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Eric et Paul

Chapitre 2

Gay
Episode 2 : la baignadeDès le lendemain en début d’après-midi, je retrouve Eric devant chez lui. — viens, je te présente ma mère !Il m’entraîne derrière la maison où sa mère est en train de bronzer sur la terrasse. Je reste sans voix devant cette belle femme. Elle doit avoir à peine quarante ans. Elle a un corps de rêve. Son soutien-gorge de maillot de bain contient à peine sa belle et généreuse poitrine.— maman, voici Paul, dont je t’ai parlé.— Bonjour Paul me dit-elle en me tendant la main.Je peine à lui répondre tellement je la trouve belle. — On va vers la rivière …— Soyez sages ! lance-t-elle en se remettant sur son transat.On enfourche nos vélos et on se dirige vers la campagne.— Eric, on retourne à la cabane ? — non je pensais d’abord te montrer un autre coin tranquille … j’y vais souvent pour me baigner et pour bronzer. On peut se mettre à poils tellement c’est peinard !Je le suis dans les petits chemins et on arrive enfin dans son petit coin après avoir marcher un peu sous les arbres. Il se déshabille tout de suite et va à l’eau. Je l’imite sans hésiter. Elle est fraiche et freine un peu mes ardeurs.Etendus sur les galets, on se laisse réchauffer au soleil. Un fois secs, Eric m’entraine vers un coin de la berge. — Y’a des coins vraiment sympas par ici. On peut se poser par là, plus à l’ombre. Derrière ces arbres, il y a une clairière….On fait le tour du secteur, toujours à poils. Quel plaisir de pouvoir déambuler ainsi ! Je me sens vraiment bien dans cette nature. On revient jusqu’à nos affaires. A peine assis, Eric se colle dans mon dos.— J’ai pas arrêté de penser à ton petit cul depuis hier soir !Il me prend la queue et me branle doucement. Sa tête est dans mon cou.— Et là j’ai vraiment envie de toi … de me sentir glisser dans ton petit cul serré …— Je croyais que tu voulais que je te baise moi aussi …Je sentais sa bite presser contre mon dos.— C’est vrai que ta queue est belle et qu’elle doit faire du bien … mais ton cul m’excite tellement !— Laisse-moi te baiser d’abord et ensuite tu pourras faire tout ce que tu veux à mon cul !— Très bien … mais ne jouis pas tout de suite. Nous avons tout l’après-midi devant nous !Je me retourne pour l’embrasser à pleine bouche. Il se met à quatre pattes et me présente ses fesses qu’il ouvre avec ses deux mains. Je plonge ma langue vers sa rondelle. J’y mets mes doigts avant de me positionner. Je rentre assez facilement malgré ma grosse érection.
— C’est pas la première fois pour toi !— Non … j’avoue … mais ta queue est super bonne !Je le lime un peu mais je sens tout de suite le plaisir monter.— Je suis trop excité. Je vais jouir trop vite !— Ce n’est pas grave. Tu me reprendras tout à l’heure. Laisses-moi m’occuper de toi !Je me positionne à mon tour à quatre pattes et le laisse s’occuper de moi. Ses caresses m’électrisent tout le corps. Il m’attrape les couilles en glissant sa main entre mes fesses, longe le périnée. Je bande comme fou et il se garde bien de ne pas me saisir la hampe directement. Il me travaille ensuite la rondelle pendant un long moment, alternant les coups de langues et l’introduction de doigts. Petit à petit, je me sens m’ouvrir, prés à accueillir sa grosse queue ! Patiemment, il attend encore … jusqu’à ce que je le lui réclame :— Baise-moi Eric, défonce-moi le cul … — C’est ce que je voulais t’entendre dire ! je veux que tu m’implore de te baiser, comme une salope en chaleur, comme une chienne… tu es tellement chaude que ton gland mouille !Joignant le geste à la parole, il referme sa main sur mon gland dégoulinant de liquide séminal. Comme brulé à vif, je gémis tout en me cambrant, creusant les reins tout en écartant les pieds, ouvrant ainsi encore un peu mes fesses pour lui offrir ma rondelle.— Baise-moi, ramone-moi les reins. Je suis ta pute, ta salope ….Il me présente sa main maculée de mon fluide. Je la lèche avec avidité. Je ne me reconnais plus. Il m’a transformé en chienne lubrique.Il se positionne enfin entre mes jambes et pose son gland sur ma rondelle. Je gémis encore. Juste ce contact me transporte. Je me recule vers lui pour m’empaler sur son pieu, pour accélérer un peu son intrusion, mais il recule. Il veut maitriser toute l’opération. Il me caresse avec son gland, le faisant descendre le long de mon sillon fessier. Ses mains passent sur mes hanches, glissent sur mon ventre, remontent vers ma poitrine. Mes tétons sont si durs que je les sens pointer. Jamais je n’ai senti ça ! il les attrape entre deux doigts. Une décharge électrique me parcourt le corps, entre mes tétons et mon anus que son gland vint d’investir. Cette fois-ci il glisse en moi d’un coup. Je suis transpercé en un seul mouvement, plaqué contre ventre, maintenu par ses mains sur mes hanches. Il me garde contre lui, son chibre planté dans mon ventre. Je savoure cette intrusion, contractant mes sphincters pour profiter au maximum du contact chaud de ce membre vigoureux. Il s’assoit sur ses pieds, me gardant contre lui solidement vissé. Je me pose sur ses cuisses, soulageant mes bras. Il passe sa main sur mon ventre et se saisit de ma queue. Je bande encore malgré ce pieu dans mon ventre.