ces vieilles gouinasses gémissantes. Viviane gémit encore plus :– Prenez-moi ! Donnez-moi vos bites… Je vous veux en moi !M. écarte sans ménagement Claudine qui se retrouve par terre, le visage recouvert de mouille et totalement frustrée. Il attrape Viviane, s’assied sur le canapé et l’oblige à s’empaler sur son dard vibrant. Jean les rejoint, appuie sur les épaules de Viviane, qui se couche sur son patron. Il écarte ses fesses, humidifie son anus en lui crachant dessus, et viole le cul de Viviane en ahanant. Viviane est déchirée ; son cul en feu et sa chatte distendue, ces deux barres se mettent en harmonie et la pistonnent comme la pute qu’elle est devenue. C’est trop bon : elle hurle en jouissant d’un nouvel orgasme foudroyant. M. et Jean la rejettent sur le canapé, se dirigent vers Claudine toujours prostrée sur le sol et l’obligent à les sucer tous les deux. La vieille fille se retrouve avec deux bites dans la bouche, elle qui n’en avait jamais vues, et ils giclent tous les deux dans sa gorge en l’obligeant à avaler.M. et Jean se rhabillent tout en se congratulant.– Tu as deux salopes à ta disposition dans ta boîte maintenant, veinard !– Oui ; c’est grâce à toi, Jean : elles seront à ta disposition quand tu veux. Viviane, viens ici, salope !Je me lève du canapé et me dirige vers le bureau.– Oui Monsieur M. ; je suis à votre disposition.– Je le sais, sale pute, que tu es à ma disposition ; mais grâce à Jean, maintenant tu seras à la disposition de mes clients aussi, et demain je dois recevoir de gros clients saoudiens : je compte sur toi pour leur obéir, et si je perds le contrat, tu perdras ton boulot et tout le monde verra la pute que tu es. Tu as compris ?L’enfer continuait, comment pourrais-je m’en sortir ?– Oui Monsieur M. ; je ferai ce que vous demanderez…
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