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Entraineur

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Non, vous ne rêvez pas, j’entraîne une équipe féminine de Volley. Au début j’avais un peu peur de me laisser dominer par une foule de femmes. Non, j’ai été imposé par la direction du club, non pas parce que je suis le meilleur: je suis parait-il assez dur pour ne pas me laisser impressionner. C’est sans regarder à les effrayer que je m’adresse à elles; il me faut des résultats, n’importe comment elles doivent gagner, gagner, encore gagner. Il leur semble que je suis un dur alors que je suis féministe. Trop peut être. Après tout c’est ma nature, j’aime les filles. J’en vois deux qui sont de véritable costaux. Parmi les autres j’en remarque deux autres qui me semble-t-il ont des liens extras sportifs. Après tout c’est leur choix: si elles préfèrent les filles, c’est bien leur droit. Reste trois autres filles: une blonde presque blanche aux seins proéminents presque trop, par contre sa taille est de plus mince. Ses fesses me laisse rêveur, j’envie son ami, elle doit bien en avoir un. La suivante est brune, pratiquement noire; enfin la dernière est châtain comme vous et moi. Ces deux dernières, mis à par leur allure sportive Elles sont aussi bien sexys que la blonde; Je ne peux rien leur dire de plus qu’aux autres; C’est dommage, j’aimerai avoir une conversation en tête à tête avec les trois. Je cherche dans ma liste pour repérer leur nom: la blonde est Lydie, la brune est Claire; la dernière Natacha. Je me creuse la tête pour savoir comment les alpaguer. J’ai enfin l’occasion de me trouver assis au fond du bus pour aller chez nos premiers adversaires à 200 kilomètres de là. Je m’installe au fond du bus quand, par manque de place je me trouve à coté de Claire. Nous bavardons sur le match à venir. Elle dévie la conversation vers des sujets bien plus légers pour moi, pas pour elle: elle a des soucis de couple, son ami l’a quitté. Elle en a les larmes aux yeux. J’essais de la consoler comme je peux. Je ne suis pas habitué à ce genre de pleurs. Que lui dire que c’est la vie, qu’elle trouvera vite un consolateur, que la vie est belle, qu’elle va faire un bon match. Je prévois même trois sets à rien pour nous. Je suis désespéré de ne pas pouvoir la consoler. Après tout je me fous du départ de son ami comme de l’an 40. Claire semble se consoler en s’endormant sur mon épaule. Je la soutiens dans les virages. Elle devient plus belle et plus sexy encore. Je n’y tient plus, je pose ma bouche sur la sienne. Elle garde les yeux fermés tout en me donnant sa langue. Je ne veux pas profiter de son absence: je termine mon rapide baiser: elle me prend par le cou pour continuer. C’est plus sérieux: je me demande si le départ de son petit ami n’est pas une feinte. Je pose une main sur sa poitrine, je sens qu’elle palpite fort. Je la caresse un peu, quand je cesse, elle reprend ma main pour que je continue. Tant mieux, cette fois je passe une main sur son genoux. Elle me laisse faire en écartant un peu ses cuisses. Je monte ma main vers son trésor: j’y arrive facilement. Je trouve un slip tout mouillé. Ma main ne cherche pas longtemps pour entrer dessous. Je trouve un piège mortel pour moi: un sexe offert. Je cherche un peu parmi ses secrets ce qui me conviendrait. Je trouve un clitoris déjà bandé. Je remonte la jupe pour être à mon aise, elle me laisse faire. Nos bouches ne se quittent plus. Je caresse comme je peux le clitoris: ma branle est efficace: elle jouis rapidement. Je voudrai visiter sa chatte: je descend tout en bas, sur son petit anus. Là je ne cherche même pas à entrer. Je ne fais que caresser le tour pour la faire encore partir cette fois avec un soupir de satisfaction. Ce n’est qu’à ce moment qu’elle me rend la politesse, sans que je le lui demande, elle sort ma bite du pantalon. Bien sur je bande depuis le début. Elle l’a dans la main, sans me branler. Personne ne peux nous voir, elle regarde bien autour, les seules qui pourraient nous espionner sont occupées à se masturber!— Ca va nous avons le temps elles en ont pour une bonne demi heure. — Tu veux quoi?— Te faire jouir comme tu m’as fait. Tu n’a rien contre.