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Ce n’est pas facile d’être mère avec deux hommes à la maison

Chapitre 1

Inceste
Julie était le genre de femme qui aimait bien faire le ménage dans les chambres, elle aimait ranger les vêtements de son fils qui n’était pas particulièrement méticuleux. Cependant elle ne se permettait pas de fouiller dans les affaires de Nicolas. C’est vrai que mis à part ses habits, il ne laissait pas grand-chose trainer.
Julie, depuis un certain temps avait vu des traces sèches provenant de ses rêves mouillés ou encore des kleenex collés qui se perdaient quelques fois sous le lit.
Non pas que Julie s’en fichait, mais elle trouvait tout ça assez normal. En fait elle était plutôt fière de son fils. Fière qu’il devienne ce jeune homme plein de vie tout en restant un gentil garçon. IL est vrai qu’elle aimait le regarder. C’était un jeune homme de seize ans et demi, brun, avec ce regard noir profond qui fera sûrement chavirer les cœurs plus tard. Nicolas n’était pas du tout le portrait de son père, il était plutôt chétif, à croire qu’il était issu d’une relation adultère. Julie aimait son fils de tout son cœur, mais quoi de plus normal, n’était-il pas son fils ?
Et puis, un jour comme les autres jours, elle fut étonnée de trouver dans la chambre de Nicolas, une cassette vidéo coincée entre le lit et le mur. Une bien étrange cachette pensa-t-elle. Elle regarda la cassette dans ses mains puis la rangea dans le bureau de son fiston.
Elle n’y aurait jamais repensée si son fils ne lui avait envoyé un sourire bien étrange le lendemain soir. Il venait de lui demander pour l’énième fois qu’elle n’avait pas a faire le ménage dans sa chambre et qu’il est assez grand pour le faire seul.Mais sa mère un peu maniaque ne pouvait se résoudre à laisser l’amoncellement s’installer. Elle soupira puis elle crut bon d’ajouter qu’il n’avait pas à s’en faire. Jamais elle ne ferait de remarque sur ce qu’elle pouvait bien trouver dans son antre.Nicolas marqua un temps d’arrêt puis, ses yeux se rétrécissent comme s’il venait de comprendre un sens cacher dans la phrase de sa mère et enfin, il lui avait sourit avec ce "Bon, ça va, ça va" qui fit douter Julie.
Un après midi, quelques jours après ce petit incident, elle fouina dans la chambre de son fils retrouvant la cassette. Elle aurait pu penser à n’importe quoi mais cette fameuse cassette lui rappelait quelque chose. Elle l’enfonça dans l’ancien magnétoscope qu’avait récupéré Nicolas pour visionner les vieux films qu’elle et son mari avaient acheté avant l’arrivée du DVD.
Et là, c’était le drame, Julie tomba assise sur le lit de Nicolas, les yeux écarquillés. Sur le petit écran de la télé de son fils, elle se vit, elle, sa mère. Elle était nue et se prélassait sur ce vieux canapé qu’ils avaient jeté depuis belle lurette. Derrière la caméra elle pouvait entendre son mari qui l’encourageait à prendre des poses lascives et à se laisser aller devant l’objectif.
Julie se souvenait de ces jeux avec Léon qui avaient presque cessés depuis la naissance de Nicolas. Son mari aimait la filmer et filmer leurs ébats. La pauvre mère appuyait sur l’avance rapide de la télécommande et retrouva chaque souvenir de ces séances coquines. Elle, seule se caressant, Léon, dans la même situation où entrain de le sucer, ou encore faisant l’amour dans toutes les positions.
Elle eut honte, mais une honte à un point qu’elle n’aurait jamais cru possible d’atteindre. D’un autre côté c’était de très bons souvenirs qui malgré tout, lui réchauffèrent le bas du ventre.
Dans ce lit fait à la va vite, Julie était à demi allongée, plongée dans ses pensées, elle retrouvait les odeurs de son fils. Elle l’imaginait entrain de se donner du plaisir en la regardant sur l’écran, elle, sa mère. Elle se laissa aller et s’accorda une petite caresse pour obtenir une jouissance personnelle comme si il y avait longtemps qu’elle n’en avait pas eu. Et puis, au milieu des vapeurs d’orgasme qui s’évaporaient peu à peu, elle toucha terre à nouveau. Il fallait qu’elle parle à son fils, elle ne pouvait s’y résoudre. Elle se releva, se rajusta et prit la cassette pour la renfermer dans le tiroir à secret de l’armoire de leur chambre conjugale. C’était à son père de le faire. Elle n’en voulait pas du tout à son fils. C’était à eux de faire plus attention. Il fallait qu’ils aient tous les deux une conversation d’homme à homme.
