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Eric, le soumis de sa sœur

Chapitre 4

Trash
Chapitre 4J’allais donc à la rentrée scolaire vivre en colocation avec ma sœur Cathy et ses trois copines Charlène, Cécile et Emilie. Elles m’avaient toutes les trois surprises en train de me masturber dans la lingerie de ma mère en reniflant la culotte de ma sœur. La veille de ma rentrée, j’emménageais dans l’appartement. En arrivant ma sœur posa tout de suite les conditions :« Petit branleur, avec mes amies nous avons décidé des règles qui allaient diriger ta vie à partir de maintenant. Premièrement ton nom officiel c’est petit branleur. Cela convient mieux à ta position. Deuxièmement dés que tu arrive chez nous, tu te déshabille entièrement. Tu n’auras plus d’intimité. Troisièmement, tu feras toutes les corvées de la maison : ménage, lessive, repassage. Enfin, tu ne fais rien sans en avoir l’ordre. Et tu ne discute d’aucun des ordres de tes maîtresses. C’est un début.« Oui maîtresse Cathy.« Alors fous-toi à poil tout de suite et tu me suis.Je retirais prestement mes vêtements. J’étais excité par la situation. Mon sexe bien que de taille ridicule se durcissait sous les mots de ma sœur. Je la suivais dans l’appartement. Elle portait une courte jupe légère, ses jambes étaient nues et elle portait de jolies ballerines noires. Cela mettait en valeur sa beauté naturelle. Un simple débardeur blanc couvrait ses seins qui me semblaient fermes. Je n’avais pas eu encore la chance de les toucher mais cette idée me traversait l’esprit. Nous sommes arrivés devant une petite pièce. Elle ne contenait qu’un petit lit assez étroit et une armoire. Il n’y avait pas de fenêtre et comme elle était mansardée, je ne pouvais y tenir debout.« Ce petit débarras sera ta chambre. Range-y tes affaires, et après tu viendras prendre tes ordres.« Oui Maîtresse Cathy.Peut après qu’elle m’avait laissé seul j’entendis des pas derrière moi. Je me retournais et vis Cécile.« Alors petit branleur tu ne dis pas bonjour.D’instinct je m’agenouillais devant elle et déposais un baiser sur chacun de ses pieds. Elle portait des sandales à talons compensés et ses orteils étaient délicatement vernis de rouge. Elle portait un pantalon de fine toile blanche à travers lequel se dessinait sa culotte. Elle portait un chemisier blanc également. «C’est bien petit branleur. Je rentre du travail. Je vais prendre une douche. Après tu viendras me retrouver au salon.« Oui maîtresse CécileConformément aux ordres de ma sœur, j’allais frapper à sa chambre pour recevoir mes nouveaux ordres. Elle était allongée sur son lit, sa jupe était remontée sur ses anches et d’une main elle se caressait le clitoris tandis que de l’autre elle se caressait les seins. D’une voie tremblante d’excitation, elle me dit :« Viens ici, petit branleur faire du bien à ta grande sœur comme je te l’ai appris.Je me mis à genoux entre ses jambes et j’enfouis ma tête jusqu’en haut de ses cuisses. Je m’appliquais à lui donner du plaisir avec ma langue. L’humidité de ses entrailles s’amplifiait soudain et c’est un filet de liquide chaud et odorant qui sortait de sa chatte. Je le buvais avec délice. Puis d’un coup j’entendis ma sœur gémir de plaisir et s’avachir sur le lit. De ma langue je nettoyais touts l’humidité intime. Je restais un moment dans la chaleur de son sexe pour apprécier sa douce odeur. Discrètement je portais ma main sur mon sexe pour moi aussi me donner du plaisir. Mais bien vite ma sœur me stoppa.« Tu n’es pas autorisé à te branler. Si tu veux te branler, il va falloir le demander. « Maîtresse Cathy je vous demande l’autorisation de me branler s’il vous plait.« Autorisation refusée, petit branleur. Retourne à la cuisine pour préparer le repas de ce soir. Je t’ai dit que tu nous servirais de boniche. Il y a une liste des choses à faire.« A vos ordres Maitresse Cathy.En sortant je vis qu’elle souriait de me voir ainsi rabaissé.Après avoir commencé à cuisiner, j’entendis maîtresse Cécile m’appeler dans le salon.Elle s’était affalée sur le canapé et regardait la télé. Elle portait un peignoir. En m’approchant, je vis qu’elle était nue sous celui-ci.« Viens à coté. Je veux voir de plus prêt ton zizi.Elle me saisi la bite et commença à me branler pour me donner du la vigueur. Elle me caressa les couilles. Puis d’une main experte elle me décalotta. Elle passa ses ongles manucurés sur mon gland qui était à sa merci. J’essayais de me protéger avec mes mains mais je reçu une claque sur mes couilles.« Garde tes mains dans ton dos. J’adore jouer avec le sexe des garçons. Mais pas pour leur faire plaisir. Bien au contraire.Cette fois elle planta ses ongles dans mon gland et je serrais les dents pour ne pas m’attirer ses foudres une fois de plus. Elle me griffa tout le long de ma verge. Les larmes me coulaient sur les joues. Malgré la douleur, je gardais mon sexe en érection. Elle délaissa ma bite pour prendre à pleine main mes couilles. D’une main elle serrait ma bourse au dessus de mes couilles puis étira mes couilles. Cette fois mon érection disparue et je sentis une douleur intense qui irradiait dans tout mon bas-ventre. Puis de son autre main, elle griffa mes couilles ainsi vulnérable. Puis elle donna une paire de claques sur mes testicules endolories.« Maintenant, petit branleur, lèche-moi les pieds comme un bon toutou.Je me mis à quatre pattes et pris son pied droit dans ma bouche. Je passais ma langue entre ses orteils. Puis je les suçais un à un. Pendant ce temps, Je vis qu’elle avait retirée son peignoir et elle découvrit son sexe entièrement épilé. Elle se caressait le sexe déjà bien luisant de plaisir. Elle plongeât un doigt dans sa chatte et fit plusieurs mouvements. Puis elle y mit deux doigts. De son autre main, elle se frottait le clitoris dont le gonflement l’avait fait sortir de sa cachette. Rapidement son orgasme la submergeât et au moment le plus critique je vis sa main entière rentrer dans son vagin.Peu après elle reprit ses esprits tandis que j’avais arrêté mon travail de léchage. Elle me présenta sa main et naturellement je suçais ses doigts dégoulinant de sa liqueur intime.Elle me renvoya à la cuisine. Je mis la table. Au moment de manger, ma sœur et maîtresse Cécile vinrent seulement vêtue d’un peignoir. La vue de leurs belles jambes si fines me donna une bouffée de chaleur mais la douleur lancinante dans mon bas ventre m’empêchait de bander. Après le repas, ma sœur me commanda :« Petit branleur, tu vas faire la vaisselle et puis tu ira au lit. Demain tu as école. Tu te débrouille demain matin et tu ne nous réveille pas. En rentrant demain soir tu ferras le ménage. L’appartement à besoin d’un coup d’aspirateur. Je te laisserais des consignent sur le tableau. Bonne nuit petit branleur« Bonne nuit maîtresse Cathy. Bonne nuit maîtresse Cécile.En me couchant ce soir, je cherchais à me donner du plaisir en cachette, mais la fatigue eue le dessus et je m’endormis.A suivre…
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