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Eros et Thanatos

Chapitre 1

Inceste
( Mon premier texte sur l’inceste.Je me suis réveillé un matin vers 4 heures et j’avais cette situation en images.J’y donnerais peut-être une suite, ce n’est pas impossible.... )

EROS ET THANATOS

Je m’appelle Bénedicte.J’ai 33 ans.J’ai quitté ma Picardie natale depuis quelques années pour aller suivre mon mari dans le sud.
L’année dernière, mon père est décédé. J’étais donc de retour au pays pendant quelques jours pour l’enterrement de papa.Retrouvailles en famille autour de la mémoire du défunt.
Jérôme, mon frère cadet, était très affecté par la disparition brutale de notre père. Encore plus que moi.Le lendemain de l’enterrement, alors que nous dînions et évoquions des souvenirs en compagnie de maman, de tata Monique ( la soeur de papa ), de tonton Roger ( le mari de Monique ), et de mon mari bien sûr, Jérôme craqua complètement et partit se réfugier dans la chambre qu’il occupait à l’époque.
Nous étions tous décontenancés. Maman rompit le silence et s’adressa à moi:"Bénedicte, ma chérie, va le consoler, il n’y a que toi qui sache le faire".
Je toquais doucement à la porte de Jérôme.
"C’est qui? hurla-t-il""C’est moi, c’est Béné.... tu me laisses entrer, chéri?"
Jérôme était allongé sur le lit, fixant le plafond.Je m’asseyais sur le bord de la couche.
Après de longues minutes, Jérôme sortit de son mutisme:
"C’est bizarre, Béné, de se retrouver là, dans des circonstances pareilles... J’ai plein de bons souvenirs du temps où papa était là. Tu te souviens, quand il m’engueulait, tu me prenais dans tes bras... je caressais tes jambes. Je voulais me marier avec toi..."
Bien sûr que je me souvenais. Mon jeune frère à l’époque était très tourmenté.Pour l’apaiser, quelques bisous sur la bouche. Et je lui laissais aussi caresser mes cuisses gainées de collants, il pouvait même les embrasser, les lécher. Il adorait ça. Là, il se sentait vraiment bien.
"Tu te souviens, Béné, papa nous a surpris une fois. La honte!"
Puis Jérôme se remit à pleurer, à chaudes larmes.Je ne savais plus quoi faire pour le calmer. Quoique si... Je pris sa main et la lui fit poser sur ma cuisse. Je portais un fin collant noir ce soir-là, de quoi satisfaire Jérôme.
Pendant un long moment il caressa mes cuisses avec douceur, puis les embrassa passionnément, et fit parcourir sa langue sur le tissu qui les habillait... Je l’entendais me dire des "je t’aime" pendant que sa bouche était affairée à mes cuisses. C’était troublant.
Puis il me dit:"Enlèves ta jupe... s’il te plaît".Malgré une seconde d’hésitation, je finis par obtempérer.J’étais en collant et talons devant lui. C’était la première fois.Il aventura sa bouche jusqu’à ma chatte.
"Oh non, pensais-je, pas ça!"
Mais c’était déjà trop tard. Et je mouillais, dois-je le confesser.Et quand Jérôme me fit me retourner sur le ventre pour profiter de la vue de mes fesses gainées dans mon collant, je ne protestais pas très longtemps non plus.
Il me disait que j’étais une grande soeur géniale.
Jusqu’où allait-il aller? J’avais peur. Mon mari était là, en bas.Mais il ne se passait rien.... Alors je retournais la tête.... Jérôme avait sorti son sexe et se masturbait.Puis il embrassa mes fesses au travers du collant, et ensuite il frotta son sexe contre ma raie.Sans réfléchir, je passais ma main derrière mon dos pour agripper son membre, que je commençais à faire aller et venir dans ma paume.
Nous n’étions jamais allés aussi loin du temps de nos petits moments de tendresse frère-soeur.Je n’avais jamais vu la queue de mon frère, si ce n’est accidentellement dans la salle de bains.Et je ne l’avais jamais masturbé jusqu’à ce jour, bien évidemment.
Quel moment étrange; nous venions de mettre en terre papa, et j’étais en train de m’adonner à des caresses interdites avec mon frère. Jérôme continuait à me susurrer des mots d’amour:
"Qu’est-ce que tu es belle, Béné... Aucune des filles que j’ai connu n’est aussi belle que toi, je te le jure.... Et qu’est-ce que tu m’as manqué..."
Jérôme avait très mal supporté que je m’éloigne géographiquement de la famille pour rejoindre Benoît, qui deviendrait mon mari. Il n’aimait pas Benoît. En cela il était très raccord avec l’avis de papa et maman.Ils n’avaient pas tout à fait tort d’ailleurs; moins d’un an après notre mariage j’avais découvert que Benoît me trompait.J’avais accusé le coup pendant longtemps, puis j’avais décidé de ne plus résister aux avances que me faisaient les hommes de mon entourage professionnel ou amical. J’eus droit aux amoureux transis qui s’excusaient de jouir trop vite après 3 coups de reins mollassons, comme aux cérébraux, surtout un, Daniel, qui ne me baisait jamais, mais qui adorait me regarder me faire baiser par ses amis prestigieux.
Bien sûr, je n’avais jamais confessé cela à quiconque, pas même à ma meilleure amie, et surtout pas à Jérôme.
"Jérôme", revenons-y.
Je suis en train de branler sa queue. Elle est massive. Il est monté comme un acteur porno.Je n’y tiens plus, je ne sais plus comment faire...
"Allonge toi, Jerry. Allonge-toi sur le dos, discute pas! Je vais te faire du bien, tu veux?"
Voilà. J’étais maintenant en train de sucer mon frangin. Ma langue dessinait des cercles sur son gland. Ma bouche l’avalait entièrement. Aux dires de Jérôme, aucune femme n’y était parvenu avant moi. Je faisais voyager ma langue sur sa colonne. Je gobais ses couilles. Au fil de mes rencontres extra-conjugales j’étais devenue une fellatrice de première classe. Et j’étais heureuse d’en faire profiter Jérôme, mon frère adoré.
De temps en temps, Jérôme interrompait ma fellation, me demandant de venir l’embrasser.Plus rien à voir avec les chastes bisous qu’on échangeait, adolescents. C’était du roulage de pelle torride. Il était doué, très doué. Jamais un homme ne m’avait embrassé comme lui.Puis je reprenais ma fellation. Jérôme caressait mes cuisses, tapotait mes fesses, cherchait ma chatte sous ses doigts.Jamais je n’avais pris tant de plaisir à une fellation. Je le suçais de plus en plus vite. Il aurait pu faire de moi ce qu’il voulait. Il était si beau.Tout à coup, je l’entendis dire "Ah, je vais jouir...."Il voulait me prévenir, pensant que je préfèrerais peut-être ôter sa queue de ma bouche à ce moment là.Non, au contraire, je ne rêvais que de son jus dans ma gorge. A l’instant où je sentis son premier jet, je descendis encore plus loin sur sa queue, et ma bouche resta bloqué sur sa base le temps que Jérôme finisse d’éjaculer.
Puis nos corps se serrèrent dans un beau et long moment de tendresse.
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