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L'enseignante

Chapitre 3

Erotique
— Heu... je vous arrête tout de suite... heu non... je reste votre enseignante... et je suis fiancée, je vous rappelle, je dois me marier l’année prochaine... ça ne serait vraiment pas bien... dit-elle très rapidement.— Votre hiérarchie n’en saurait rien... et vous avez dit vous même que la religion évoluait... lui dis-je en m’éloigant un petit peu mais en la tenant toujours par les hanches. J’y suis allé peut-être un peu rapidement, mais je ne pouvais plus m’arrêter. Contrairement à ce qu’elle dit, je vois bien qu’elle en meurt d’envie elle aussi. Je ressens ce genre de choses...— C’est même plus une question de religion, mais juste de fidélité par rapport à mon fiancé, continue t-elle de plus en plus fébrile. S’il vous plait, lâchez-moi... dit-elle en essayant de se débattre faiblement.— Juste une fois... vous allez vous marier l’année prochaine? Profitez-en une dernière fois avant, non? dis-je, convaincu qu’elle ne se défendera pas longtemps...— Ca fait 6 ans que je suis avec lui et je l’aime, vous comprenez celà? me dit-elle d’une voix qu’elle veut autoritaire, comme en cours... en vain.— C’est le seul partenaire que vous ayez eu...?
Ma main gauche toujours sur sa hanche, la droite remonte tout doucement sur son ventre... Elle n’ose pas me répondre tant qu’elle n’est pas sûr que ma main aille là où elle pense qu’elle va aller... Effectivement, je commence à effleurer sa poitrine du bout des doigts... Je rapproche ma bouche de son visage... Je dépose un minuscule baiser au coin de ses lèvres, puis un autre sur la joue, puis un dernier qui vient se poser dans son cou, en dessous de son oreille pendant que ma main droite continue de caresser lointainement son sein gauche...— Alors... lui dis-je doucement à l’oreille.— Oui, c’est le seul... Arrêtez-ça... dit-elle fébrilement en référence aux petits baisers qui continuent de rencontrer son cou... J’ai toujours craint qu’un jour un élève veuille... enfin, vous comprenez...— Qu’est-ce que vous craigniez?... J’ai l’air de quelqu’un qui va vous faire du mal?... lui dis-je pour la rassurer en la regardant dans les yeux.— Non, justement... soupire-t-elle.
Je défais le premier bouton de sa chemise, puis le deuxième, laissant ainsi mon regard se faufiler un peu plus librement sur sa poitrine, avant de la reprendre de nouveau par les hanches... Elle a l’air franchement gênée, mais elle n’essaye plus de se soustraire à mes avances... Elle résiste beaucoup moins que ce que j’avais prévu. Comment une petite prof timide et d’apparence prude peut se laisser faire si facilement... J’ai un peu de mal à réaliser ce qui se passe, mais je sais que je n’ai pas envie que cela s’arrête...— C’était pour ça que vous vous montrez désagréable en cours?... De peur que l’un d’entre nous tombe amoureux de vous...— Oui... avoue t-elle en évitant mon regard.Paradoxalement, alors qu’elle est plus âgée que moi et qu’elle est censée exercer une certaine autorité sur ma personne, j’ai clairement l’impression que je la domine, comme si c’était moi qui allait l’éduquer, ce soir... Très agréable changement des rôles...— Donc vous êtes consciente que vous pouvez séduire... c’est paradoxal, tout cela... lui fais-je remarquer d’un air amusé.— Oh, à vôtre âge, vous pourriez draguer n’importe quoi.... dit-elle désemparée.— Vous n’êtes vraiment pas n’importe quoi... ces lèvres, ces seins... je vous imagine très douce, très sensuelle, caline, avec peut-être une petite dose de folie, allez savoir... lui dis-je en caressant sa poitrine de ma main droite et en la rapprochant de moi de l’autre.— Vous dîtes n’importe quoi... dit-elle, le rouge de ses joues trahissant l’effet de mes compliments.Ma bouche est prête à frôler la sienne, tandis que je déboutonne un peu plus sa chemise, révélant ainsi parfaitement ce délicat sillon intermammaire le long duquel je fais glisser mon doigt... Elle est à ma merci...
