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Eric et Paul

Chapitre 3

Gay
Avant le repas, je prends le temps de passer à la salle de bain. Je me suis rasé le pubis, les couilles et la queue. Pour les fesses, ce fut un peu plus délicat mais je suis parvenu à un bon résultat. Je suis peu poilu, c’est plus facile. Pour bien voir autour de ma rondelle, je me suis accroupi au-dessus d’un miroir. Je me suis même rasé les quelques poils autour de mes tétons, les aisselles et le léger duvet de ma poitrine. Tout de suite ils sont devenus tout dur, et sensibles. Humm j’adore ! Je prends ensuite une douche rapide. La sensation de l’eau sur ma peau toute lisse est géniale ! J’ai hâte d’avoir les mains d’Eric posées sur moi. La vue de mon anus, le passage du rasoir et la perspective de me faire encore prendre par Eric tout à l’heure me met dans un drôle d’état. Je dissimule ma queue tant bien que mal dans mon jean moulant. Je dîne tranquillement avec ma grand-mère avant d’aller retrouver Eric. Je suis impatient d’y être.Ma grand-mère prend le temps de discuter un peu :’’Qu’as-tu fait aujourd’hui ? Avec Eric, très bien. Il est gentil … sa mère aussi. Vous vous êtes baignés. Il y a un autre endroit, un peu plus loin, mais il doit y avoir plus de monde. Bon amuses toi bien mon grand. Je serais surement couchée et endormie quand tu rentreras. A demain’’J’enfourche mon vélo et fonce chez Eric. Il m’attend près de son portail, assis sur le petit mur. Il remarque mon pantalon moulant— Alors ma chérie, tu t’es fait belle ? dit-il en souriant— He, pas si fort … ta mère pourrait entendre !Il m’a attirait contre lui, une main sur les fesses. — Mais non, elle est sortie ce soir, elle revient vers minuit ! viens, suis-moi !Il me prend la main et m’entraîne vers la maison. Dans le salon, il me prend dans ses bras et m’embrasse à pleine bouche.— Ce soir, la maison est à nous ! ce sera mieux que la cabane, tu ne crois pas ?— Ho si !!— Je te montre ma chambre !Je le suis dans l’escalier. Sa chambre est assez grande, avec un grand lit, un bureau, armoire. Des affiches aux murs, des bricoles partout …— Je crois que tu n’as pas besoin de tes vêtements ce soir …Je ne me fais pas prier. Je défais ma chemisette et ma braguette. Assis sur le lit, il me regarde me défaire de mes fringues. Ses yeux s’agrandissent quand il découvre mon corps rasé.— Mais dis-moi ma grande, tu as fait des efforts pour ce soir …Il m’attire vers lui et me caresse les hanches, les fesses, mes couilles. Je bande déjà comme un fou. Il évite de me toucher la bite, conscient de l’état dans lequel je suis déjà.— Tu es chaude comme la braise … Debout devant lui, jambes écartées, main sur la tête, je le laisse découvrir mon corps.— …chaude comme une femelle en chaleur … regarde tes tétons … aussi durs que ton gros clito … tu sais à quoi je pense… et si tu portais des dessous sexy pour moi ?— Tu veux que je mette … — ..des sous-vêtements sexy … de femme … suis moi !Il m’entraîne derrière lui. On redescend vers la chambre de sa mère. Il ouvre les tiroirs d’une commode. Visiblement, il sait ce qu’il cherche. Il me tend des bas en voile noir, puis un porte-jarretelles noir.— Tu sais les mettre ?Bien sûr que je sais les mettre. Depuis le temps que je porte en cachette ceux de ma mère! Je m’assois au bord du lit, ramasse un bas sur lui-même avant d’y engager le pied. Le contact du voile sur ma peau toute lisse est divin. J’enfile le second puis referme les portes jarretelles autour de ma taille. J’y accroche les bas.
