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Entre hommes pervers, avec des chiens

Chapitre 2

Trash
Je m’appelle Eric, j’ai 60 ans, et je me retrouve au lit avec Jean-Jacques, un homme de 63 ans et que je n’avais jamais vu il y a à peine quelques heures. C’est une relation commune qui nous a fait rencontrer lors d’un plan à trois, sans compter les chiens de mon nouveau copain. On a sucé notre amant tout en se suçant, il nous a cassé le cul et nous a fait prendre par les chiens. Il est parti et je suis resté chez notre hôte pour passer le week-end. On a fait l’amour puis il m’a offert ses deux animaux de très bonne compagnie, un pour le pomper à fonds et pour la première fois, l’autre pour me faire sodomiser une deuxième fois.On est épuisé de ses premières heures intenses et on se repose. On se caresse distraitement, et on parle de nos fantasmes. On se découvre un nouveau point commun: le goût pour la pisseOn aime ça tous les deux mais on ne l’a jamais pratiqué qu’en solo, en pissant sur soi et en buvant sa propre urine. On a alors ma même folle envie, se faire un plan à deux. On se lève et on va à la cuisine, à poil. Il attrape des bières au frigo et on s’attable côte à côte devant nos boissons et son ordinateur portable. C’est un vicieux comme moi, il aime les vidéos bien hard, et a enregistré quelques adresses de sites très chauds. On recherche du pissing entre hommes mais ce n’est pas évident, dans neuf cas sur dix il y a des femelles. Peut-importe, du moment que ce sont les hommes qui se vidangent, on se fout du sexe du receveur. On commente, on s’excite, on s’imagine à la place des uns et des autres. A force de chercher on trouve enfin ce qu’on veut, que des hommes, qui donnent et reçoivent tour à tour. On tombe sur une vidéo avec deux vieux porcs dont un bien gras, bien gros, et on la passe en boucle tellement c’est tout à fait nous. Il faut beaucoup boire, deux litres minimum chacun, et après avoir descendu quelques bières on continue à l’eau pour ne pas avoir trop mal à la tête. On a assez bu, on prend deux bouteilles d’eau plus un ustensile que nous a inspiré internet, et je le suis pour aller dehors. On enfile de vieilles chaussures à lui, on passe par l’arrière de la maison , et on se retrouve dans un coin de terrain à l’abri de tout regard indiscret. On prend deux fauteuils de jardin, on s’assoit face à face et on continue à boire.
Je suis le premier à ne plus pouvoir me retenir et je me lève, me plante devant lui. J’ouvre le robinet et ça me fait un bien infini de me soulager un peu, pas trop pour faire durer le plaisir. J’arrose son ventre, ses seins, il se caresse et ouvre la bouche pour m’inviter à monter mon jet, ce que je fais sans hésiter. J’arrête d’uriner quand sa bouche est pleine, il se gargarise avec puis recrache tout:— Salaud, elle est dégueulasse ta pisse.— Parce que tu crois que la tienne est bonne; donne me la, je vais te le dire.Je m’installe dans mon fauteuil et c’est à son tour de se vidanger légèrement. J’étale moi aussi son urine bien chaude et odorante sur mon corps, puis je lui offre ma bouche et recrache tout tellement c’est écœurant. On recommence plusieurs fois, on se retient pour que notre jeu dure un long moment, on continue à boire notre bouteille d’eau. A force d’éliminer, notre liquide devient plus clair, moins agressif, et c’est Jean-Jacques qui se lance le premier. Il est à genoux devant moi, la bouche pleine, il se gargarise puis je le vois se caresser la gorge, me montrer qu’il a tout avalé, me faire signe de le resservir. Mon filet revient sur sa langue et il le remonte jusqu’à la source. J’ai ma bite dans sa gueule, je pisse, et il me tête comme un biberon.Je stoppe, et lui dit que c’est à mon tour de boire. Je bois tout ce qu’il me donne, pour ne pas être en reste, mais surtout parce que j’en meurs d’envie. Je me relève, on se roule une pelle parfumée juste ce qu’il faut, et on se balance tous ces mots qui nous plaisent: salope, chienne, pute, truie, ordure..........On renouvelle cette délicieuse pratique puis on passe à autre chose, avec l’ustensile déjà invoqué.On a vu sur le net des hommes qui pissaient dans le cul de leur partenaires, hommes ou femmes, après leur avoir bien ouvert avec un spéculum ou autre appareil. On n’est pas équipé, on cherche comment faire, pas