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C'est dur la chimie

Chapitre 1

Erotique
Je m’appelle Benoît, et je suis un tout jeune enseignant chimiste à l’Université. Alors évidemment, mes étudiants sont à peine plus jeunes que moi (certains sont même plus vieux que moi). Autant dire que dans ces conditions, ce n’est pas forcément toujours facile pour moi de gérer, mais dans l’ensemble je m’en sors bien.
Nous sommes près de la fin d’un semestre, et avec deux collègues, nous faisons passer des soutenances individuelles à nos étudiants de L3. Nous sommes 3 pour répartir les étudiants entre chacun, pour ne pas que tout ceci soit interminable. Et cette stratégie est d’autant plus appréciée, car avec ce que présentent certains, j’ai vraiment envie de les voir dégager… Quand je vois qu’il y en a un qui ne fait même pas la différence entre du sulfate de potassium et du sulfate de cuivre à ce stade des études, j’ai envie de me tirer les cheveux !
Tenez par exemple, cette étudiante qui commence sa soutenance : j’ai du mal à comprendre comment elle a fait pour en arriver là… Ces résultats sont catastrophiques, mais au moins, elle, on sent qu’elle essaie de s’en sortir, pas comme d’autres, qui, bien qu’ayant foiré leurs partiels, persistent dans leur absentéisme lors des TD. Bref, voyons voir ce que ça donne avec elle.
Je ne comprends rien à ce qu’elle me dit, et visiblement, elle non-plus. Elle est tellement confuse dans ce qu’elle me raconte qu’elle a du mal à soutenir mon regard. Et pourtant, je n’essaie pas de l’impressionner ou quoi que ce soit. Par respect pour elle, je la laisse continuer, même si je sais que ça va être l’hécatombe lorsque viendra le moment des questions. Je la laisse continuer, mais mon esprit n’est plus attentif sur ce qu’elle dit. Mes oreilles ne l’écoutent plus, mes mains jouent avec le stylo qui est sensé m’être utile à prendre des notes, tandis que mes yeux parcourent l’étudiante de haut en bas.
Elle n’est pas brillante, mais elle est resplendissante. Ses cheveux blonds et bouclés tombant sur ses épaules sont comme de l’or couronnant son visage comme on aimerait en croiser plus. Elle porte une blouse blanche en coton (de rigueur vu les circonstances) qu’on dirait taillée sur mesure tant elle lui va bien. La blouse passe pardessus ses fesses que je devine malgré tout bien rondes. Lorsqu’elle a le dos tourné, je suis plus intéressé par ses fesses que la démonstration qu’elle tente de faire. A défaut de m’avoir séduit par une bonne présentation, elle l’a fait par son physique.
Mes pensées sont arrachées lorsqu’elle m’annonce avoir terminé. Je la sens angoissée par mes remarques à venir.
« Mademoiselle, je ne vais pas vous cacher que votre travail n’est pas satisfaisant…_ Désolée, monsieur…_ C’est moi qui le suis. Je dois même dire que je ne sais pas quoi vous poser comme question. »
J’ai l’impression qu’elle va se mettre à pleurer. Sa réaction est pour la moins surprenante :« Je vous en supplie monsieur, il faut absolument que j’ai la moyenne !_ Je l’imagine bien, mais vous pensez bien que ce que vous m’avez présenté ne le mérite pas, même avoir tout mon bon vouloir._ Pitié, je ferai n’importe quoi pour avoir ne serait-ce que la moyenne…_ Que voulez-vous faire, il est trop tard maintenant. »
Toute tremblante, je la vois défaire le premier bouton de sa blouse. La voilà qui abandonne ? Non, pas vraiment, elle a bien défait un bouton, mais c’est simplement pour me montrer que sous sa blouse, elle n’a que son soutien-gorge !
Je ne sais pas comment réagir. Je suis seul avec cette étudiante qui me montre son soutien-gorge sous sa blouse pour tenter de grappiller quelques points. Je suis dépassé. Et encore, si ce n’était que ça. La voilà qui s’approche de moi, s’accroche à mon bras et fond presque en larmes.

