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Est-ce vraiment moi ?

Chapitre 1

Trash
Une histoire assez longue (une trentaine de chapitre à prévoir), dont le premier chapitre est librement inspiré d’une histoire lue il y a longtemps sur un forum, et que je n’ai pas su retrouver. Que son auteur soit remercié de l’inspiration qu’il m’a donné
Chapitre 1 - Les sosiesJe m’appelle Jérémy. Avec ma mère et mon frère Stéphane, nous habitons dans un immeuble situé dans le Nord-Ouest de la région parisienne. Pourquoi n’ais-je pas mentionné mon père me direz-vous ? La raison en est assez simple : c’est principalement notre mère qui nous élève. Notre père, qui effectue de longues missions sur des plateformes pétrolières à l’étranger, est absent de la maison pendant de longs mois. A sa demande, j’essaye de prendre un peu son rôle au sein de la famille, durant ses absences. Notamment auprès de Stéphane. Il faut dire qu’il n’a que 14 ans, et si je me dois de reconnaître qu’il marche plutôt bien à l’école, il est à un âge où il a encore besoin d’être encadré. Il est notamment dans la période où on commence à s’intéresser aux filles. Il vient d’ailleurs de plus en plus souvent me questionner à ce sujet. Je suis fier de cette complicité, même si, malgré mes 19 ans, je ne suis pas spécialement plus expérimenté que lui sur ce sujet. A ce jour, ma timidité m’a en effet toujours empêchée d’aller bien loin avec les filles. Attention, je ne suis pas un attardé complet, et j’ai quelques copines avec qui je peux discuter sans problème, mais je n’ai jamais eut l’occasion de réellement sortir avec une fille. Ma vie amoureuse se résume à de tristes simulacres : je me branle en pensant au petit cul serré de Sophie, à la tête de salope de Yasmina et ses lèvres démesurées, ou aux gros seins de Paméla…Ce qui est paradoxale, c’est que je suis conscient que je suis plutôt beau garçon, mais cela ne suffit pas à me donner une confiance suffisante pour aller plus loin avec l’une de ces tentatrices qui hantent de plus en plus fréquemment mes nuits.En ce matin de septembre, je suis d’ailleurs obligé de chasser ses visions sensuelles qui me polluent l’esprit, pour parvenir à me lèver et me diriger vers la cuisine où se trouve déjà ma mère.- Bonjour, maman ! Il reste du café ?
Je me sers un bol de ma drogue noire préférée. L’arôme amer achève de me réveiller.- De nouveaux voisins viennent d’arriver, ils sont en train d’emménager, me dit-elle.- Ah bon ? Ils ressemblent à quoi ?- Je n’ai pas trop fait attention, j’ai juste vu la porte ouverte et une pile de cartons. Pour le moment, je n’ai pas encore vu de charmantes belles-filles potentielles.- Tu ne vas pas recommencer avec ça, tu es lourde à la fin.- Et bien ! Tu es de bonne humeur ce matin ! J’ai tout de même le droit de penser que ce serait bien que tu penses un peu plus aux filles qu’aux jeux vidéo. Parce que des filles je n’en vois pas souvent à tes côtés. Ce n’est pas grâce à toi que je vais devenir Grand-mère.
Pour couper court à ce type de discussion qui m’agace autant qu’elle me met mal à l’aise, je décide d’aller voir à quoi ressemblent ces nouveaux voisins de palier. Je suis à peine sur le palier, que j’aperçois une femme, la quarantaine avancée, sortir de l’appartement d’en face. Habillée de manière très quelconque, elle n’en conserve pas moins une allure distinguée. Cela provient peut être de ses longues jambes élancées, ou bien de son visage qui reflète un mélange de sérénité et d’innocence, qui est renforcé par le carré blond de ses cheveux. Je m’apprête à la saluer lorsqu’elle remarque ma présence et me lance sans ambages :- Allez. Ne reste pas planté là, il y a des cartons lourds qui t’attendent !- Pardon ? Dis-je, surpris.- Tu crois que c’est le moment de bailler aux corneilles, ce n’est pas possible d’être aussi mou...- Ce n’est pas possible d’être aussi sans-gêne ! Quand on demande de l’aide, on essaie d’être poli, non ?- Arrête tes bêtises Thierry, on n’a pas le temps de rigoler !- Quoi ?
