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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Enlèvement libertin

Chapitre 1

Divers
La jeune femme est étendue nue sur le grand lit à baldaquin. Elle est en croix, ses poignets et chevilles sont entravés par des cordons de tissus attachés aux 4 montants du lit.    Elle a un foulard noué autour des yeux et, partout autour du lit brûlent des bougies et des bâtons d’encens. Les effluves lui montent un peu à la tête, mais pas de manière désagréable. Depuis quand est-elle là ? Une heure, deux heures, plus ? Elle ne se souvient de rien, si ce n’est qu’elle était en train de se promener dans la forêt.    Une musique douce sort de haut-parleurs invisibles et le rideaux de la pièce sont tirés, de sorte que la seule lumière provient de la multitude de bougies.    La jeune femme est à demie assoupie et laisse ses pensées vagabonder lorsque, tout à coup la porte s’ouvre sans bruit.     Quelqu’un se penche doucement au-dessus du lit et, du bout d’une cravache, tapote le ventre de la jeune femme. Celle-ci tressaute et elle se raidit d’appréhension. Elle n’arrive pas a reconnaître l’objet qui vient à peine de la toucher. Elle va pour parler mais elle sent immédiatement un doigt ganté se poser sur ses lèvres. Le geste n’est pas brusque et ne semble pas menaçant, alors elle n’insiste pas. De toute façon elle sent sa tête lourde, sans doute cette odeur qui flotte dans la pièce.    La main glisse sur son front et écarte délicatement ses cheveux. Elle continue le long du visage, en fait le tour puis passe sur le cou, son épaule, glisse sur le côté de son corps, survole en le touchant à peine son sein et finit sa course le long de sa jambe après être passée sur son ventre et son bassin.    Tous les gestes sont apaisants et doux et elle a envie de se laisser complètement aller à ces caresses.    Tout à coup une deuxième main rejoint la première et elle les sent explorer tout son corps de manière plus insistante cette fois. Ses cuisses sont longuement caressées avec insistance ; les effleurement sur l’intérieur de celle-ci lui causent involontairement de doux frissons dans son bas-ventre.    Ensuite ce sont ses seins qui deviennent sujet de toutes les attentions. Ses tétons sont excités, pincés, triturés et ses mamelons soupesés, malaxés. Mais toujours avec douceur. Elle a maintenant ses tétons complètement tendus et érigés. Elle ne peut retenir un discret soupir et elle sent les lèvres de sa vulve s’écarter imperceptiblement.     Les deux mains s’écartent alors de son corps brièvement avant de revenir pour lui soulever le bassin et glisser un oreiller sous ses fesses. Elle se sent maintenant excitée et, dans cette nouvelle position, encore plus offerte. Elle sent les doigts toujours gantés passer sur son sexe maintenant. Lentement, sans appuyer, ils glissent de bas en haut le long de sa fente et cherchent à peine a entrer. Ce sont ses lèvres qui s’écartent sur leur passage et elle à beau essayer d’aller à leur rencontre, rien y fait. Les attouchements restent aériens et légers, presque comme un souffle. Son clitoris s’érige à son tour et elle ressent l’envie pressante que les doigts qui la tourmentent viennent s’en occuper également. Son voeu se retrouve exaucé, mais, à sa grande frustration ce n’est que trop bref. Deux doigts viennent de le prendre et de le faire tourner entre eux, mais pour le relâcher aussitôt. Son sexe se met à suinter de sa cyprine, son souffle s’est alourdi et son corps est parcouru de frissons mêlant anticipation et frustration.    Les mains s’écartent de nouveau et elle se retrouve en train d’espérer leur retour. Elle passe sa langue sur ses lèvres sèches et émet un petit soupir.    