Le soir venu, Julie attendit de se retrouver lovée contre son mari pour entamer cette conversation quelque peu gênante. La réaction de Léon fut pour la moins tonitruante. Il s’en fallut de peu qu’il aille dans la chambre de son fils pour lui passer un de ces savons que Julie voulait à tout prix éviter. Léon était si furieux qu’il fit peur à Julie. La pauvre ne s’attendait pas à une telle violence et fit tout ce qu’elle put pour le calmer. Léon finit par l’écouter et s’endormir tandis que Julie trouva difficilement le sommeil. Trop de questions et trop d’incertitudes la tourmentaient alors.
La vie reprit cependant son cours normal. Normal si ce n’est que Léon était plus rigide vers son fils. Julie avait l’impression de voir le vieux coq défendre son cheptel face au nouveau coquelet. Nicolas ne comprenait pas du tout ce qui se passait, mais il prenait soin de ne pas en demander de peur de recevoir plus de réprimande qu’il ne l’aurait voulu.
Le temps passa et tout commençait à se tasser. Léon avait une libido assez importante, Julie ne s’en plaignait pas, au contraire, elle aimait les attentions de son mari et surtout la façon dont il la prenait dès que Nicolas était couché. Elle aimait être renversée et possédée. Il faut dire que Léon était grand et baraqué. A quarante ans il n’avait plus le corps d’un athlète mais il prenait soin de lui.C’est vrai qu’il pouvait se montrer un peu brusque, elle l’aimait comme ça et elle ne l’aurait jamais échangé pour un de ces minets romantiques plus jeunes. Elle aimait sa fougue, son caractère sanguin et sa grosse bite qui la ravageait quand il voulait bien s’en donnait la peine.
C’était un samedi soir, où Léon était en forme et comptait bien le montrer à sa femme. Julie bien contente de prendre sa dose de plaisir le laissa faire quand il commença à la tripoter dans la cuisine. Nicolas était monté depuis une dizaine de minutes, sensé regarder sa télé. Julie débarrassait la table du salon, lavant les dernières tasses qui traînaient.
A trente huit ans, Julie commençait à avoir ces formes que les femmes redoutent tant. Elle n’était pas vraiment potelée mais devant le miroir, elle voyait son corps s’arrondir légèrement et elle comptait bien se relancer dans son régime rigoureux. Léon aimait ainsi sa petite femme. Elle faisait un mètre soixante pour cinquante trois kilos. Elle avait un merveilleux petit cul qu’il tripotait dès qu’il en avait l’occasion et des seins encore ronds qu’il pouvait recouvrir d’une main.
C’est vrai qu’ils étaient différents ces deux là. Avec son mètre quatre-vingt cinq et son teint buriné, il ne donnait pas envie de le rencontrer dans une ruelle la nuit tombée. Julie était une de ces petites choses qui semblait pouvoir se briser en deux pendant un câlin trop fort. Pourtant ils se complétaient à merveille et elle était toujours aussi folle de lui après dix huit ans de mariage. C’était vraiment de la passion entre eux et quand il la poussa contre la table de la salle à manger, elle savait qu’il allait lui offrir un de ces bons moments de folle passion.
Elle aimait sentir ses grands battoirs qui lui servaient de main, remonter sa chemise de nuit. La peau rugueuse qui explorait son dos comme s’il faisait le tour du propriétaire avant d’appuyer sur sa nuque pour asseoir définitivement sa domination. Elle était déjà trempée d’impatience et lui, prenait tout son temps.