Je vais pour lui répondre vertement, lorqu’une voix venue de l’étage inférieur me tire de ma perplexité.- Maman, qu’est-ce qui se passe ?

Je me tourne dans la direction de cette nouvelle voix... Un jeune homme monte l’escalier un carton dans les bras. Et ce garçon… c’est moi !!- Mais... ça alors !
Aussi incroyable que cela puisse être, le garçon qui monte et qui me regarde maintenant avec étonnement, c’est moi… Enfin, un sosie parfait, autant que je me peux m’en rendre compte pour le moment. - Oh, mon dieu, dit la femme. Mais qu’est-ce que ça veut dire ?
Je me retourne vers elle, et malgré l’incongruité de la situation, son expression ahurie me fait rire et je ne résiste pas à l’idée de plaisanter.- Je le savais que j’avais été séparé de mon jumeau à la naissance, mais je ne pensais pas que je le retrouverai un jour.
La tête que fait le dénommé Thierry vaut tout l’or du monde.- Mais enfin, qu’est-ce que vous racontez, dit la femme en posant le carton qu’elle tenait dans ses bras. Je le saurais si j’avais eu 2 enfants, vous croyez que l’on ne s’en rend pas compte lorsque l’on accouche ?
Visiblement, l’humour et le second degré ne sont pas son fort. Par contre, je m’aperçois, malgré le sweatshirt informe qu’elle porte, qu’elle semble dotée d’une poitrine très généreuse. On a les qualités que l’on peut… me dis-je en souriant intérieurement. Son absence d’humour, m’incite à pousser le bouchon encore plus loin.- Mais enfin, tu ne me reconnais pas, je suis Thierry, plaisantais-je.
Le vrai Thierry éclate de rire. Visiblement la situation l’amuse beaucoup.Voyant que la femme ne goûte pas la plaisanterie et commence à se renfrogner, je décide d’arrêter les frais.- En fait, je m’appelle Jeremy. Avec un « y ».- Je suis vraiment désolée, je croyais voir mon fils. Me dit la femme légèrement gênée.- Ce n’est rien, j’avoue que notre ressemblance est troublante. Vous êtes nos nouveaux voisins ?- Oui, je suis Chantal, et voilà mon fils Thierry.- Enchanté, Bienvenue à vous deux dis-je en leur tendant la main. Si vous avez besoin d’aide, n’hésitez pas... là je dois faire quelque chose, mais si vous n’avez pas terminé quand je reviendrais, je pourrais vous aider.- Sympa, me lance Thierry, ce n’est pas de refus.- Bon, salut frérot, lui dis-je en m’éclipsant.
Une fois dehors, je me dis que la situation est assez surréaliste, j’espère que l’on va bien s’entendre, avec ce nouveau voisin, cela peut être marrant…Après avoir zoné dehors pendant une demi-heure, je remonte à l’appartement pour manger. Le repas est déjà prêt. Stéphane et maman sont déjà à table.- Excusez-moi pour le retard, je suis passé voir les nouveaux voisins. Tu sais quoi Stéphane ? On un frère caché.- Qu’est-ce que tu racontes ?- Je te jure, le nouveau voisin, c’est mon portrait tout craché. Un véritable frère jumeau.- Sans blague ?- C’est quoi cette histoire de frère ? Intervient ma mère.- Je t’assure, c’est fou, on se ressemble comme 2 gouttes d’eau. Il s’habille même dans le même style que moi.- Tu veux dire aussi mal ?- Très drôle.
