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L'entretien d'embauche

Chapitre 2

Trash
Pourquoi j’ai signé ce contrat ?Cette question me hante depuis 2 jours. Mais chaque fois, la même réponse me revient en mémoire : “les factures à payer ”. Parce que je ne me fais pas d’illusions. Non, s’il m’a embauchée, c’est pour être sa pute. Mais comment j’ai pu en arriver là ? Ah bah oui, ces saloperies de factures ! J’oublie vite décidément…Car oui, je préfère être une pute qu’une SDF. Et en étant un peu pragmatique, je vais avoir quelques avantages à retirer de tout ça : une sécurité financière, un confort de vie. Je dois être assez matérielle finalement, car depuis qu’il m’a baisé la bouche comme on baiserait une poupée, je n’ai pas envisagé de faire marche arrière et de tout arrêter.
Allez, c’est mon premier jour et je sens qu’il ne vaut mieux pas que je sois en retard. Et je sais qu’il faut que je me prépare consciencieusement. Petite jupe, haut sexy, talons et maquillage. Il va falloir être jolie sinon je n’imagine pas comment ce salop me traiterait.
Me voilà arrivée à l’accueil. Une secrétaire, Sarah, m’accompagne jusqu’à mon poste de travail et m’explique les rudiments. Elle est enthousiaste et dynamique. Je me demande si elle se fait baiser elle aussi ? Je ne pense pas. Elle a l’air trop… normale pour subir ce genre de choses.
L’horloge tourne et le stress me gagne de plus en plus. Je redoute le moment où mon patron va arriver. J’espère qu’il va me laisser tranquille aujourd’hui au moins ! Puis ses mots me reviennent en mémoire “T’aimes ça sucer des queues hein ?” “Petite salope” “Avale tout sale pute !”. Non, il n’y a aucune chance qu’il soit gentil avec moi.
Le désespoir me gagne. La panique fait trembler mes jambes. Mais je me force à me calmer. Quelque part, j’’aimerais que tout ça soit fini, l’attente est trop angoissante.
Comme si le destin lisait dans mon esprit, voilà que Franck, mon nouveau patron (et bourreau) entre. Il salue cordialement la nana qui m’a aidé à m’installer et se dirige vers son bureau, juste à côté du mien. Je le vois arriver et son regard carnassier se pose sur moi.
— Bonjour mademoiselle... Rappelez-moi votre nom ?— Elodie Valler.— Oui !!! Ma petite Elodie ! Bon et bien, je vois que vous êtes connectée, super ! Je vais aller m’installer et hummm apportez-moi un café serré, je vous prie.
Le café. Ah bah oui, il ne faut pas s’attendre à faire autre chose que la pute et l’esclave bien sûr.Je me lève et retourne voir Sarah pour lui demander où est la machine à café. Toujours aussi sympa, elle me montre tout et me voilà avec le café de mon patron en direction de son bureau.
Miraculeusement, je n’en fais pas tomber une goutte. Je le dépose sur son bureau et m’apprête à repartir.— J’ai encore besoin de vous. Fermez la porte, je vous prie.
“OK, c’est maintenant que ça commence.” Voilà l’idée qui me traverse la tête en fermant la porte de son bureau.
Ne sois pas timide voyons ! Approche-toi.
Je retourne lentement à son bureau en regardant le sol fixement.— Alors, fais-moi voir ce que t’as mis sous ta jupe…
Je cherche du courage dans une profonde inspiration et je m’exécute.— Mouais. Pas terrible. Désormais je veux que tu portes des dessous très sexy. Des strings, de la dentelle, du transparent. J’adore ça ! Et montre-moi ton soutif. Retire ton haut.
Je fais ce qu’il me dit et continue de fixer le sol.Ah oui, c’est mieux là. Un soutif bien pigeonnant, j’adore !— Tes seins m’ont l’air encore plus imposant ! Viens ici, allez assieds-toi sur moi.
Je contourne le bureau et m’assois sur ses genoux. Je me fais l’effet d’être une gamine, c’est peut être un de ses fantasmes. Il sirote son café et retire mon soutien-gorge. Ses mains s’emparent de mes seins et les doigts s’activent à les masser et pincer les tétons. Ils étaient encore endoloris du traitement qu’il leur avait fait subir à l’entretien et je grimace.