Il n’était pas un maestro des préliminaires mais ce n’est pas ce qu’elle attendait de lui qui aimait tant contempler son corps frêle. Il aimait presser sa main contre sa fente ornée d’un triangle de poils noirs bien taillé. Il pressait ses doigts imposants à l’entrée du vagin et sans plus de précaution il enfonçait son majeur dans la chatte trempée.Julie feulait comme une tigresse prise au piège, dominée par son mâle. Léon regarda ses doigts brillants de la liqueur et satisfait, il enserra ses hanches pour la ramener contre sa tige gonflée. A chaque fois, il poussait si fort contre les parois sexuelles qu’elle serrait les dents sous la douleur. Puis la douleur se muait en plaisir, un plaisir infini de se sentir remplie par ce membre de chair qui se déployait à l’intérieur de son ventre et irradiait sa chaleur.Le souffle coupé par la fureur de cet envahisseur, elle ne reprenait son souffle qu’à son second va et vient, quand ses chairs prenaient la mesure de l’organe demeurant en elle. Elle n’ouvrait les yeux que pour les refermer. Entre les mains énormes de son mari, son petit corps était secoué d’avant en arrière comme une poupée de chiffon. Ses seins glissaient sur la toile cirée, elle tentait de s’accrocher aux bords de la table tandis que Léon la faisait coulisser sur son ardillon.
D’ordinaire elle fermait les yeux pour que plus rien n’existe, juste ce goupillon qui la taraudait. Mais il y avait cette petite lueur rouge ! Elle l’avait aperçue juste avant que son époux accélère le rythme et se plante d’un grand coup de rein dans elle. Elle rouvrit les paupières mais elle avait du mal à distinguer quoi que ce soit, ainsi ballotée. Elle la vit pourtant de nouveau la petite lumière rouge.
Elle plissa les yeux pour voir ce que ça pouvait bien être et elle s’agrippa à la table plus fermement. Léon grogna, content qu’elle se rebiffe un peu. Une grande claque sur ses petites fesses puis un grand coup de rein lui revaudrait sa rébellion. Julie gémit de plaisir à ces stimulations mais elle restait concentrée sur cette vision inhabituelle. Les petits appels qu’elle poussa, son mari cru à du plaisir, mais là, dans la demi-obscurité, Julie l’avait vu et elle paniquait.
Nicolas avait un genou à terre. A bout de bras il tenait le nouveau caméscope de ses parents pour immortaliser cette petite soirée. Il ne voyait pas le regard de sa mère rivé à la diode rouge de l’appareil qui indiquait l’enregistrement. Julie réfléchit aussi vite qu’elle pouvait au milieu des effluves soporifiques du plaisir qui avaient déjà pris le contrôle d’une bonne partie de son corps.
" Han… han… Léon… Chéri… attends… et si… Et si Nicolas nous… "
Léon crut rêver. Qu’était entrain de dire sa femme ?Quoi Nicolas ? Quoi son fils ? Il était entrain de dormir ou de secouer sa nouille d’ado. Pourquoi devait-elle parler de lui maintenant ? Ne pouvait-elle l’oublier quelques instants ! Ne pouvait-elle cesser une seconde de se comporter en mère poule !
Entre ses mains gigantesques sur le petit corps féminin, il la retourna comme une crêpe avant de la pénétrer de nouveau. De face cette fois, elle pouvait voir ce regard amoureux presque dément qu’avait son mari pendant qu’il la labourait comme un forcené. Léon pouvait la voir maintenant, il pouvait voir ses petits coups d’œil vers le haut des escaliers. Il put voir dans ses yeux la crainte, la gêne ou la peur tout simplement. Alors il sentit sa libido retomber et la frustration exploser. S’il y avait bien un moment où il ne fallait pas le déranger, s’il y avait bien un moment où il ne fallait pas l’interrompre c’était bien celui-là. Il aimait sa femme et quand il s’unissait à elle, dans ce pur moment de plaisir et d’extase, il ne désirait qu’une chose, qu’elle se donne toute à lui.
Il commença par lui crier dessus, à protéger son fils elle finirait par en faire une mauviette, une fifille à sa maman. Ses mots étaient crus et féroces mais malgré la colère, il connaissait sa femme, il la connaissait et il savait lire en elle. Elle avait peur, vraiment peur même si parfois elle aimait le mettre en boule pour obtenir encore plus de fureur dans leurs rapports.
Julie lança un dernier regard vers l’escalier. Un de trop, les yeux de Léon suivirent ceux de son épouse qui paniqua pour de bon. Dans un même mouvement il ordonna à Julie de ne pas bouger, il enjamba d’un pas l’espace qui le séparait de l’interrupteur. Nicolas n’eut pas le temps de faire le moindre geste, dans la lumière soudaine du lustre, le regard de son père le transperçait comme le canon d’un fusil.
