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L'entrainement d'un flic

Chapitre 2

Gay
Quand il se réveilla le lendemain, il tint à mettre les choses au point.
« Je me suis engueulé avec ma copine, et je suis venu me réfugier chez toi. Ca ne veut pas dire que je suis pédé. Entre nous, c’est purement sexuel, et tu me fais bien prendre mon pied. Au, fait, il est comment ton Henri ?»
« D’origine espagnole, brun et poilu. Mais il est marié et il a deux gosses, et comme toi, pour lui, les relations entre mecs c’est du sexe pour du sexe, et rien d’autre. Dès que je lui ai parlé de toi, il en a eu envie. Je pense que tu aimeras bien te faire enculer par lui. Et, comme ça, tu n’auras pas une relation exclusive avec moi, ce que nous souhaitons tous les deux »
Je jubilais intérieurement. Après avoir bien baisé ce mec, je commençais à l’habituer à l’idée de se faire mettre par d’autres mecs. Je le transformais en pute ! Je le sentis me caresser doucement la queue. Il en voulait encore. Je le mis sur le ventre, m’assis sur ses cuisses, lui écartai les fesses, et contemplai ce trou du cul de flic, qui ne demandait que ma queue. Je me mouillai ma queue avec de la salive, et sa rondelle me laissa le pénétrer immédiatement. J’étais couché sur lui. Je me relevai un peu, appuyé sur mes mains, et commençai d’entrée à l’enculer bien à fond. Il ne tarda pas à gémir. Je le ramonais de plus en plus fort
« Tu veux mon foutre, vicelard. Tu vas l’avoir ! je vais bien te remplir le cul »
J’éjaculai, puis me reposai sur lui, ma bite toujours dans son cul. Je la bougeais doucement, regrettant de devoir sortir de son cul, chaud, moite et maintenant bien entraîné.
Quand nous nous séparâmes, je lui donnai rendez-vous le soir même, disant que j’essaierai d’amener Henri. Ce qui me rappela de lui demander son nom. Mon flic s’appelait Jacques. Je me dirigeais aussitôt vers les toilettes du jardin public où Henri était parfois à cette heure. J’eus de la chance, il était là
« Salut, j’ai de bonnes nouvelles. Le flic dont je t’ai parlé, veut bien essayer avec toi. Il est affamé ! Plusieurs années qu’il n’avait pas été baisé par un mec, et les deux dernières nuits, je n’ai pas arrêté de l’enculer, et il en veut encore ! »
« S’il est aussi chaud que tu le dis, je lui donnerai volontiers du plaisir. Ca fait deux mois que je n’ai pas enfilé un mec ! »
En sortant des toilettes, je tombai sur le jeune blondinet que j’avais dépucelé. Il me dit s’appeler Charlie. Je lui demandai des nouvelles de son cul. Il me dit avoir bien récupéré, et me supplia à nouveau de recommencer. Je soupirai. Il en voulait vraiment. Il monta dans ma voiture, direction ma chambre au motel. Une fois-là, je lui ordonnai de se foutre complètement à poil, et de se placer à genoux sur mon lit, cuisses écartées, tête dans l’oreiller. Il me regardait, l’air très excité. J’eus une idée vicieuse. Je sortis mon portable et prit des photos de lui dans cette position. Il me fit promettre de lui envoyer les photos par mail. Je le lui promis, en lui disant que ces photos pourraient lui servir à « appâter » d’autres mecs. Il se marra. Je lui lubrifiai ensuite l’anus avec deux doigts, puis lui enfilai doucement le bout de ma bite. Il s’empala dessus d’un seul coup. Décidément, il apprenait vite. Je le saisis par les hanches et commençait à le baiser comme je baisais les autres mecs. Il gémissait, grognait, poussait des exclamations. J’espérais que mes voisins de chambre étaient absents. Je lui déchargeai dans le cul.
A ce moment on frappa à ma porte et j’entendis quelqu’un dire : « Ouvres, c’est José »
José était un copain avec qui j’avais fait des parties à trois, ou nous baisions le même mec. Je fis signe à Charlie de rester comme il était, son petit cul nu bien exposé, et fit entrer José, qui resta interdit devant la jeunesse apparente de José.
« Charlie, c’est José. Il aimerait bien que tu lui donnes, ce que tu viens de me donner. Tu serais d’accord ? »

En guise de réponse, Charlie trémoussa son cul. Rassuré par l’attitude provocante de Charlie, et excité à l’idée d’enculer, ce qu’il croyait être un jeune gars, José sortit sa bite et enfila Charlie. Bientôt ce dernier ne tarda pas à gémir.
Je sortis prendre l’air devant ma porte, laissant José bien profiter du trou du cul de Charlie. Je vis arriver Robert. Je ne le connaissais pas vraiment, mais je savais qu’il était un copain de baise de José. Il cherchait José, qui lui avait dit venir chez moi. Je lui dis que José était à l’intérieur, et l’invitai à aller le rejoindre. Au bout d’un moment, je rentrai dans la chambre, voir comment se passaient les choses. José avait abandonné le cul de Charlie, pour lui offrir sa bite à sucer, tandis que Robert s’activait avec enthousiasme dans le cul du jeune. Je pensai que ce dernier, qui cherchait ma bite, en avait en fait trouvé trois ! Là, il allait être calmé pour un moment !