— T’aime pas quand j’te pince les tétons ? Dit-il en les tordant encore plus fort— Aïe ! Non, j’ai mal. Arrêtez.
Il s’active encore plus à les maltraiter ce sadique, entre deux gorgées de café.
— Moi j’adore les tétons. Je pourrais y passer des heures. Tu vas t’y habituer, tu verras.
Puis il laissa sa tasse à café vide pour téter mes seins directement. Sa langue jouait, sa bouche aspirait, ses dents mordaient. Je restait immobile attendant la fin de mon traitement.Ses mains n’étaient pas en reste et palpaient tout mon corps. L’une d’elle commença bien vite à se frayer un chemin vers ma petite culotte. Il en écarta les bords et caressa mes poils pubiens.
Il me fit me lever pour m’asseoir au bord de son bureau. Ainsi, il pouvait plus librement prendre possession de ma chatte. Ses doigts se mirent en quête de mon clitoris qu’il masturba lentement. Au bout d’un moment il introduisit un doigt dans ma fente et sourit en constatant que je commençais à mouiller. J’avais envie de lui dire de ne pas s’emballer, que c’était une réaction mécanique uniquement, mais je me tus.
— T’aimes ça petite salope ! Oui, t’aimes ça te faire doigter par ton patron, hein ? Sale garce, tu fais ta sainte nitouche, mais j’vais te décoincer moi, tu vas voir.
Il accélère ses va et viens après avoir rentré un 2ème doigt. Sa bouche lâche enfin mes seins pour s’écarter un peu et pouvoir mieux mater cette pénétration. Je vois à quel point ça l’excite. Il me fait bien écarter mes jambes. Je suis à sa merci.
— Ahhhh j’en peux plus, faut que j’te baise sale trainée. Allez retourne-toi sale pouffe. Tu vas voir ce que j’vais te mettre, pétasse.
Il me retourne sans ménagement et plaque mon buste contre son bureau, retire ma culotte et place mon cul bien tendu vers lui. J’entends sa braguette et son pantalon qui descendent et d’une grande poussée il m’enfonce sa bite au fond de mon vagin. Je savais qu’il allait y aller fort, mais la violence de cette pénétration m’a fait lâcher un cri.
— Oh oui sale pute, putain c’que t’es serrée. Ah oui, c’est trop bon de te bourrer la chatte ma salope. Ahhhh t’aimes ça avoue !
Et il me pilone comme un fou. C’est un animal qui me bourrine à grands coups de bite. La cadence est effrénée mais il ne finit pas vite comme je l’aurais espéré. Je sens ses couilles taper contre mon pubis chaque fois qu’il s’enfonce à fond dans ma chatte. Ses mains agrippent fermement mes hanches et me ramène contre lui pour s’enfoncer toujours plus loin. Je suis son jouet, sa poupée, sa pute.
Une de ses mains lâche prise pour me flanquer une grosse claque sur la fesse et le revoilà parti dans les insultes.Sale chienne, t’aime ça te faire défoncer hein ? Oh oui petite trainée c’est que le début, tu vas en bouffer de la queue.
— Ahhhh c’que t’es bonne. Prends ça sale pute. Voilà ce que tu mérites.
Et plus il me frappe le cul et plus il m’insulte. Et plus il m’insulte, plus il frappe fort mon cul. Sa bite tape au fond de mon vagin et toujours à fond. Mon corps n’est que douleur.
— Ahhh putain j’vais jouir sale putain. Viens là, j’vais cracher sur ta gueule de salope.
Il sort de mon trou brusquement, me retourne sans ménagement et m’impose de me mettre à genoux juste à temps pour recevoir tout son foutre sur mon visage. Je sens ce liquide épais et chaud couler dans mon cou. J’en ai dans les cheveux. Je regarde ce pervers qui a vraiment l’air d’être en extase.
Je suis humiliée et honteuse. Après tout, j’ai accepté d’être une pute, alors je tiens bon.
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