— Regardes comme tu bandes toujours ! tu aimes vraiment te faire pilonner le cul … dit-il à mon oreille, tu deviens déjà une vraie petite salope— Je suis ta salope … je suis ta chienne… c’est trop bon de te sentir au fond de mon ventre.Il délaisse ma bite pour me pincer les tétons toujours aussi durs. Il les étire, provoquant encore des frissons. — T’es aussi sensible des seins qu’une jeune fille en chaleur …Tous ces mots m’excitent énormément. Je remonte mes bras au-dessus de la tête pour mieux m’offrir à ses caresses. Je cambre, ondule du bassin, pour mieux encore sentir ma rondelle dilatée sur son membre durci. Il se redresse, me faisant reposer mes mains par terre. Il me prend fermement les hanches et commence à se dégager. Il prend son temps, glisse doucement hors de moi. Lorsque je sens le bord du gland repoussé ma rondelle, il revient en moi. Après plusieurs longs coups de rein, il se laisse sortir complétement, me laissant l’anneau ouvert. — Reviens …encore …— Non ! je ne veux pas jouir et tu es trop bonne !Je reste un moment le cul en l’air, la tête posé par terre, savourant les derniers frissons de sa pénétration. Je bande toujours comme un fou et je dois lutter pour ne pas me branler.Eric est retourné à l’eau rapidement, pour se calmer les idées. — Tu devrais faire pareil. Tu ne vas jamais pouvoir tenir sinon !— Eric, c’est trop bon … ta queue quand tu m’enfiles comme ça … jamais je n’aurais cru aimer ça autant !— C’est vrai que c’est super … tu sais, tu n’aies pas le premier gars avec qui je baise mais jamais je n’ai apprécié comme ça ! Je vais me rafraichir un moment dans l’eau dont la température permet de calmer les ardeurs. Je retrouve Eric sur les galets qui me regarde approcher en souriant.— Qu’y a-t-il ? A quoi penses-tu ?— Tu sais ce qui me ferait plaisir …— Tout ce que tu veux !— J’aimerais bien que tu te rases … partout. Je regarde la touffe de mon pubis, le petit duvet sur ma poitrine.— Tu trouves que j’ai trop de poils ? pourtant je ne suis pas très poilu— J’aimerais toucher ta peau toute lisse … ton ventre, tes couilles, tes fesses … partout. — J’ai les fesses poilues ?? dis-je en me tournant, une main sur les fesses.— Les fesses…un peu mais aussi là, ajoute-t-il en passant ses doigts dans ma raie et en s’arrêtant sur ma rondelle. Tu en as un peu par là et je suis sûr que si tu étais sans poils, ce serait encore meilleur pour toi !— On verra … Bien évidemment cela me fit bander, car ça m’excitait de m’imaginer tout lisse. — On verra, tu parles, me dit Eric en se collant dans mon dos, regarde comme tu bandes déjà à l’idée de te montrer tout épilé pour moi … comme une petite pute prête à tout …— Ouiii…— ….comme une petite femelle en chaleur ….— Je me sens vraiment femelle quand tu me parles comme ça ….— Je te propose de rentrer maintenant. J’ai un peu faim et il nous faut reprendre des forces pour ce soir … à la cabane … Je me redresse et attrape mes affaires.— Ecoutes me dit-il encore, j’aimerais que tu restes comme ça … le plus longtemps possible … le temps qu’on arrive au chemin du haut …— Tu crois que …— En avant, ajoute-t-il en attrapant mes affaires. Passes devant que je vois ton petit cul devant moi !L’idée est géniale car j’adore vraiment me balader tout nu. Le coin est tellement tranquille qu’on pourrait presque arriver jusqu’à chez ma grand-mère sans voir personne !C’est seulement qu’une fois engagés sur le chemin qu’Eric me rendit mon short et mon tee-shirt. Je me suis bien gardé de les lui réclamer avant.En arrivant devant chez lui, sa mère est en train de vider le coffre de sa voiture. Sa jupe courte laisse voir ses belles jambes et son corsage met bien en valeur sa magnifique poitrine— Alors les garçons, bien amusés ! lance-t-elleSi elle savait …— Oui, maman, très bien. On s’est baigné à la rivière. C’était génial !— Mais vous n’aviez pas pris de serviette !— On s’est séché au soleil— Ni de maillot d’ailleurs, dit-elle avant de pencher vers son coffreElle ne me voit pas rougir un peu, sous le sourire d’Eric— On se voit tout à l’heure Paul— Bien sûr, pas de problème
J’ai vraiment hâte à ce soir. Je vais lui faire une surprise !
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