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Eric et Paul

Chapitre 5

Gay
On retrouve gm et Laure sur la terrasse qui discute toujours. — Mon chéri me dit gm, tu vas rester là. Sans doute ce soir aussi …— Eric a une grande chambre … et un grand lit … il n’y a pas de problème de couchage, ajoute LaurePasser la nuit avec Eric …— Et sois bien sage me dit gm avec un grand sourire. — Je n’ai pas mes affaires …— Tu n’as rien besoin de particulier dit Laure. Je t’en prêterai … Je repense à ma tenue d’hier soir, à sa jupe, ses bas … je me sens rougir.Laure s’est approchée et passe son bras dans mon dos. — Y’a aussi les affaires d’Eric … et l’été on n’a pas besoin de grands choses de toute façon !— Je file, lance gm, je vais être en retard, et elle sort.— Nous on va déjeuner, annonce Laure, je vous propose un pique-nique dans le jardin !

Avant de s’installer dans le jardin, Eric me propose de se mette plus à l’aise et me passe un short léger. Je me demande comment je vais dissimuler mon érection que je ne parviens pas à calmer depuis que je suis arrivé.Assis sur un grand drap étalé dans l’herbe, on mange tranquillement. Laure s’est mise en maillot de bain, un bikini assez sexy dont le soutien-gorge contient difficilement sa poitrine généreuse. Les tétons sont à peine dissimulés sous le tissu léger. Le string est vraiment minimaliste et son sexe est parfaitement moulé, visiblement épilé. Elle s’est assise en tailleur, ses cuisses largement ouvertes. Assis près d’elle, j’ai une vue incroyable entre sa poitrine, son ventre, son sexe …. Je tente de cacher mon érection. Nos genoux se frôlent, se touche même parfois. Elle pose sa main sur ma cuisse— dis-moi Paul, tu as la peau bien lisse … tu te rases ?— je … heu …— tu devrais plutôt t’épiler, tu sais— mais … je …Je ne sais pas quoi dire. Eric nous regarde avec un petit sourire.— Et tu t’es rasé partout ? ajoute-t-elle avec un regard malicieux avant de reprendre son repas.On termine tranquillement notre déjeuner et Laure se lève pour aller chercher les desserts. Eric s’est rapproché pour me parler de la cabane. Il veut y retourner cet après-midi. — J’ai vraiment envie de toi … Je bande encore plus. Il glisse sa main le long de ma cuisse pour remonter sous le short. Il attrape ma queue, puis mes couilles.
— Toi aussi t’a envie, insiste-t-il— Oui, j’ai envie … — T’as envie de quoi ?— De toi, que tu me baises … Ses doigts sont descendus le long du périnée et titillent mon anus. Ça me rend dingue cette caresse. Il sait me rendre fou ce mec … — Tournes toi, mets-toi à quatre pattes— Mais ta mère va revenir— Je te prends vite fais … j’ai trop envie … on la verra arriver de loin …Il me prend les couilles à pleine main, les malaxe.— Dépêche-toi !Je me laisse convaincre, excité aussi par le danger. Je me retourne tout en descendant mon short. Eric est déjà redressé, la queue tendue. Il se crache dans les mains pour se lubrifier le gland. Il s’approche et se positionne à l’entrée de ma grotte. Appuyé sur mes mains, je surveille la maison, anxieux de voir apparaître sa mère, mais terriblement excité par la situation. Il est en moi en quelques coups de rein. — T’es trop bonne Paulette … — Défonces moi … baises moi à fond Je pose la tête dans l’herbe, relevant bien mon cul vers mon amant vigoureux qui me lime profondément. Quel bonheur de baiser dehors ! Quel pied de se sentir transpercé ainsi ! Je le sens se raidir encore. Je me redresse en restant cambré. Il m’attrape par les aisselles, ses doigts frôlant mes tétons hyper sensibles. Il accentue ses coups de rein. Je sens bien sa queue labourer mes muqueuses internes, passer sur ma prostate. Il jouit en claquant fort on ventre contre mes fesses. Je ferme les yeux en renversant la tête. Je le sens se répandre en moi. Quel bonheur ! Moi aussi je sens le plaisir monter, surtout qu’il m’attrape les couilles.— He bien on ne s’ennuie pas ici !J’ouvre les yeux. Laure est revenue sans que l’on s’en aperçoive. Eric est toujours au fond de mes fesses et sa main sur mes couilles. Je ne peux retenir mon éjaculation. Et là, sous les yeux de Laure, je lâche trois ou quatre jets de sperme en retenant difficilement des gémissements de plaisirs. Eric ne bouge pas et me garde contre lui. Je ne le vois pas sourire à sa mère.Laure s’agenouille devant moi.— Tu es effectivement rasé partout … et cela te va plutôt bien … Paulette !Je veux me dégager pour me rhabiller. Je me sens honteux.— Eric m’a déjà tout dit … ne t’inquiète pas, cela ne me gêne pas du tout … au contraire. Elle s’approche encore et me prend le visage à deux mains. Elle sourit. — Tu peux être Paulette tout le temps si tu veux … je peux faire de toi une vraie petite femelleElle m’embrasse doucement sur la bouche. Pris entre la mère et le fils, je me laisse faire. Oui j’ai envie d’être Paulette car j’aime me faire traiter ainsi. Elle m’attrape la queue. — Dis-moi que tu veux être cette petite femelle, et je te ferai connaître des plaisirs incroyables— Oui … oui faites de moi ce que vous voulezEric est toujours entre mes reins et recommence à me limer à nouveau, glissant parfaitement dans mon fourreau bien lubrifié par son foutre. Laure me prend les tétons et les tourne entre le pouce et l’index. Je reprends moi aussi de la vigueur. Je bande à me faire mal. Dans un état second, je ne me contrôle plus. Je pose mes mains sur ses seins. Elle défait le nœud de son maillot derrière le cou et me présente sa lourde poitrine. Je peux enfin toucher, caresser ses seins. Elle défait aussi les nœuds sur ses hanches, faisant tomber son string. Elle me prend la main et la guide vers son sexe humide. Je me penche pour embrasser son sein, sucer le téton dressé. Eric me besogne toujours. Il ne va pas tarder à jouir encore. Il me pousse contre la poitrine de sa mère qui a repris mes tétons. Il râle de plaisir et me pilonne plus fort. Il éjacule en se plaquant contre moi, s’introduisant encore un peu plus loin. Apres un instant de pose, il s’écarte, me laissant la rondelle ouverte, pour s’asseoir près de moi. Je caresse toujours le sexe de Laure qui gémit doucement tout en accompagnant mes caresses par des mouvements du bassin. Elle jouit à son tour, m’inondant la main de cyprine. Elle me reprend la tête à deux mains et m’embrasse, sa langue fouillant ma bouche. — Je suis vraiment ravie que tu veuilles bien être une femelle ma chérie…
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