non plus de rond de serviette qui ferait l’affaire, et c’est là que Jean-Jacques a eu un déclic. Il a une bouteille avec le cul découpé et refermé par un large bouchon, une de ces bouteilles souvenir remplies de chocolats à la liqueur. On va s’en servir pour fignoler notre jeu pervers.Mon pote se met à quatre patte, les épaules basses, l’arrière train relevé. Je lui plante le goulot dans le fion, après l’avoir débouché, puis j’enlève la grosse capsule du fond. Je glisse ma bite molle dans le gros trou et je me laisse aller, j’ouvre les vannes, je me lâche sans retenue, je me soulage puissamment. Je pisse dru dans son tube et il grogne, râle, m’encourage à l’inonder. Je vois mon urine remonter dans la bouteille, signe qu’il est bien rempli. Je cesse ma vidange, me retire, et referme le fonds de la fiole. Il se redresse, je maintiens la bouteille pour ne pas qu’elle tombe, et elle se remplit de mon urine que son cul recrache. Je m’accroupis pour contempler le spectacle, puis je la retire. Son cul pisse encore et je place ma bouche pour récupérer sa fin de vidange, sans avaler. Je me relève, le retourne et lui roule une pelle. Il s’abandonne, participe activement, et on boit tout. Il se décolle:— Salaud, tu es bel enculé, aussi pute que moi. Donne moi la bouteille, je veux boire ta pisse.— Ok, c’était mon intention, ma grosse cochonne.Il boit au goulot, une bonne descente, et il écluse la moitié d’un trait. Il se ressert un peu, il reste un bon quart et il me tend la bouteille. Je m’en saisis et finis tout. C’est maintenant à mon tour de lui offrir mon cul et on refait tout pareil. Je prend un pied d’enfer, le meilleur de tous les lavements que j’ai jamais eu, puis on vide la bouteille. On a bu énormément, des bières, de l’eau, encore de l’eau puis de la pisse. On sait que l’on va encore éliminer, mais par à-coups, que ça va prendre un peu de temps. Il a une table de jardin en ciment carrelé, et on se couche dessus sans risque qu’elle ne casse. Elle est restée un peu chaude de son exposition au soleil, et on s’installe sur le côté en 69. On va rester ainsi un long moment, à se caresser, se sucer, pisser sans prévenir. On s’est bien vidangé, le soir va bientôt tomber ainsi que la fraicheur, et on rentre à l’abri après s’être laissé sécher. On va à la petite chambre et on reprend notre 69, mais par pour pisser cette fois, pour se faire bander, se faire jouir, se vider les couilles. On s’attend pour éjaculer en même temps et on avale tout.

On est maintenant à la cuisine, et il attrape de quoi se restaurer un peu, des conneries qui expliquent son embonpoint: charcuterie, fromage, pain, vin rouge malgré tout ce que l’on a bu, le tout à volonté. Je l’aide à tout amener sur la petite table du salon et on se fait un plateau repas, assis à poil sur le canapé et en regardant un film gay. On discute, on se raconte nos expériences sexuelles. On a fini de bouffer, le film est terminé, et il est trop tôt pour aller dormir. Il me demande si j’aime les films hétéros, et enclenche une cassette: On y voit une superbe blonde, 25 ans, bouche pulpeuse, de grosses mamelles, des courbes parfaites, en compagnie de trois hommes. Ce sont des blacks, la quarantaine, montés comme des ânes. Ils ont des chibres impressionnants mais qui ne semblent pas effrayer notre salope. C’est une femelle, mais ça aurait aussi bien pu être un minet, puisque les trois queutards ignorent totalement sa chatte pour ne s’occuper que des deux autres orifices. Elles les suce en gorge profonde, ils lui baisent la bouche sauvagement, ils lui matraquent le cul et elle en demande toujours plus. Elle se prend même des doubles sodo, plusieurs pour que ses partenaires s’échangent et forment toutes les combinaisons possibles. Pour finir ils se branlent et déchargent à la chaine dans sa bouche accueillante. Elle se gargarise, est bien remplie, puis avale tout.On commente le film tout en le regardant, on fantasme sur ces beaux étalons, et on se branle réciproquement. Le film est fini et on se tient une bonne trique. On va à chambre, on se couche, sur le dos, côte à côte, la tête aux pieds de l’autre, et on se branle à nouveau l’un l’autre, virilement, avec la ferme intention de faire cracher nos jus. Il jouit dans ma main, moi dans la sienne, on se caresse encore, puis on se nettoie en 69.