C’est alors qu’elle sent un linge humide et chaud appliqué sur son entrejambe, l’intérieur de ses cuisses et le début de son sillon fessier. Puis on lui met une sorte de crème sur les endroits précédemment humidifiés et c’est tout à coup qu’elle comprend : on va la raser !    Elle ouvre la bouche pour protester mais déjà il y a un doigt sur ses lèvres qui l’en empêche et une bouche sur son sein droit qui vient agacer son téton tout dur. L’excitation qu’elle ressent lui fait renoncer à toute velléité de défense et elle se laisse retomber dans l’excitation qui la gagne de plus en plus.    Lorsque la bouche quitte son sein, rapidement elle sent un rasoir glisser sur sa peau avec douceur et dextérité. Pendant de longues minutes elle sent la lame qui enlève méthodiquement sa toison, des doigts qui l’effleurent pour aider le travail du rasoir et, petit à petit, une sensation inconnue avec l’air qui touche pour la première fois depuis longtemps la peau de cette région si sensible. Au bout du compte, lorsqu’on lui essuie et sèche les restes de crème, elle se sent encore plus nue que jamais. Son sexe par contre est maintenant très ouvert et son clitoris pointe en avant alors que ses lèvres luisent d’excitation. Les constants attouchements qu’elle vient de subir l’ont complètement excitée et elle ne souhaite plus qu’une chose, c’est d’être prise là tout de suite.    Sa surprise est totale quand la frappe la brûlure soudaine et fulgurante ! Elle ne peut réprimer un cri lorsqu’elle sent l’eau de toilette qui est appliquée par des mains désormais sans gants. La douleur disparait cependant tout aussi vite qu’elle n’est apparue et, avant qu’elle ne puisse dire quoique se soit elle sent des lèvres se poser sur sa bouche et l’embrasser tendrement. Une langue s’immisce dans sa boche et vient doucement jouer avec la sienne. Elle ne peut s’empêcher de rendre le baiser et elle se lance fougueusement à la rencontre des cette bouche si sensuelle. Le baiser dure de longues minutes et elle sent de nouveau les mains glisser sur ses seins et les palper avec gourmandise. Tour à tour ses tétons sont pinces pour continuer de les faire se dresser.     La bouche rompt tout à coup le baiser et vient se poser sur son sein gauche cette fois-ci pour le sucer et en agacer le bout de la langue. Elle sent également deux doigts entrer dans son sexe maintenant complètement béant et y entamer des mouvements de rotations à l’intérieur de son vagin complètement lubrifié. Le bout des doigts glisse le long des parois de son vagin et elle se sent devenir de plus en plus excitée, sa mouille abondante provoque des bruits avec le mouvement des doigts.    Les dents qui mordillent ses tétons deviennent de plus en plus incisives et elle sent monter en elle les premiers signes de la jouissance. Son vagin commence à se contracter et son bassin s’agite de plus en plus. Comme elle aimerait être libre de ses mouvements et accompagner cette exploration intime de son corps !    Alors qu’elle est proche de l’orgasme, que son corps s’arc-boute pour tenter d’augmenter la fouille de son sexe, la bouche, la main et les doigts se retirent d’un coup et la laissent pantelante, frustrée et complètement en chaleur. Les doigts qui étaient dans sa chatte sont maintenant sur ses lèvres et, sans avoir besoin de paroles, elle se met à les lécher et les prends en bouche. Elle y suce toute la cyprine et reconnaît son goût avec volupté. Elle s’applique à bien les sucer comme si elle avait une bite à sa disposition.    Lorsqu’elle les a bien nettoyés, ils lui sont retirés également et elle se retrouve seule et en manque d’attouchements.    Mais le répit est de courte durée.    