Trop tard le garçon tenta de reculer mais Léon avait déjà gravi les marches qui les séparaient, quand sa main lourde s’abattit sur l’épaule et le bras de son fiston. Nicolas, tel un brin de paille avait à peine touché le bois des marches quand il se retrouva en bas.Furieux ? Non, il était bien au-delà de ça. Son chétif de fils était entrain de les reluquer comme un pervers pendant qu’ils faisaient l’amour, comme un voyeur planqué dans un parc. Le pire c’est qu’il les filmait. Le regard de Léon passait de son fils au caméscope. Il le poussa énergiquement sur le tapis du salon, Nicolas évita de peu la table basse. Voyant son mari debout, nu, massif devant la silhouette de son gamin recroquevillée sur le tapis, Julie tenta d’intervenir. Le regard de Léon l’effraya, elle ne se rebiffa pas quand elle atterrit à côté de son fils.
C’était donc ça ce qu’elle voulait ! C’était donc ça le fils qu’elle voulait lui donner ! Un déficient maniaque qui préférait filmer ses parents plutôt que d’aller courir les filles ! Un obsédé détraqué qui se branlait en regardant sa mère se faire prendre. C’était ça qu’elle voulait ?
Nicolas tremblait et ne disait pas un mot. Il sentait le danger. Julie tentait d’expliquer son geste, son comportement, alimentant sans le vouloir la rage de Léon qui fulminait à tout va. Et bien puisque leur fils veut en savoir d’avantage sur les rapports entre adultes et puisque sa mère le comprenait si bien, pourquoi s’en faire ? Il leva son fils comme une plume et, prenant un air faussement intéressé, il lui demanda si le caméscope fonctionnait.
Nicolas bredouilla un "oui" stupéfait en voyant son père allumer toutes les lampes du salon, même l’halogène dont il remonta complètement le variateur. Il lui fallait de la lumière à ce jeune cinéaste en herbe si désireux de faire ses premières expériences ! Julie pleurait, suppliant son compagnon de se calmer. Si elle redoutait ses excès de colère, si elle craignait Léon quand le ton de sa grosse voix commençait à monter, elle redoutait plus que tout, quand sa voix devenait soudainement calme. Une dispute de plus n’était rien mais là, elle savait que c’était allé au-delà.
D’une main Léon saisit la table basse qu’il fit passer derrière un des deux canapés. Une seconde plus tard, il poussait sa femme au milieu du tapis tout en ordonnant à son rejeton de la filmer. Nicolas hésitait, les regardant tous deux avec ses grands yeux embués de larmes. Mais quand son paternel répéta son ordre, il ouvrit chancelant le clapet de l’appareil et appuya sur la touche d’enregistrement.
La voix de Julie n’était plus qu’une litanie geignarde qui implorait Léon d’en rester là. Mais il avait son idée et cette fois rien de ce qu’elle dirait ne la sauverait, elle ou son fils.
" Branle-toi."
L’ordre était simple et ne souffrait d’aucune réponse. Julie pleurait pour de bon mais Léon ne prit pas la peine de se répéter. Son regard suffisait et devant l’objectif de la caméra, Julie glissa sa main entre ses cuisses pour caresser son intimité.
"Mieux que ça !"
Julie reniflait et sanglotait mais elle savait que Léon, à cet instant, pouvait être capable du pire. Alors elle pressa ses doigts contre son clitoris et commença à le bricoler. C’était une caresse froide. Pas de plaisir, pas d’envie, juste ses doigts qui pressait son clitoris et décrivaient de petits cercles.
"Mieux que ça je t’ai dit !!! Et écarte les cuisses salope !"
Julie appuya son dos contre le canapé. Elle ne pouvait croiser le regard de son fils derrière le caméscope, elle n’en avait pas la force. Ses jambes repliées, les cuisses entrouvertes, elle frottait son petit bouton devant l’objectif.
"Ho non ma belle, il est normal que ton fils soit curieux à son âge, alors essaie de satisfaire sa curiosité ! Branle toi et bien nom de dieu !! "
Les larmes de Julie cessèrent peu à peu. Elle devait le faire, elle n’avait pas le choix. Elle devait le faire malgré la honte et la culpabilité qui l’étreignait. Elle ouvrit un peu plus les cuisses et tirant sur le renflement de peau d’une main, elle agaça son clitoris de l’autre. Son petit bouton refusait de se montrer, il refusait une excitation qui n’était pas présente.