J’ai encore envie de faire, lui demande où sont les toilettes, et il a un autre plan.Ca lui arrive de prendre un café pisse, et on repart à la cuisine. J’urine dans une grande carafe, puis c’est à son tour, il rabat le couvercle et on se recouche, pour s’endormir cette fois, dans les bras l’un de l’autre.On se réveille au petit matin, enchanté d’avoir un homme à ses côtés, et on se fait un câlin, on planifie notre journée. On se lève pour déjeuner. Je veux pisser d’abord, et il me propose de faire dans une bouteille, avec un entonnoir. Il fait lui aussi, et met la bouteille au frigo, pour l’apéro.Il m’a parlé d’un café pisse, et je croyais que c’était un café normal dans lequel il rajoutait son urine. En fait il ne met pas d’eau; il prend la carafe que l’on a remplie la veille, la verse dans le réservoir d’une cafetière réservée à cette préparation spéciale, et passe son café. On se prépare du pain beurre et confiture, et on se sert deux grands bols. On trempe nos morceaux de pain , et on croque dedans. Il me demande ce que j’en pense, me dis qu’il adore ça, et je tombe d’accord avec lui. Un tout petit reproche, j’aurais bien aimé du foutre sur mes tartines, et ça lui donne une idée.On termine notre copieux et délicieux petit déjeuner, on se ressert même le café qui reste.
Il va nourrir les chiens, et me propose que l’on commence avec eux, rajoutant qu’en démarrant de bonne heure on pourra les utiliser plusieurs fois dans la journée. Il me prépare le fion et appelle une de ses bêtes. Il est huit heures du matin, j’ai déjà pris un déjeuner cochon, et je me fais monter par un chien qui m’encule profond, comme une chienne. Il me sodomise pendant près d’une demi-heure, puis se retire. Jean-Jacques l’empêche de me lécher et me dit de ne pas bouger. Il sort le chien et revient avec une assiette creuse qu’il place entre mes pieds. Je me redresse, m’assieds sur les talons, et je sens le sperme du chien qui s’écoule en continu. Jean- Jacques retire l’assiette puis veut profiter de mon trou ouvert et graissé pour m’enfiler. Je me mets en place et je sens son gros gourdin s’enfoncer délicieusement. Il me bourre et se retire avant de jouir. Je le suce puis il se branle et je tiens l’assiette pour qu’il jouisse dedans, généreusement, toujours à son habitude. C’est maintenant à lui de se faire mettre par l’autre chien puis par moi, et on récupère tous nos jus dans l’assiette dont on ne voit plus le fonds.