— Non, branles moi.Elle commence la masturbation. Elle est douée la garce. Si Claire continue comme ça je vais éclater rapidement. Je la laisse faire, après tout elle a eu un ami, elle a du savoir comment faire. Elle sait faire et bien. Sa solution est simple, elle me branle en surveillant mes réactions, quand elle sens que je vais cracher, elle me prend dans la bouche, ses lèvres remplacent sa main. Elle avale tout ce que je lui donne. Elle attend même que je débande pour me lâcher. Je remets ma main sur son sexe pour recommencer à la masturber: elle me laisse faire. — Oui, branles moi encore, fais moi jouir. Tu me baisera après.Après quoi je ne sais pas, je la baiserai c’est certain. Je pense que ma bite devrait être bien dans son ventre que j’aurai du bonheur pour moi, que je lui en donnerai aussi. En attendant j’entre trois doigts dans son puit; Pour elle ce n’est pas une simple branlette, c’est comme une bite. Elle fait les même allers et venues que si c’était ma queue. Elle se laisse aller jusqu’à l’éclatement de son orgasme plus fort que les autres. Nous cessons quand les deux filles qui s’aimaient arrêtent leur caresses. Elles nous jettent un regard qui en dit long: elles ont du nous voir. Je n’en suis pas gêné. Sans les voir directement nous savions bien qu’elle de caressaient. -----------------------------------------------------------------Au retour, en fin d’après midi, le match gagné nous sommes à nouveau dans le bus: je suis toujours au fond. J’ai perdu Claire, je gagne à la fois Lydie et Natacha. Je crains d’avoir perdu en cours de route une bonne occasion de baiser. Pourtant je suis bien entre deux filles qui se dévoilent maintenant. Elles ont du bavarder avec Claire. Je ne fais rien de particulier sinon de répéter mes félicitations; En remerciements je reçois deux mains sur ma bite bien tranquille. Je ne peux que bander. Lydie attire ma bouche sur ses lèvres: nos langues entrent immédiatement en contact. Son baiser est interrompu par la bouche de Natacha qui me veux aussi. Devant nous toujours les deux filles qui s’aiment. Elles doivent donner du poivre puisque les deux mains des fille se faufilent dans mon pantalon. Essayer de résister à deux filles qui se disputent votre queue. C’est impossible de contrôler ce qui se passe; Je crois, sans en être sur que Lydie s’occupe de ma bite prenant que Natacha me caresse les couilles, en allant encore bien plus bas: je ne tarde pas à sentir un doigt s’introduire dans le cul. Je m’avance vers le bord du siège pour être pénétré plus profond; le doigt joue au piston dans mon anus pendant que la main joue à me branler. — Vous voulez me faire mourir?— Oui, par la queue, branles nous au lieux de dire des bêtises.Je passe sans effort mes deux mains sous les jupes, elles écartent les jambes bien comme il faut. Je n’ai pas à chercher, leur clitoris est à portée de mes mains.: elle ne portent pas de sous vêtement. Je caresse tout ce que je trouve, mes lèvres vont d’une bouche à l’autre, quelques fois j’en trouve deux. Le divin se sont ces deux mains qui s’amusent sur ma bite. Heureusement que j’ai bien jouis en allant, je suis plus dur au retour. J’aurai voulu les baiser, ce n’est pas possible dans le bus. Je les doigte toutes le deux à la fois: elle jouissent presque ensemble. Elles s’attellent à la tâche, elle me branle ensemble. Je ne peux plus tenir; heureusement que Natacha pose sur ma bite un mouchoir en papier. J’éjacule dedans. Je suis surpris de les voir se disputer le mouchoir pour lécher le sperme. Nous arrivons au club pour descendre. Les filles veulent prendre une dernière douche. Je reste de garde: elles sortent toutes sauf mes trois amies. Je vais à leur recherche. Je les trouve toujours sous l’eau, groupées toutes les trois: elle se branlent. Quand elle me voient elle arrêtent tout c’est ma bite qui les intéresse. J’ai droit à leur sexe, l’un après l’autre. Ce que je branlais se trouve sous la bite. Je vais mourir de jouissance, comme dit l’autre. J’ai simplement affaire à trois filles gourmandes de sexe. Je ne sais même pas qui je baise, je sais que je suis dans un vagin au début. La seule chose que je sais est que je jouis souvent comme les trois filles.Que va être la semaine qui vient avec les entraînements et les matchs ?
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