Cette nuit-là, Henri arriva à ma chambre vers 11h, bien avant Jacques. Je lui fis mes dernières recommandations
« Il a un bon cul. Tu la lui mets en douceur d’abord, puis tu le baises bien, il aime ça. Il aime se livrer à des mâles et te sachant marié avec des gosses, il va adorer être baisé par toi. Je te laisse, il va arriver dans un moment »
Une fois dehors, j’eus l’idée de rejoindre Jeff, qui logeait dans le même motel. Jeff m’avait surpris un soir, dans les toilettes publiques, en train de besogner le cul d’un flic. Comme j’avais baissé mon froc, et que j’avais le cul à l’air, Jeff s’était glissé derrière moi, et m’avait doigté le cul. Si je suis d’abord un baiseur, je ne déteste pas prendre une bite dans le cul, et Jeff en avait profité. Ce soir j’avais bien envie de me prendre la bite de Jeff dans le cul à nouveau.
Ce ne fût pas Jeff qui m’ouvrit, mais un autre gars, ne portant qu’un court short, taillé dans un vieux jean. Il me dit que je devais être le mec dont Jeff lui avait parlé, logeant dans le même motel, et m’invita à entrer. Il partit chercher des boissons. Quand il revint, sa braguette était bien gonflée. Jeff avait dû lui parler de moi, comme d’un mec se faisant baiser, et l’autre semblait décider à profiter de l’occasion. Je décidai de me laisser faire. Il s’assit sur le canapé à côté de moi, et m’embrassa. Sa main glissa le long de mon dos. Je me débraguettai, et sentit sa main glisser le long de ma raie du cul. Tout en continuant à l’embrasser, je le laissai me doigter gentiment. Puis, je me levai et, lui tournant le dos, ôtai mon jean et mon slip. Pendant ce temps, assis sur le canapé, le mec avait sorti sa bite. Il me saisit par les hanches, m’empala sur sa bite et commença à me baiser.
« Putain mec, Jeff avait raison. T’es chaud ! T’as un bon cul de salope, un peu serré comme je les aimes. Je vais bien te le limer, puis t’envoyer mon foutre »
Ca me changeait de mes activités habituelles, mais le mec était un bon baiseur, me donnait du plaisir, et nous jouîmes en même temps.
Quand Jacques se réveilla le lendemain dans son lit, il se remémora sa passivité devant les assauts d’Henri : comment il s’était laissé déculotter, doigter brutalement, les diverses positions qu’il avait dû accepter, à plat ventre, à quatre pattes, pour finir empalé sur la bite d’Henri, assis dans un fauteuil. Henri lui avait répété sans arrêt qu’il avait un superbe cul de salope, qu’il allait le lui remplir, le bourrer bien à fond, gicler son foutre dans le cul. La baise avait duré une heure, ininterrompue et intense. Jacques se dit qu’il s’était laissé faire comme une chienne, cette idée l’excita et il commença à bander.
Après une douche, il se décida à aller déjeuner dans le restaurant dans lequel Henri travaillait comme serveur.Quand ce dernier le vit arriver, il se précipita pour lui apporter la carte
« Tu as aimé, hier soir ? »
« Beaucoup, et je suis prêt à recommencer, tout de suite si tu veux »
« Prends ton repas d’abord, je vais essayer de me faire remplacer »
Henri revint chercher Jacques à la fin de son repas. Ils traversèrent un terrain vague. Au bout se tenait une caravane. Devant, un mec, allongé sur sa chaise longue.
« Salut Kevin, pourrais-tu me prêter un moment ta caravane ? J’ai bien envie de baiser le beau morceau qui est à côté de moi »
« Non, je ne te la prête pas ! On y va tous les trois et on se le partage »
Jacques se sentait traité comme un morceau de viande, mais adorait ça. Une fois dans la caravane, Kevin se précipita pour le déculotter et poussa un sifflement admiratif devant le cul de Jacques qu’il doigta immédiatement. Ils le positionnèrent à genoux sur un petit canapé. Ils se le partagèrent. D’abord en le doigtant ensemble, chacun un doigt dans le trou. Ils le lubrifièrent bien, et Kevin commença à l’enculer. Juste quelques coups de bite. Puis il se retira laissant la place à Henri, qui se retira très vite, Kevin le remplaçant. Kevin et Henri s’assirent alors chacun sur une chaise, et Jacques dût s’empaler alternativement sur chaque bite. Ils s’amusèrent un bon moment, puis Henri dût partir. Kevin entraina alors Jacques sur la couchette.
