Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 101 J'aime
  • 1 Commentaire

Erreur de film

Chapitre 2

Inceste
Pour situer les événements, après une erreur involontaire, nous nous sommes retrouvés avec un porno à la place du film que nous voulions voir. Décidant de nous masturber en le regardant, les choses ont un peu dérapé entre ma cousine et moi, qui me fit une pipe et un pseudo strip-tease. Le tout, juste avant de s’installer sur mes genoux, et de me demander si j’étais prêt a continuer. A moitié perdu, encore un peu sous l’effet de surprise et les restes de mon orgasme, j’avais les yeux dans le vague, mais je répondis tout de même.— Eh bien, oui, je pense… Mais ne t’attends pas a de grandes performances de ma part. Tu sais que je n’ai jamais…— Oui, je sais, me coupa-t-elle, mais ce n’est pas grave. Je veux juste une bite dans ma chatte. Je veux passer la nuit à baiser comme une chienne. Je suis en manque, et l’idée de coucher avec mon cousin me fait mouiller comme une fontaine.J’ouvris la bouche, plus que sidéré par les mots crue qu’elle avait utilisés. Je ne suis pas du genre prude, mais je ne l’aurais jamais cru qu’elle soit capable d’être aussi coquine. Un sourire se dessina doucement sur mes lèvres. — Je suis tout à toi, ma Mélody… fis-je avec un air vicieux.Elle me fit relever pour déplier le canapé sur lequel nous étions assis. Cela nous permettrait d’être plus à l’aise tout en profitant du film. Pendant qu’elle se penchait pour replacer le matelas du canapé, je me faufilai derrière elle et je glissai ma main entre ses fesses, descendant toujours jusqu’à glisser le long de sa fente. Je caressai doucement le clitoris et je finis par lui enfiler un doigt. Elle se redressa légèrement, puis retira ma main et elle se tourna vers moi. Alors qu’elle m’embrassait, elle m’attrapa par la taille et elle m’entraina avec elle sur le canapé.Malgré mon inexpérience, j’avais quelques souvenirs des caresses et des petits préliminaires avec ma précédente relation. Je la caressai sur tout le corps, et mes baisers descendirent sur ses seins. J’embrassai les pointes, suçotant les tétons, mordillant… Après cette étape, qui arracha quelques gémissements à Mélody, je poursuivis la descente, en m’attardant rapidement sur le nombril avant de poursuivre. Quand je fus arrivé à son entrejambe, elle écarta par réflexe et elle m’exposa sa chatte détrempé. Sans attendre, j’y enfouis le visage. J’embrassai ses lèvres, les mordillant doucement, ma langue vint visiter l’entrée de son vagin, et je récoltai un peu de sa liqueur. Un goût salé, mais pas très fort. Je fis jouer le bout de ma langue sur son clitoris, lui arrachant des petits cris, comme de surprise. Un de mes doigts se glissa dans sa grotte, où il fit quelques va-et-vient, avant d’être rejoint par un second. Son rythme respiratoire était désormais bien accéléré et ses gémissement de plus en plus forts. Je me sentais bander rien qu’à l’idée de la faire jouir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, alternant mon pouce et ma langue sur son bouton d’amour, elle finit par s’arcbouter en poussant un véritable cri, assez aigu. Lorsqu’elle retomba sur le matelas, elle était essoufflé, rouge et couverte de transpiration, comme si elle avait couru un marathon. Elle me fit un sourire et elle prit le temps de calmer sa respiration. Je remontai en direction de son visage et je vins me coucher à côté d’elle. Elle se tourna et elle vint se mettre sur mon torse le temps de se remettre un peu de ses émotions. Moi-même, je me sentais émotionnellement fatigué de l’avoir fait jouir. C’était la première fois qu’une femme jouissait sous ma langue.Au bout d’une minute, je la sentis frissonner légèrement. Comprenant qu’elle avait froid, je me levai et j’allai récupérer une couverture dans la chambre d’ami, que j’utilisais lorsque je restais dormir. Habitué des lieux, je me savais ici comme chez moi. Je repris ma place et j’étendis la couverture sur nos deux corps nus. A peine réinstallé, je sentis les doigts de Mélody s’enrouler autour de ma queue pour la branler doucement. Ses lèvres m’embrassèrent le torse, puis le cou, et enfin mes propres lèvres. Je la sentis bouger alors que je posais mes mains sur elle pour lui rendre ses caresses. Elle m’enjamba et vint frotter son minou sur ma bite. Elle m’adressa un regard interrogateur, pour savoir si j’étais prêt à franchir le cap. Je répondis à voix haute : -Vas-y…Et alors, doucement, afin de me laisser savourer l’instant, elle s’empala sur mon sexe raide comme un piquet. Quelle sensation ! Se sentir pénétré et glisser dans cet antre chaud, doux et humide, qui enserre le pénis juste comme il faut, c’est d’une extase ! Voilà seulement quelques secondes que je faisais l’amour pour la première fois, et déjà je voyais les étoiles et j’étais à deux doigts de jouir. Je devais faire appel à toute ma volonté pour me retenir. Ma cousine commença des va-et-vient. Afin de faire durer le moment en occupant un peu mes pensées, et aussi pour l’exciter un peu plus, je lui caressai les seins, et je me redressai pour les embrasser et les mordre. Elle se saisit d’une de mes mains et elle la mit sur ses fesses. Je suivis son envie et je les lui massai, doucement tenté par l’entrée de son cul. Mes doigts s’approchaient jusqu’à frôler sa rosette.-Oh oui ! Vas-y ! Mais doucement… me dit-elle, d’une voix entrecoupée de gémissements.Je lui enfilai alors un doigt dans le cul, forçant doucement jusqu’à ce que ses muscles cèdent et me laissent entrer. Je fis de doux va-et-vient, au rythme de ses mouvements sur ma bite. Mais je sentais peu à peu ma résistance céder. Sous cette nouvelle sensation, elle me plaqua contre elle et enfonça son visage dans le creux de mon cou en gémissant plus fort. Ne pouvant plus tenir, bandant tellement que j’en avais des douleurs tout le long de la verge, j’éjaculai dans son vagin, en l’emplissant complètement et en jouissant comme je n’avais jamais joui lors de mes masturbations. En sentant mon sperme la remplir, elle jouit à son tour et elle m’embrassa à pleine bouche pour étouffer ses cris. Nous nous couchâmes, moi encore en elle, le temps que mon sexe mollisse et sorte de lui-même. Épuisé et à moitié endormi, je prononçai quelques mots : — Merci, Mélody… C’était absolument fantastique… Je ne sais pas comment te remercier…— Alors, tais-toi, me répondit-elle doucement.Un instant plus tard, en réalisant que j’avais joui en elle, je demandai : — Bien… Mais as-tu bien pris ta pilule aujourd’hui ? Je ne craignais pas les maladies. Elle avait fait le test du sida avec son copain il y a peu et elle m’en avait parlé, en me disant que les résultats étaient négatifs. Quant à moi, je me savais sain puisque j’étais puceau.— Ne t’inquiète pas. J’y ai pensé, me rassura-t-elle.Et, couchée contre moi, c’est ainsi qu’elle s’endormit doucement. Un sourire sur le visage, je ne tardai guère à la rejoindre au pays des rêves.
Diffuse en direct !
Regarder son live