— Houaa ! alors là ma chérie, t’es vraiment craquante ! regarde-toi là !Une grande glace orne la porte d’une armoire. Les bas affinent les jambes et mettent en valeur mes fesses qui ressortent bien entre les jarretelles de derrière. Je bande très fort et voir ma queue se dresser entre les jarretelles est très excitant, surtout avec la présence d’Eric.— Et maintenant, tu sens encore plus femelle ….— Oui Eric, j’adore ça …— Passe ce chemisier et noue-le sur le ventre. Essaye ces chaussures pour voir ! ceux sont des escarpins ouverts, même si ils sont un peu petits tu pourras les porter. Il te faut des talons..Je passe mes pieds dans les escarpins à peine trop petits. Je suis maintenant perché sur des talons de cinq centimètres pas très large, mais pas aiguilles tout de même. Tout de suite le galbe des jambes change.— Regarde ton allure maintenant. Tu vas vite apprendre à marcher avec tu vas voir ! maintenant allons prendre un verre.Je le suis dans le salon sans difficulté. Ces talons sont guère plus hauts que ceux que je porte à la maison quand maman n’est pas là.— Ma chérie … tu veux bien que je t’appelle comme ça ? ma chérie, trinquons à ta nouvelle identité. D’ailleurs quel prénom choisir … Paulette… tout simplement !— Vas pour Paulette, dis-je en levant mon verre.— Et si tu commençais par me faire une petite pipe ma chérie … tu dois attendre ça avec impatience.Affalé dans un grand fauteuil, Eric défait son short et ouvre largement ses cuisses. Je m’agenouille entre les jambes de mon homme et le prend en bouche. Sa queue déjà bien bandée grossi encore un peu sous ma langue Je suis terriblement excité …excitée ?... je ne sais plus … la tournure que prennent les choses me dépasse un peu. Venu pour passer des vacances tranquilles chez ma grand-mère, je me retrouve à offrir mon corps à un jeune étalon, en portant des dessous féminins. Finalement, je ne peux me défaire de mes penchants pour le travestissement. Si j’étais resté à la maison, je passerais mes journées en fille avant de me changer pour le retour de maman.— Comment veux-tu jouir mon chéri ? lui dis-je en jouant avec son gland du bout de la langue— J’hésite à te remplir le cul ou la bouche. J’ai envi que tu sentes mon jus dans ton ventre, qu’il coule entre tes fesses …— Oui … remplis-moi …— …mais j’ai aussi envie de te baiser la bouche.— Fais les deux … remplis moi le cul et finis dans ma bouche !— Tu veux bien ma chérie ?— Tout ce que tu veux … ajoutais-je avant d’avaler presque toute sa queue.A plat ventre sur la table de la salle à manger, les jambes bien écartées pour caler mes pieds contre ceux de la table, je lui offre mes fesses. Il joue un instant avec ma rondelle, la lèche, gode mes couilles. Il pose son gland sur mon œillet que je force pour l’ouvrir. Il glisse doucement en moi. Ma rondelle s’ouvre pour avaler sa bite. Il entre d’un coup jusqu’à la garde, plaquant son ventre contre mes fesses. Je le sens bien à fond. Je me cramponne au bord de la table, poussant mon cul à la rencontre de son pieu. Il me lime, doucement d’abord, en accélérant progressivement. Plaqué sur la table, je profite pleinement de l’instant. Je le sens se raidir. Il me pilonne plus fort et soudain je sens sa liqueur chaude dans mon ventre. Encore quelques coups de rein et il se retire. Je m’agenouille et ouvre ma bouche. Sa bite juteuse plonge au fond de ma gorge. L’odeur est un peu forte mais qu’importe. Je le suce avidement. Il se raidit encore et de nouveau son jus me remplit. Il a encore de la réserve. Je déglutis, avale sa semence. Je le sens perdre un peu de vigueur mais je le suce encore et encore. Il est satisfait. — A toi maintenant !Il m’allonge par terre et me chevauche, pour me prendre en bouche tout en remettant sa queue dans la mienne. Il me suce tout en me branlant. Je continue à nettoyer sa bite juteuse. Soudain je jouis à mon tour et me vide dans sa bouche avec de grands jets. Il se retourne et m’embrasse à pleine bouche. Il a gardé mon sperme et j’accueille sa langue maculée de ma semence. Il me fait avaler ma liqueur.Un regard vers la pendule … déjà presque minuit… sa mère va rentrer.