« Je suis vraiment prête à tout, je vous en supplie…_ Non, mademoiselle. Je n’ai pas le droit de faire ça. »
Je réponds ceci, tout en ayant le regard bloqué sur sa poitrine. Je n’ai pas le droit, mais ma bite semble me dire « fais-le, personne n’en saura rien, et cette pauvre petite sera sauvée ».
Vraiment déterminée, la jeune fille pose sa main sur la bosse de mon pantalon.« Vous n’avez pas le droit, mais vous en avez envie, je le sens ! »
Elle me regarde dans les yeux. Cette fois, c’est moi qui ai du mal à soutenir son regard. Ses yeux son rougis de larmes. Voir tant de détresse sur son visage me bouleverse. Mais accepter quoi que ce soit me couterait ma place, voir d’avantage. Et pourtant…
« Continuez à enlever votre blouse, et je serai un peu clément. »
Avec un timide sourire, elle se relève, et finit de déboutonner sa blouse. Je suis en train de me foutre dans la merde…
Elle laisse choir la blouse à ses pieds. Très vite son soutien-gorge vient la rejoindre. L’étudiante est maintenant topless devant moi.
« Ecoutez, lui-dis-je. Je vais vous mettre 8/20, mais c’est bien parce que vous êtes désespérée et jolie. Maintenant rhabillez-vous et sortez._ Non, s’il vous plaît ! La moyenne…_ Je ne peux pas, désolé. »
Dépitée elle baisse la tête, puis se penche pour ramasser ses affaires. Mois je me penche sur mes feuilles pour la noter. Lorsque je relève la tête, elle a disparu ! Pourtant sa blouse et son soutien-gorge sont toujours là. Soudain, je sens qu’on touche à ma ceinture. Elle est venue sous mon bureau.« Arrêtez ! »
Mais elle n’arrête pas ! Elle défait ma ceinture, puis ouvre ma braguette, pour extraire de mon caleçon mon pénis, vous vous imaginez bien, en érection. Cette situation me laisse aphone. Sans mot dire, elle entoure mon gland de ses lèvres et commence une fellation.
Je vais me faire tuer si jamais quelqu’un l’apprend ! Elle est vraiment déterminée à avoir la moyenne, au point de tromper son petit ami, qui est dans la même promo il me semble. Quel chanceux, me dis-je. Avoir une copine aussi mignonne, et qui suce aussi bien, car oui, la demoiselle suce divinement bien !
Quitte à faire quelque chose que je ne devrais pas faire, autant y prendre du plaisir ! Ainsi je me détends, au point de poser ma main sur sa tête, pour l’encourager à continuer. Elle lève timidement les yeux, sans s’arrêter de me pomper.
C’est sûr, je vais la lui donner la moyenne ! Et même un 15, tiens. Une aussi bonne suceuse mérite bien ça ! Et alors que je me dis ça, la sève monte en moi.
J’interromps alors la fellation et me masturbe frénétiquement au-dessus de son visage, que je ne tarde pas à recouvrir de mon sperme.
« Allez-vous nettoyer le visage, lui dis-je. »Elle se lève et va chercher de quoi retirer mon jus de son joli minois.« Monsieur, pour ma note… ?_ Ne vous en faites pas, je vous mets 15._ Ooooh merci monsieur ! »
C’est avec un grand sourire qu’elle court vers moi, toujours seins nus, et qu’elle m’offre un baiser chaud et langoureux. C’est un coup à me redonner la trique ! Mais je garde les pieds sur terre.« Rhabillez-vous vite, j’ai déjà pris du retard pour les autres étudiants. »
Elle ne remet que sa blouse, rassemble ses affaires et avant de se diriger vers la porte, elle revient vers moi.« Si je veux améliorer d’autres notes, je pourrai compter sur vous ?_ Filez, lui dis-je avec un petit sourire malicieux._ Merci ! Tenez, en gage de ma gratitude. »
Elle me donne son soutien-gorge, et sort de la salle.
Quand je me dis qu’après ça je vais devoir subir d’autres soutenances, ça me déprime un peu, car aucune chance que ça arrive de nouveau… Je plonge mon nez dans le soutien-gorge, respire le parfum de la belle qui vient de sortir, puis appelle l’étudiant suivant.
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