On repart à la cuisine.On a la boisson au frais pour l’apéro, et il a l’idée de faire des toasts. Il a des petites rondelles de pain de mie, on les enduit avec de la mousse de foie gras et on les pose dans un plat . Il nous reste l’assiette de foutre, trop liquide pour tartiner, et on recouvre nos toasts avec une cuillère. Il y a suffisamment de semence pour tous les napper, et on place le plat au frigo. Il n’est même pas onze heures et on se prépare rapidement pour aller dans un bar PMU tout prêt de chez lui. Il est habitué de ce lieu, on discute ave des copains à lui, on joue un tiercé et on prend un apéro, un normal celui la.On rentre, on se remet à poil, il met un plat surgelé au four, et on sert l’apéro au salon. Il remplit deux flutes à champagne avec notre préparation, et on trinque à notre santé, à la santé des putains d’enculés de salopes de chiennes que l’on est. On boit une gorgée et on se sert trois ou quatre toasts dans une petite assiette; ils dégoulinent de sperme et il ne faut pas en mettre partout. On est prêt à manger le premier et on le fait en même temps, chacun hésitant à commencer. On mâche, on savoure, on déguste, on avale et on s’empresse de s’en servir un deuxième. On se félicite pour ces excellents amuses gueules et on se roule une pelle.Il recherche sur internet des vidéos de nourriture et sperme ou pisse, et on les regarde en continuant notre apéritif. On boit, on mange, et on se roule des patins après chaque gorgée, chaque bouchée, parfois sans avoir avaler. On a fini les tartines mais il reste la moitié de la bouteille. Il restait de la mousse et des pains et on décide d’en refaire rapidement. On en prépare vite fait puis il va chercher les bêtes et on va à la chambre. Il fait s’allonger les chiens sur le lit, éloignés l’une de l’autre, et on s’installe entre les deux pour pomper chacun le sien. On a l’assiette creuse à portée et on recrache dedans chacune des bonnes giclées qu’ils nous offrent, ou plutôt que l’on leur soutire. On les a vidés et on repart au salon. Cette fois on ne nappe pas les toasts, mais on les trempe dans l’assiette au fur et à mesure, en faisant attention de bien partager. On a tout fini, jusqu’a la dernière goutte, la dernière miette, et on va à la cuisine pour déjeuner. Vu ce que l’on a déjà mangé on passe direct au plat, puis du fromage. On prend un café, un vrai celui là.
On débarrasse, on fait la vaisselle, la table est nette et j’ai envie qu’il me prenne dessus. Je m’allonge sur le dos, il me relève les jambes et je les maintiens en l’air. Il s’accroupit pour me bouffer la rondelle, la doigter, la fouiller, avant de se relever et me fourrer sa grosse queue. Il me lime, m’injurie, toujours les mêmes mots dont on ne se lasse pas. Il me fout une bonne ramonée puis éjacule dans mes entrailles en soufflant comme un bœuf, en grognant comme un porc. Il se retire, et s’allonge sur le sol me demandant de venir sur lui en 69. Je nettoie sa queue, et il bouffe son sperme, soulage mon œillet endolori.Je vais à mon tour lui rendre la politesse, l’enculer profond, l’insulter, gicler entre ses reins avant de terminer par un nouveau tête à queue. Il est 15h, et on décide de se reposer, de faire une sieste réparatrice avant de reprendre les festivités. On se lève plus d’une heure après, en pleine forme. On va chercher les chiens, on les branle pour les mettre en condition et on se fait monter en même temps tous les deux. On se regarde, on s’insulte, on encourage nos amants à quatre pattes. Ils nous inondent les reins à flots de sperme sans cesse répétés, et une fois terminé on se fait un 69 anal pour s’empiffrer de cette sauce chaude et merveilleusement goûtue. On va dehors au salon de jardin, on s’assied chacun dans un fauteuil, face à face, une bière dans une main, notre queue dans l’autre. On se mâte, on se dit combien c’est bon de se taper une queue dans cette situation, on se félicite pour nos bites, pour notre rencontre. On prévoit aussi la fin de la soirée, toujours les mêmes choses mais dont on ne se lasse pas:— on va s’enculer et bouffer nos semences— on va prendre l’apéro et diner— on va se faire un nouveau plan pise— on va baiser avec les chiens et engloutir leur plein de couilles.
On a tout fait comme prévu, et il est 23h et il me ramène chez moi. On se jure de se revoir dès le week-end prochain, et j’arriverais le vendredi soir pour que l’on en profite encore plus. Il repart, non sans que l’on se soit roulé une pelle vorace qui n’en finissait pas.
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