— Il va falloir que je rentre mon chéri … je vais me changer— Non, restes comme ça … il n’y personne à cette heure. Ta maison est tout prêt ! je vais te prêter une jupe.— Mais si je croise quelqu’un— Mais non. De toute façon, tu le verras arriver de loin. Tu te cacheras !Je me laisse facilement convaincre. Je suis trop heureuse dans cette tenue. J’accepte sans trop savoir ce qui peut m’attendre. Mais pour lui je ferais n’importe quoi !J’enfourche mon vélo après avoir enfilé une jupe courte. C’est très excitant de rouler ainsi. Je suis heureuse. J’arrive chez ma grand-mère sans encombre. Tout est calme. Je pose mon vélo derrière la maison et entre doucement. Je gagne ma chambre toute excitée. Je bande encore. Avant de quitter mes bas, je me branle encore et cette fois-ci, je recueille mon sperme pour le lécher.Je n’ai pas vu ma grand-mère derrière le rideau de sa chambre me regarder poser mon vélo. Elle le repousse en se tournant vers Laure, la mère d’Eric— Je crois que nos gamins se sont bien amusés et Paul a vite trouvé sa place !— Tu as eu raison de m’appeler tout à l’heure Renée— Quand j’ai vu les poils dans la salle de bain, j’ai bien pensé qu’il s’était rasé le cul et qu’il était prêt à aller plus loin.— Apparemment il a bien progressé. Eric va me raconter sa soirée. Je te tiens au courant.
Laure quitte discrètement la maison de Renée et arrive chez elle rapidement. Eric l’attend sur le canapé. Il est encore nu et regarde une vidéo. Sur l’écran, une belle transsexuelle se fait sodomiser par un grand black vigoureux pendant qu’elle suce une autre grosse bite. Sa lourde poitrine se balance au rythme des coups de rein de son amant.— Alors mon chéri, comment ça s’est passé ?— Paulette est géniale...— Paulette ?— Oui, elle a accepté tout de suite de se faire appeler Paulette. Tu la verrais avec ses bas et ses talons ! — Je l’ai vue arriver chez Renée— elle marche pratiquement comme une fille ! et elle hyper sensibles des tétons. Dès qu’on les lui caresse, elle part ! tu es sure qu’elle n’est pas déjà entrainée ?— Je ne crois pas …il faut que je demande à Renée ….Laure s’est assise près de son fils. Elle lui attrape la queue et la caresse doucement. — Tu as bien travaillé mon chéri. Tu mérites une récompense !Elle se lève et va dans sa chambre. Elle revient dans le salon quelques minutes plus tard, nue, en ne portant qu’un gode ceinture autour de la taille. Eric se lève et se cale contre le dossier du canapé, face à la télé, offrant ses fesses à sa mère. Laure place le bout du gode sur sa rondelle tout en le prenant par les hanches et pousse doucement mais fermement. Eric gémit— Oui …oui… défonces moi le cul … — T’es ouverte comme une chienne en chaleur ce soir ! Paulette t’a vraiment excitée !Sur la télé, la transsexuelle fait jouir un mec entre ses gros seins alors que l’autre lui suce sa queue. Eric attrape sa bite et se branle. Laure accélère ses coups de rein. — Allé joui maintenant et va te coucher. Demain, nous aurons d’autres plaisirs.Eric éjacule contre le dossier du canapé. Laure se retire. Elle lui tapote les fesses en lui disant :— Nettoie moi tout ça et range la vidéo de ton père. Paulette ne doit pas la voir tout de suite !
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