Brusquement, sans qu’elle s’y attende, elle sent que quelqu’un est en train de passer un gode le long de son sexe qui coule toujours comme une fontaine. Lentement, le bout de l’olisbos pénètre entre ses lèvres écartées et prend possession de son corps. Le gode entre inexorablement et, enfin, lorsque le bout presse le fond de son vagin, sa progression s’arrête. L’engin est de taille moyenne, ce n’est pas un des ces godes monstrueux mais il la remplit complètement. Elle a devant ses yeux l’image de la queue d’un des ses anciens amants qui la comblait parfaitement. Quelques mouvements sont imprimés au gode et elle lève son bassin afin de bien le sentir en train de la labourer. Mais une fois de plus elle se retrouve frustrée et les mouvements sont interrompus. Alors qu’elle reprend sa respiration elle se dit qu’elle subit un véritable supplice. Pas vraiment désagréable, mais un supplice tout de même. Son corps tremble de désir et elle ne peut rien y faire.    Comme il y a toujours le coussin sous ses fesses, avec les mouvements qu’elle a faits, son anus est également offert et facile d’accès. Le gode dans sa chatte, elle sent des doigts qui tout à coup viennent tourner doucement autour de son anneau plissé. Ils sont plus frais que tout à l’heure, sans doute sous l’effet d’un gel lubrifiant quelconque. Doucement un doigt pénètre dans son anus et y avance lentement, in s’interrompant et repartant à plusieurs reprises. Elle se fait pistonner de plus en plus loin et, comme cela fait partie des pratiques qu’elle aime, elle se laisse de nouveau tomber dans le puits de son désir et se soumet aux caresses indiscrètes. Un deuxième doigt vient de rejoindre le premier et elle sent qu’ils palpent le bout du gode qui est dans son vagin. Comme elle aime cette sensation d’être prise de toute part ! Un de ses fantasmes est d’être prise par deux homme en même temps, mais jusqu’à présent elle n’en avait pas eu l’occasion. Elle laisse son esprit imaginer que deux hommes sont en train de la tringler. Son anus se contracte sur les doigts et son vagin sur le gode, au gré des mouvements et de ses pensées.    Comme précédemment, au bout d’un certain temps les doigts se retirent de son cul, le laissant amplement lubrifié et béant. Alors qu’il se resserre doucement, elle sent le bout d’un gode qui presse contre son anus. Elle le sent s’écarter sous la pression et, rapidement, se rend compte qu’il ne s’agit pas d’un gode mais d’un gros oeuf. Plus il entre, plus elle sent son diamètre augmenter jusqu’à même ressentir une petite douleur lorsque passe l’endroit le plus large. La main qui le guide fait attention et imprime quelques petits mouvements de va-et-vient afin de vaincre la résistance de ses chaires. Finalement, l’oeuf finit par la pénétrer entièrement et son cul se referme sur son ’prisonnier’. Elle sent une ficelle qui doit être au bout de l’oeuf qui dépasse.    Elle est de plus en plus excitée et, au moment où elle allait parler, elle sent qu’on lui défait le foulard qu’elle a autour des yeux.    Comme la pièce baigne dans une lumière tamisée qui ne provient que des bougies, elle n’est pas éblouie mais ses yeux mettent un petit moment à s’habituer.    Une fois que c’est fait, elle découvre la personne qui vient de s’occuper si longtemps d’elle et ne peut réprimer un cri de surpris.    C’est une jeune femme qu’elle a déjà vue, mais elle ne se souvient pas d’où. Elle porte un pantalon de cheval, une tunique et des bottes et ses cheveux blonds sont noués en chignon. Elle doit avoir environ le même âge qu’elle et a de très belles formes. Ni maigre ni grosse et avec beaucoup d’allure.    ’Qui êtes-vous ? Ou suis-je ?’, dit-elle avec surprise et d’une voix qui trahit encore son excitation.    ’Qui je suis n’a aucune importance ma belle et pour ce qui est de ces lieux, eh bien, disons que tu es chez moi, tout simplement. Tu ne te souviens pas ? Je suis la cavalière que tu as croisée dans les bois, lorsque tu t’y promenais. Comme ses bois m’appartiennent et que tu t’y trouvais, tu m’appartiens donc aussi’, dit la jeune femme avec un sourire énigmatique.    ’Et ne proteste pas, personne ne peut venir et, avoue, jusqu’à présent tu as plutôt aime ce qui t’arrive, non ?’ En prononçant ces dernières paroles, la jeune femme avait posé de nouveau sa main sur la poitrine aux tétons toujours dressés pour les agacer du bout des doigts.    Même si son esprit lui dictait de répondre et de montrer son désaccord, son corps l’empêchait de dire quoique se soit d’autre qu’un ’C’est vrai’ rauque.    ’Allons, laisse-toi aller. Je vais devoir te quitter pour l’instant, mais, je te promets de revenir. Je n’en ai pas fini avec toi, loin de là.’    A ces paroles, elle vit la jeune femme sortir de la poche de sa tunique un petit boîtier qui ressemblait à une télécommande. La jeune femme tapota sur plusieurs touches et le gode qu’elle avait en elle se mit à vibrer et le bout à tourner doucement en elle. Elle poussa un cri de surprise qui se perdit rapidement en un râle de plaisir.    La jeune femme continuait avec la télécommande et, peu de temps après, elle sentit aussi l’oeuf dans son anus vibrer et, chose surprenante, pulser en augmentant et diminuant de volume.    ’Juste une petite faveur pour que tu ne m’en veuilles pas de te laisser’, dit la jeune femme avec un sourire en coin. ’Les 4 fonctions de ces charmants objets vont continuer lorsque j’aurai passé cette porte. Ils vont s’interrompre et puis reprendre et puis s’interrompre de nouveau. Parfois il n’y aura que les vibrations, parfois il n’y aura que les mouvements, parfois les deux. Et puis ils s’arrêteront de nouveau et ainsi de suite, de manière parfaitement aléatoire. Tu verras, par moments ce sera tout simplement somptueux comme sensation, parfois ce sera complètement frustrant et, de temps en temps, tu trouveras même tout ceci insupportable et tu voudras que cela s’arrête. Ne te gênes pas, fais tous les bruits que tu voudras, tu ne me dérangeras pas. J’espère que tu en retireras un bel orgasme ; étant donne tes prédispositions je pense que tu n’en es pas loin. Sinon, ma foi, tu en seras quitte pour flotter constamment entre désir, plaisir, jouissance et frustration. Nous verrons bien lorsque je reviendrai.’    Sur ce, la jeune femme lui tourna le dos et partit vers la porte. Les sensations que lui procuraient les engins étaient terribles et elle n’arriva pas a articuler quoique se soit. Sa bouche ne produisait plus que des râles de plaisir alors que son corps se tortillait autant que les liens le lui permettaient.    Alors qu’elle était tout près de la porte, elle se retourna une dernière fois : ’Tu es très belle ainsi tu sais. Et je t’avoue que tu me fais beaucoup d’effet ; je suis heureuse que tu aies croisé mon chemin. Si tu as un quelconque besoin, je t’en prie, ne te gènes pas. Laisse-toi aller comme tu le sens. A tout à l’heure.’    Elle sortit et ferma la porte.    Elle resta seule un long moment, n’entendant que le bruit des vibrations du gode et de l’oeuf. Comme la jeune femme le lui avait dit, les deux s’arrêtèrent au bout d’un moment, la laissant haletante de désir. Puis le gode reprit un peu ses mouvements, pour s’arrêter de nouveau. A chaque fois la durée semblait telle qu’elle allait finir par jouir et, pourtant, à chaque fois, quelque chose s’arrêtait et elle se retrouvait incapable d’atteindre l’orgasme. Si seulement elle pouvait se toucher, mais elle était solidement attachée, c’était indéniable. Elle sentait son sexe couler comme une fontaine, jamais elle n’avait été aussi excitée...    Combien de temps tout ceci allait-il durer, se demandait-elle lorsque les pulsations de l’oeuf la refirent tomber dans un monde de plaisir et de jouissance contrariée...
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