« Il faut que je te dise quelque chose. Tu as un bon trou du cul. J’apprécies le fait que tu sais ce que tu veux, et que tu le fais à fond. J’ai adoré te pénétrer. Ca me donne envie d’essayer avec d’autres flics. Tu fais honneur à ta profession ! J’ai deux ou trois amis à qui tu plairais. Ca te dirait peut être de te faire enculer à la file. Ca serait pour toi une occasion de progresser »
Jacques sentit sa bite se dresser. Se livrer « à la chaine » à plusieurs mecs serait un pas de plus dans son apprentissage. A la nuit tombée, il vint chercher Kevin en voiture. Comme celui-ci le lui avait demandé, il n’était vêtu que de baskets et d’un petit short. Kevin le guida à travers des routes de campagne. Ils s’arrêtèrent à proximité d’une clairière ou brulait un feu de camp. Jacques distingua trois hommes dans la cinquantaine, jouant aux cartes. Trois tentes derrière et un matelas, par terre. Kevin héla les ouvriers
« Comme convenu, je vous amène le flic, mec. Je peux vous dire qu’il a un bon cul. Je l’ai bien baisé cette après-midi, et il l’a bien moite, et disponible. Il en veut encore ! Vous ne courrez aucun risque avec lui. En tant que flic, il n’ira pas dire à la police que vous l’avez baisé. Vous verrez, son trou du cul va bien vous faire reluire vos queues »
Les ouvriers ricanèrent. L’un d’eux, le mâle dominant, certainement, s’approcha.
« T’es un mec bien bâti, et tu veux te faire mettre comme une femelle ? Tu veux sentir ma bite en toi ? Mes potes et moi, on n’a pas baisé depuis un moment. On est prêt à te faire gueuler de plaisir, si c’est ce que tu souhaites. On va te baiser. On va bien te la mettre. T’es sûr que c’est ça que tu veux ? »
Le silence de Jacques valait approbation.
« T’es vraiment un flic ? »
« Oui, et je vous fais confiance pour ne rien dire de ce qui va se passer, et vous pouvez me faire confiance aussi, je ne dirai rien »
L’ouvrier ouvrit sa braguette et fit jaillir sa bite. Il baissa le short de Jacques.
« Ma grosse queue va te faire du bien quand elle se glissera entre tes bonnes fesses blanches. Allez, l’ami, viens te faire baiser. Je vais bien te remplir de mon foutre. Peut-être que tu aimeras au point de revenir demain ! »
Un autre ouvrier s’approcha. Le premier le repoussa.
« Tu auras ton tour, mais je passe en premier. Tu peux regarder. Tu verras mes couilles contre son cul quand je la lui aurai mise à fond ! »
Il écarta les jambes de Jacques, et aligna sa bite en face de sa rondelle. Jacques se savait au point de non-retour. En sentant la pression sur son anus, il regarda les deux autres ouvriers. Ils étaient en train d’enlever leurs jeans. Jacques sentit la bite glisser aisément, et bientôt les couilles de l’ouvrier vinrent battre contre ses fesses.
« Putain, il ne plaisantait pas quand il disait t’avoir bien préparé »
« Non, mec, il me l’a mise deux fois, et un autre de ses potes une fois »
Il baisait bien Jacques qui réalisait qu’il vivait là un autre de ses fantasmes. Il éjacula. Les deux autres réclamèrent leur tour. Jacques fût poussé à plat ventre sur le matelas crasseux. Jacques se demanda brièvement combien de gars étaient venus se faire enculer ici. Le second l’enfila, aussi facilement que le premier. Il le baisa plus violemment, enfonçant bien sa bite à chaque fois. Jacques recommença à bander. Quand l’ouvrier eût terminé, le dernier coucha Jacques sur le dos et demanda à ses potes de le tenir, jambes au-dessus de sa tête. Il plongea dans le trou bien offert de Jacques, les deux autres étant aux premières loges pour mater le spectacle. Ils ricanèrent quand ils virent Jacques éjaculer sur son ventre. Le dernier ouvrier lui lâcha son foutre dans le cul.
Jacques se réveilla le lendemain matin, en se remémorant la bonne baise de la veille au soir. Il se doucha, et se rendit au poste, pour prendre son travail. Ce qu’il ne savait pas, c’est que son comportement avait fait naître des rumeurs, que ces rumeurs étaient remontées jusqu’au commissaire. Celui-ci l’avait fait discrètement surveiller, et pendant que Jacques gagnait son bureau, deux de ses collègues rapportaient au capitaine, les détails de sa séance avec les trois ouvriers.
Le commissaire convoqua Jacques. Il lui révéla des détails bien précis, montrant qu’il était parfaitement au courant de ses agissements. Jacques rougit. Le commissaire lui déclara alors :
« Je me suis demandé ce que je pourrais bien faire de vous. Vous virer de la police ? Je ne crois pas que vous le méritez. Vous me semblez un jeune mâle, avec de fortes pulsions sexuelles. Ce n’est pas un crime. Mais je ne peux plus vous affecter dans une fonction extérieure. Si vous vous faites surprendre, le scandale pourrait éclabousser tout le commissariat. Je vais donc vous faire affecter à un travail de bureau. Vous aurez un grand bureau pour vous tout seul. J’y ai fait installer un lit. Votre fonction première sera de vous soumettre aux besoins et envies de vos collègues. Ca ne devrait pas vous déplaire, je pense. Venez, je vais vous y conduire, et quand nous y serons, vous me ferez une démonstration de vos talents »
Fin
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