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Eragon sexe

Chapitre 1

Zoophilie
Eragon se réveilla, long retour dans le monde réel, la douleur provoquée par la blessure infligée par Durza l’avait plongé.«Eragon!»«ça va Saphira, je vais m’en remettre»Il vit alors la tête de Saphira dans l’escalier et comprit qu’elle avait tenter de le rejoindre lors de sa crise.«tu veux bien me laisser passer?» demanda Eragon.«j’aimerais bien mais je suis coincée»L’hilarité secoua alors Eragon, suffisamment pour lui faire monter les larmes aux yeux.«ce n’est pas drôle, aide moi à sortir» lui dit elle.Il poussait mais elle ne bougeait pas dun pouce.«attends, je vais passer par l’extérieur pour descendre en bas et t’aider»Il remonta les marches et se rendit devant l’ouverture de l’arbre dit «que le vent me porte» ouvrent le flux de magie. Il se sentit soulever puis porter jusqu’à la seconde ouverture plus bas.Saphira avait largement abîmé l’escalier au bas des marche en tentant vainement de se sortir de cette situation et semblait maintenant trop fatiguée pour bouger.A la vue du fessier de sa dragonne, il lui vint une idée. Il se dirigea vers elle et saisissant ses vêtements, les retira, sortant de se fait son pénis déjà dur.«Eragon, que vas tu faire?» demanda alors Saphira.«Même si Glaedr ne désire pas t’honorer de sa force, rien ne t’interdit de ne pas ressentir la force d’un homme en toi»«Arrêtes tu ne peux pas faire ça, je te l’interdis!» Et elle commença à agiter sa longue queue recouverte d’écailles en tous sens pour l’empêcher d’approcher de son intimité.Grâce à sa magie, Ergone attendit qu’elle écarte la queue et la pétrifia d’un sort, et il s’approcha alors librement d’elle.«Eragon, arrêtes»Trop tard, il s’enfonça doucement dans le vagin de Saphira, celui-ci, n’ayant jamais été pénétré, il était aussi serré que celui d’une jeune femme, il s’enfonça le plus profondément, n’atteignant même pas l’hymen de sa dragonne. «Ha! De toute façon tu n’es pas assez gros pour me baiser dit-elle.«Attends un peu voir»Il se retira et usant de magie dit: "grandir", et vit son pénis prendre lentement une taille considérable ce qui augmentait son poids, lorsqu’il devint d’une taille énorme même pour un dragon, il rompit le sort et en composa un pour qu’il ne pèse pas aussi lourd.Brandissant alors l’énorme sexe, il posa le gland contre les grandes lèvres de Saphira et d’un vigoureux mouvement du bassin la pénétra d’un coup. «Hhhhhaaaaaaaaaaaaaa!!!!!!!!!!!!!!» hurla la dragonne.«Tu me déchires les paroies vaginales, vas y doucement»Il sentit l’hymen se déchirer et un liquide doux et chaud se répandre dans la chatte de Saphira, ce qui pour effet de faciliter ses pénétrations.Il pouvait la sentir résonner, et lui dit« Alors, pas si mal hein, ont dirait même que tu aimes bien»«Arrêtes de parler et baises moi!» lui ordonna t’elle «Vos désirs sont des ordres, amie de mon cœur»Et il commença des va-et-vient puissant, sortant presque entièrement son membre de la chatte si accueillante qui le recevait. Sa dragonne ronronnait de plaisir sous les assauts de ce membre si vigoureux qui comblait enfin ses désirs sexuels qu’elle n’avait jamais pu assouvir.Se balancant au rythme des pénétrations, Saphira ne mit pas longtemps à sentir venir le plaisir par vagues de plus en plus fortes qui finirent par la terrasser, et poussant un puissant rugissement elle succomba au poids du plaisir et s’effondra flasque sur le sol. Eragon qui continuait ses va-et-vient poussait des grognements de satisfaction, il ressentait le plaisir de la dragonne par leur lien mental, il était au bord de la jouissance, et soudain il vint, il déchargeait dans Saphira de longs jets de sperme chaux et gluant. Il ne se retira qu’après que ses bourses vides refusèrent de donner du précieux liquide. Il s’allongea sur son lit, il sursauta lorsque la tête de la dragonne apparue juste au dessus de lui. Elle grogna, montrant les crocs puis lui dit par pensée,«ne refait plus jamais ça ou je t’émascule, compris!»«mais il me semblait que tu avais…»Elle ne lui laissa pas le temps de répondre, car d’un vif mouvement, elle tourna la tête et la mâchoire ouvert au dessus du sexe d’Eragon et lui dit«plus jamais!»Pris de peur Eragon répondit aussitôt.«d’accord plus jamais..»Saphira grogna puis elle alla se lover en boule sur son lit, quelques instants plus tard, elle commençait à ronfler.Son attitude perturba tant Eragon qu’il oublia d’annuler son sort et s’endormit donc avec son énorme tige dressée vers le ciel comme un défi lancé au monde.Il rêva une fois de plus d’Arya, venant l’aguicher dans ses robes moulantes qui laissaient voir ses formes parfaites aux deux globes magnifiques et au postérieur capable de rendre fou de désir le plus solide des hommes. Il rêva qu’elle se tenait la dans sa chambre, nue et ébahie devant son sexe géant, qu’elle approchait et commençait alors à le sucer lentement, sa langue glissant sur son sexe gonflé par le désir. Il pouvait voir la langue vermeille s’enrouler autour du gland et sa bouche se fermer avec avidité sur son pénis. En ressentant une forte succion qui le menait au point de jouissance, mais alors qu’il allait jouir, Arya s’arrêtait et s’éloignait de lui pour se rhabiller et partir rapidement par la trappe du plancher.Ses yeux se fermèrent, il allait se réveiller avec le soleil, Eragon senti une nouvelle vague de plaisir déferler sur lui alors qu’il sentait une nouvelle fois son sexe léché par une langue douce et chaude, il ouvrit soudain les yeux, sans faire de mouvement ou bruit qui aurait pu le trahir. Il constata alors avec étonnement que la langue qu’il sentait n’était autre que celle de Saphira.La suite dans un futur proche, si vous ce texte vous plaît
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