"Oui ! Comme ça ! Souviens-toi comme t’aimais quand je te filmais salope ! Alors vas-y, qu’il en ai pour son argent, ton petit salopard de fils !"
Julie tentait comme elle pouvait d’accéder à un plaisir qui lui échappait obstinément. Elle était si sèche dedans, si sèche et si triste. Puis, peu à peu, plutôt que du plaisir, c’est de la colère qu’elle sentit monter en elle. C’était chaud et puissant, mais ça ne venait pas de l’intérieur de son ventre. Elle leva les yeux sur son conjoint, leurs regards se croisaient. Lorsqu’il vit cette lueur qui s’embrasait dans ses prunelles, il se fit plus menaçant mais surtout, il sentit son propre plaisir monter. Les souvenirs avec sa femme et une caméra revenaient dans sa mémoire, des moments de pure luxure.
Il n’en fallait pas plus pour que son gourdin se redresse, la démonstration de son excitation renforça la rage de Julie. Ses doigts s’activaient plus fermement sur sa fente. Il voulait qu’elle se donne en spectacle, alors elle allait lui en donner du spectacle. Elle ne pleurait plus, elle avait les yeux fixés sur ceux de son mari, ses cuisses s’ouvraient plus largement.
Devant elle, Nicolas comprenait que quelque chose d’autre était entrain de se nouer. Il percevait ses parents mais n’en saisissait pas tous les détails. D’un autre côté, la seule chose qui l’importe, est ce que fait sa mère. Il revoit sur l’écran de sa télé, quand il est seul dans sa chambre, les gros plans de l’époque, réalisés par son père, sur lesquels il s’est beaucoup masturbé. Mais là, c’était différent, c’est lui qui filmait cette fente, il pouvait voir les grandes lèvres s’écartaient peu à peu.
Julie se focalisait tant qu’elle pouvait sur cette rage qui l’embrasait encore plus qu’une excitation perverse. Elle se concentrait sur Léon mais elle n’était pas que femme, elle était mère aussi. Alors son regard glissa sur son fils. Elle n’avait toujours pas la force de croiser le regard de la caméra. Son fils, son petit chéri, son amour de fiston bandait lui aussi. Comme son salopard de père, cette peste de fiston, tous deux étaient excités de la voir ainsi.
C’est ça qui la perdit. Quoi qu’elle ait pu dire ou penser, à ce moment là ou même plus tard, elle découvrait la bosse sur le pyjama de son fils qui fit tout déraper. Elle aurait pu garder un peu de contrôle si sa colère avait continué d’être le moteur de ses réactions. Mais dès l’instant où elle a compris que son fils aimait ce qu’elle faisait, qu’il l’aimait et la désirait, elle, sa mère. Ce fut comme un grand gouffre qui s’ouvrit sous ses pieds pour l’engloutir toute entière.
Sans réfléchir, ses yeux toujours rivés au pyjama de Nicolas, elle plongea son majeur dans son vagin et elle émit le premier soupir depuis qu’elle l’avait surpris dans les escaliers. Léon jubila à ce même instant, il l’avait vaincu mais il en voulait plus. A nouveau l’excitation remontait effaçant peu à peu sa frustration. Cette coquine bavait devant son fils, alors oui, il allait faire de son fils un homme.
Devant l’objectif, Julie commença à se caresser plus précisément, plus naturellement. La colère s’estompait submergée par un flot d’excitation si fort qu’elle ne pouvait la contrôler. Dans sa tête tout lui criait qu’elle devait se reprendre mais son corps, son ventre, lui ordonnait de regarder ce jeune homme qu’était son fils et de lui donner ce qu’il voulait. Entre ses doigts commençait à couler son nectar. Un puis deux puis trois, elle enfonçait ses doigts dans son intimité avec de plus en plus de fermeté.
Léon poussa du pied le canapé, Julie tomba en arrière. Elle ne s’arrêta pas pour autant. Les cuisses largement ouvertes, elle plantait ses doigts dans son vagin détrempé pendant que de l’autre main elle triturait son clitoris.
"Allez montre à ton gosse comme tu peux être une belle cochonne ! Montre-lui à ce puceau à quoi ça ressemble une vraie femme !"
