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Chapitre 1

Hétéro
Je me présente, je m’appelle Lola, j’ai 25 ans, lorsque cette histoire m’est arrivée, j’en avais 15. J’étais encore novice et ignorais tout de ce que j’étais capable de faire.
Cette histoire a débuté un matin d’avril, il faisait très chaud, l’un de ces matins où l’on ne supporte pas le moindre vêtement. Pour me vêtir ce jour-là, je décidais de mettre une jupe noire et un débardeur blanc, tout ce qu’il y a de plus correct. Je complétais ma tenue avec des escarpins noirs et quelques touches de maquillage discrètes. Je descendais au salon sur les coups de onze heure. Là, se trouvaient mon frères et ses amis. J’avais pris l’habitude de leurs visites et parfois, je fantasmais sur eux. Je savais qu’ils étaient attirés par moi et j’en jouais énormément. Je savais que j’étais au centre de leurs discussions. Ce jour là, je décidais de leur faire profiter de mon déhanché à mesure que je sortais, je les sentais saliver sur mon cul. Je les testais ainsi, jour après jour, puis, en même temps, je testais mes propres limites, jusqu’où serais je capable d’aller. Lorsque je revint, ils étaient déjà partis. Mon frère, qui était assis en face de son ordinateur, vint à ma rencontre. Il me dit: "Lola, tu sais que tu fais de l’effet à mes potes. Ils se posent pleins de questions sur toi." Quelle ne fut pas ma joie lorsque j’entendis ces mots, un frisson me transperça, mon frère se rendit compte de cela et il continua son récit: " Ils m’ont demander de faire quelques vérifications." Sur ces mots, il me pris par le bras et m’entraîna dans sa chambre. Il me saisi alors la poitrine et la malaxa avec force : "Tu sais que t’es bonne Lola?" Il me caressa l’entre jambe et malgré la contrainte sous laquelle cela se produisait, je mouillais, je n’avais plus envie que cela s’arrête. Il enfonça un doigt, puis deux, puis... cinq dans mon vagin et je me mis à gémir comme une salope digne de ce nom. Mes parents n’étaient pas encore rentrés, heureusement. J’étais à présent à quatre pattes, mon cul lui était offert. Il était ravi de m’avoir plongé dans cet état de soumission, heureux de découvrir que sa petite sœur était un salope qui adorait le sexe. Une fois qu’il eut fini de s’occuper de moi, il me retourna et amena sa bite au niveau de mes lèvres. Je savais ce qu’il voulait; et je m’appliquais au mieux pour lui rendre la pareille. Il éjacula bientôt dans ma bouche et me demanda de tout avaler, ce que je fis. Puis, pour finaliser son œuvre, il m’arrosa de son urine toute chaude. Une fois qu’il eut fini, il se dirigea vers son bureau et dit en me montrant une caméra que je n’avais pas remarqué : "Maintenant tu pourras revoir tes exploits petite sœur. Et si tu veux que cela restes entre nous, tu devras faire tout ce que je te demanderais de faire." J’étais piégée, je devais lui obéir."A présent, ma belle, tu seras mon objet, mon vide couilles."
Cela faisait trois ans que j’étais devenue le vide couille de mon frère, en ce laps de temps, il m’avait imposé un port vestimentaire de salope, je n’avais plus droit qu’aux jupes et je n’étais plus autorisée à porter de sous vêtements, ainsi quand le vent venait à soulever mes vêtements, cela dévoilait toute mon intimité. Par ailleurs j’avais pour devoirs d’essayer tout un panel de pratiques dont j’ignorais l’existence jusque-là. Un jour il m’amena sur une aire d’autoroute, me mit à genoux, aux yeux de tous les routards qui étaient là, me masturba un long moment, puis, me pissa dessus en guise de remerciement. Ensuite, il m’offrit à tous ceux qui le souhaitaient, en m’intimant de ne pas laisser tomber une goutte de ce que l’on m’offrait, sous peine de punition.Il était en train de parfaire mon éducation. Un jour où je laissais échapper une goutte de son liquide, il m’ordonna de me glisser dans le lit parental et de sucer mon père jusqu’à ce qu’il atteigne l’orgasme, mais, sans le réveiller. Les deux première fois, j’accomplis cette action avec brio. Mais, la troisième fois, mon père se réveilla et je dû tout lui dire. Il me regarda un instant, ma mère dormait profondément juste à côté. Il me caressa la poitrine et me dit ne t’en fais pas. Le lendemain, je le vis en grande discussion avec mon frère. dans l’après-midi, je compris que j’étais devenue à la fois le vide couille de mon frère, mais aussi celui de mon père. Et, pour entériner ce nouveau statut, ils m’offrirent un collier et une laisse que je ne devais plus enlever. De nouvelles règles firent leur apparition. Je devais à présent les vouvoyer, les appeler "Monsieur" et surtout, je n’étais plus autorisée à les regarder, je devais garder le regard baissé. Je devins une chienne, un objet dont ils se servaient à loisir, un objet qu’ils pouvaient prêter. Et je me complaisais dans ce rôle.
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