— Une fois dans votre vie... je prendrais soin de vous... vous le regretterez pas... maintenant... si vous voulez que j’arrête et qu’on n’en reste là... il suffit de dire "stop", et j’obéirai... dis-je cruellement. Tout en lui disant celà, j’ouvre le quatrième bouton de sa chemisette, maintenant à moité défaite... Je glisse alors doucement mes mains à l’intérieur... Mes paumes se retrouvent rapidement à englober ses deux beaux seins chauds et doux... La dentelle frôle mes doigts, ses têtons pointent timidement en-dessous de mes mains... Je réalise que je suis en train de caresser la poitrine de ma prof d’histoire des religions, ce petit côté tabou m’excite encore plus... Sa peau est tiède, lisse, attend mes baisers... Je masse doucement ses seins par-dessus son soutien-gorge, l’amenant là où elle ne peut plus dire "non".— Comment veux-tu que je te dise "stop"...? dit-elle vraiment troublée. Je peux pas reculer, maintenant...Elle vient de briser la barrière du tutoiement... Gardant ma main droite sur sa poitrine, j’entreprends de déboutonner le reste de sa chemise de l’autre main... Tout doucement, cherchant son regard des yeux... Ma main gauche glisse doucement sur son ventre, jusqu’à sa hanche... Sa peau est très douce... Cela donne irrémidiablement envie de l’embrasser longuement... Dire qu’il y a quelques heures, je ne la trouvais pas spécialement attirante... Elle cachait bien son jeu...— Tu le peux, sincèrement... lui dis-je d’une manière étrangement tendre. Je t’oblige à rien... j’ai juste envie de toi, de te donner du plaisir... qu’on passe un bon moment tous les deux...Elle passe alors ses bras autour de mon cou, appuyant son front contre mon épaule gauche...— T’en as envie?... lui dis-je une dernière fois.— Evidemment que j’en ai envie... finit-elle par capituler.Redressant la tête et me regardant dans les yeux avec un regard brulant, elle approche sa bouche de la mienne et fait glisser sa langue entre mes lèvres... Nos langues s’enroulent sensuellement l’une autour de l’autre, longuement... Victoire... Nos lèvres ne se quittent pas tout le long de ce baiser... J’étais certain qu’elle embrassait merveilleusement bien... Merveilleuse petite prof... J’ai du mal à quitter sa bouche... Elle m’embrasse comme si elle avait oublié toutes les barrières qui existaient entre nous...
— J’ai envie de toi... Ces mots sortant de sa bouche... avec ce regard de braises... à cet instant, je me demande s’il existe quelque chose de plus excitant... Alors, elle bascule en arrière, en une petite pirouette se retrouve allongée sur le dos, devant moi, les cuisses écartées, sa chemisière rouge défaite, son soutien-gorge en dentelle apparaissant largement à mon regard. Elle a un regard étonnament aguicheur... comme si tous ses doutes s’étaient évanouis durant notre baiser... J’avance prudemment vers elle, à quatre pattes... Quels seins... Ma bouche plonge sur sa poitrine, embrasse sa dentelle... Ses têtons semblent durcir sous mes baiser... Ma langue glisse entre ces deux seins doux et fermes jusqu’à la base de son cou, avant que ma bouche ne remonte jusqu’à ses lèvres... Je m’allonge sur elle, doucement... Elle passe ses bras autour de mon cou, me caresse les cheveux... Elle referme ses cuisses autour de mon bassin, mon sexe dur s’écrase entre ses cuisses... Je sens ses seins contre mon torse... Je mets mes mains autour de son visage, lui caresse les joues, le front, les cheveux... Comment n’ai-je pas pu remarquer plus tôt à quel point elle était désirable? Nos lèvres se joignent à nouveau dans un baiser langoureux, sa langue est douce, tiède et habile, elle joue avec ma langue, mes lèvres...— Tu mérites d’être comblée, tu sais...— Alors, vas-y, te gêne pas... me dit-elle droit dans les yeux, sans détour. Je suis toute à toi...C’est elle qui me déstabilise cette fois-ci...— Je pense qu’il va se passer un truc sympa qui nécessite un meilleur lit que celui-ci... dans ma chambre...— Il suffit juste que je fasse attention à ta guitare en y allant?....— Je vais t’y emmener ma belle...Je dépose un dernier baiser sur ses magnifiques petites lèvres, puis me relève, la prend dans mes bras et la porte jusqu’à mon lit, dans la pièce voisine... Cela semble l’amuser et l’exciter à la fois... Je l’allonge sur le dos... Elle est extrêmement désirable... Tout en elle, à cet instant, semble appeler à la débauche...— T’oublieras jamais ce moment, je te le promets... lui dis-je dans un sourire— Arrête de parler et occupe-toi de moi... me lance t-elle, délicieusement provocante et tellement déroutante par rapport à ce que je connaissais d’elle...
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