Julie se cambrait soulevant ses fesses et offrant toute son intimité à son fils qui ne perdait pas une miette du spectacle. Julie se déchaîna. Les petits cercles sur son bouton se muèrent en va-et-vient brefs et frénétiques. Entre son majeur et son index, son clitoris était gonflé, elle le masturbait avec force. Dans sa gaine, ses trois doigts allaient et venaient emplissant le salon de clapotis indécents.
Léon s’approcha de son fils et le poussa pour qu’il avance. Obéissant aux ordres de son père, Nicolas fit le tour de sa mère, la filmant sous tous les angles, jusqu’à ce qu’elle se laisse aller à la jouissance, le corps traversé par les vagues successives de son orgasme. Machinalement le garçon stoppa la machine, son père intervint de nouveau.
"Hé mais ce n’est pas fini, il y a encore des prises pour ton film !"
Léon s’agenouilla à côté du visage de sa femme. Sans ménagement il empoigna les cheveux pour lever sa tête vers son sexe. Julie ne posa aucune question ni aucune protestation. Elle ouvrit la bouche et absorba le membre de son mari.
Relançant l’enregistrement, Nicolas rejoignit le couple. Il était stupéfait de voir avec quelle force son père enfonçait son sexe dans la gorge de sa mère. Il était étonné de voir comment sa mère acceptait ce barreau de chaire pour le sucer. Il lui semblait presque qu’elle y prenait du plaisir alors qu’elle toussait et que cela l’empêchait de respirer.
Bien-sur Julie était habituée à ce genre de pratique, elle aimait même ça. C’était puissant, dur, mais c’était les prémices de bien plus de plaisir encore. Léon retrouvait ses marques, ses habitudes. D’une main il maintenait la tête de Julie et de l’autre il s’attaqua à ses seins. Entre le pouce et l’index il agaçait les tétons. Il les faisait rouler, les pinçait. Il tirait dessus jusqu’à faire geindre sa femme avant de s’attaquer à l’autre. Nicolas tentait de tout capturer, il sentait l’atmosphère se charger de débauche. C’était quelque chose d’inédit pour lui. Voir des vidéos c’est une chose, mais les filmer, devenir partie prenante de ces jeux secrets et qu’il a tant rêvé, c’était vraiment autre chose. Devant lui son père délaissa les seins de sa mère pour venir s’occuper de son bas ventre. Son majeur et son index se plantèrent dans les chairs encore humide.
Julie poussa des gémissements plus ou moins étouffés car sa bouche était pleine. Elle geint de plus en plus fort, presque sans s’arrêter alors que Léon martyrisait la chatte enflammée de sa masturbation précédente. Et puis Léon retourna Julie qui s’agrippa à son sexe et reprit son office en s’agenouillant.
Les fesses en l’air, le visage enfoui entre les cuisses de son mari. Léon avait les deux mains libres, il en profita pour écarter les petits globes de chair du mignon cul rebondi puis sans aucune gêne, il encouragea son fils à bien zoomer sur l’œillet de sa mère.
Elle s’y était préparée pourtant mais quand il enfonça son majeur dans son petit trou, elle ne put retenir une longue protestation plaintive. Nicolas n’en perdait pas une miette, tentant d’immortaliser la scène, sa maman se détendit comme elle put. Elle sentait que la rage abandonnait son mari, pour ne plus laisser place qu’à l’excitation et au plaisir. Hélas Léon n’était pas au bout de son projet. Quand elle l’entendit demander à son fils de s’approcher elle paniqua, elle sut tout de suite que ce n’était pas les doigts de Léon qui caressaient sa touffe bien taillée. Sans cesser de planter son doigt dans le cul, Léon avait fait glisser le pyjama de son fils au sol et prit le pistolet entre deux doigts pour le guider dans les grandes lèvres maternelles dont il était issu. Quelle sensation étrange pour Nicolas qui découvre enfin ce qu’est l’amour.
Léon regarda son fils pénétrer lentement sa mère, le garçon poussa un son rauque. En réponse sa mère cria un long "non" désespéré. C’était le dernier outrage, l’obscénité ultime qu’elle voulait éviter, mais c’était trop tard. Elle sentit le sexe de son fils l’investir. Elle eut cette étrange remarque dans sa tête qu’il était plus gros qu’elle ne le pensait. Même Léon devait l’admettre, son fils était plutôt bien membré. Du coup le père ramassa la caméra et pointa le nouveau couple. Nicolas saisit les hanches de sa maman pour compléter son accouplement. Le père faisait varier la focale allant de plan large en gros plan.
Évidemment Nicolas ne put faire plus d’une dizaine d’oscillations dans la chatte chaude de sa mère avant de d’éjecter son sperme en elle. Effondrée Julie sanglotait à chaudes larmes. Léon repose son caméscope, saisit la chevelure brune de Julie et de nouveau enfonça son engin au fond de la gorge, il éjacula presque aussitôt à son tour. Julie toussait recrachant le sperme qui l’étouffait.
Julie tenta de se relever mais de suite la main de son mari l’empêcha d’aller plus loin. A quatre pattes, elle vit son fils suivre les ordres de son père et s’approcher.
Les joues encore ruisselantes de larmes et de foutres, Julie accueillit le sexe de son fils dans sa bouche. Léon n’eut aucun besoin de guider son fils. Julie sentit les doigts de son garçon glisser dans ses cheveux jusqu’à l’arrière de sa tête. Lentement mais très fermement, Nicolas pressa le visage de sa mère contre son pubis et un nouveau flot de larmes coulèrent sur ses joues.
Un mois plus tard, dans la maison du couple, un samedi soir comme les autres. La mère de famille a préparé des pizzas et une quiche. Nicolas prend l’apéritif avec ses parents dans le salon. Julie revient de la cuisine pour avec une bouteille de soda fraiche. Quand Léon lui flatte la croupe en passant avec sa grosse main, ce qui la fait frémir et sourire. Pendant qu’elle remplit les verres posés sur la table basse, son fils pose sa main sur ses reins et remonte le long de son dos. Julie garde le sourire mais ses yeux trahissent une certaine anxiété.
Les doigts de Nicolas se referment sur la glissière de la robe. Julie se fige un instant, juste ce qu’il faut pour que son fils descende le petit morceau de métal du zip du vêtement qui s’ouvre comme une fleur au soleil. Julie à peine surprise se retourne vers son fils mais déjà son mari l’attrape par les hanches avant d’appuyer sur son dos.
Julie n’émet aucune protestation, son visage repose sur les cuisses de son fils qui lui caresse les cheveux pendant que Léon lui retire sa culotte. De ses doigts rugueux il triture son intimité et s’enfonce dans la chatte brûlante. La honte est toujours présente, mais elle n’attendait que ça. Elle souhaitait ce moment où ses deux hommes la forceraient, ce moment où ses chéris lui montreraient combien ils l’aiment, la force de leur passion.
Nicolas a tôt fait de dégrafer le soutien-gorge, il se trémousse pour faire descendre son pyjama et pendant que son père pénètre un peu sauvagement sa génitrice, Nicolas engouffre popaul dans la bouche grande ouverte qui n’en espérerait pas moins. Julie se cramponne aux hanches de son fils alors que déjà Léon la fait aller et venir sur son membre dilaté.
Quelques minutes plus tard Léon se lève pour mieux se planter dans le ventre de sa femme haletante. Quelques minutes encore et il l’attire au sol, face à lui. Elle s’empale sur le pieu de son mari avec une ferveur jubilatoire. Elle griffe le torse de son mari qui en réponse la force à se coucher sur lui. Derrière elle, elle sent les mains de son fils qui déjà écarte ses petites fesses musclées.Julie serre les dents, lentement son fils plaque son visage entre les fesses, sa langue se met à l’ouvrage. Cette fois-ci, Julie se laisse aller complètement au plaisir. Tout à l’heure, elle avait bien essayé de se contenir un peu, mais là, les complaintes qu’elle laisse échapper ne font plus aucun doute.

Plus rien au monde ne peut lui donner plus de plaisir que de sentir son corps complètement abandonné par ses deux hommes. Elle plante ses ongles dans les épaules de son mari dont les yeux brillent de fierté et de lubricité. Elle est prise dans une tourmente entre son fils et son époux ou règne une chaleur insoutenable.
Sur un trépied trône un caméscope au clapet ouvert. Une petite lueur rouge brille sur le côté. Sur le meuble à côté de l’halogène, une autre caméra en marche avec une petite lueur rouge, brille sur le côté.
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