Durant le repas, je leur fais le récit de notre rencontre.- Je vais leur filer un coup de main, dis-je après avoir dévoré mon dessert.- C’est gentil de ta part. Quant je te demande de m’aider tu es moins empressé, ça doit cacher quelque chose, ça. Ils n’auraient pas une fille, par hasard ?- Maman ! Ils ne sont que deux.- C’est la première fois que je te vois aider spontanément des gens. On t’a retiré la peau d’entre les doigts ? Ce n’est pas la mère au moins qui te tourne la tête ?- Très marrant. Qu’est-ce que tu as à vouloir à tout prix me caser ? Tu veux te débarrasser de moi ?- Mais pas du tout. Simplement, je m’inquiète pour toi. Tu ne me parles jamais de tes copines, tu n’en as jamais amené ici, seulement des copains, avec lesquels tu passes ton temps à jouer à la console. Il serait temps que tu commences à sortir, à faire ta vie. Enfin, ce que j’en dis… Tiens, pendant que Stéphane fait ses devoirs, aide-moi donc à faire la vaisselle, puisque c’est ton jour de générosité.
Nous nous retrouvons tous les deux devant l’évier. Et elle se montre aussitôt plus amicale.- Excuse-moi pour tout à l’heure, je ne voulais pas être méchante.- Je sais, mais tu dois comprendre que ce n’est déjà pas super à vivre, alors se voir rabâcher en permanence que je n’ai pas de copine. Ce n’est pas un drame... je ne me sens pas du tout prêt à nouer une relation pour le moment. C’est tout.- Pourquoi donc ? Ça n’a rien de terrible, au contraire.- Je ne sais pas... je crois que j’ai juste besoin de temps.- Je suis contente que tu m’en parles. Il y a certainement une raison derrière ça... et on peut la trouver.- Ouai, peut-être… bon, j’ai promis de leur donner un coup de main. J’y vais.- Ok. Jerem... tu sais que tu peux me parler s’il y a un problème, me dit-elle alors que je passe le seuil de la cuisine.
Ils ne peuvent pas me laisser tranquille, non ? Je suis bien conscient que je ne suis pas un foudre de guerre avec les filles, mais de là à parler de problème. C’est juste dû au fait que je n’ai pas encore trouvé le véritable amour. Quand je l’aurai trouvé, toutes mes appréhensions tomberont et tout se passera bien. Et puis l’accumulation de réflexions sur ce sujet commence à être très pesante.Enfin, me voilà dehors. Je vais frapper à la porte des voisins. C’est Thierry qui m’ouvre.- Salut frérot ! Entre.
Il s’efface pour me laisse passer, ferme la porte et se retourne vers moi. Nous nous regardons de nouveau, fascinés.- C’est vraiment dingue. Plus je te regarde, moins j’arrive à y croire.- Oui, j’ai l’impression d’être devant un miroir.
Nous passons dans le salon en riant, et je contemple les piles de cartons et les tas de meubles démontés. Il y a du boulot...- Ma mère est repartie pour faire des démarches administratives, je reste ici pour commencer à ranger. Si tu veux toujours donner un coup de main, tu es le bienvenu.- Pas de problème, je suis là pour ça.
Nous commençons par emporter des planches dans la pièce du fond afin d’y monter une armoire.- Tu vivais où avant ?- À Orléans. Mes parents ont divorcé il y a 2 ans, et on a dû partir. Et toi, tes parents ?- Ils sont toujours ensemble, mais mon père travaille à l’étranger, je le vois très peu.- Encore un point commun entre nous...
Il fait la moue, puis revient au meuble.- Tu es à la fac ?- Non... je viens seulement d’avoir mon bac et je suis en liste d’attente pour une école d’informatique. Mais c’est mal barré et j’ai bien peur que cette année soit une année de glande totale. Et toi ?- Je rentre en Droit début octobre. D’ici là je dois partir 2 à 3 semaines en vacances. Bon, un meuble de monté... il en reste !
Nous continuons à monter les meubles en pestant contre Ikea et ses chevilles jetables. Très vite, la chaleur aidant, nous sommes en eaux.- Et ben, c’est un travail de forçat.- Heureusement que tu étais là pour m’aider. J’en aurais eu pour des jours sinon. Merci.
Il enlève son T-shirt, et je fais de même, ne pouvant plus le supporter avec cette chaleur. Nous nous trouvons face à face.- Je sais à quoi tu penses, dit Thierry. Tu te demande si nous sommes identiques jusqu’au bout ?
Je n’avais jamais regardé le corps d’un homme avec autant d’intérêt.- Ma parole, c’est pas possible, on nous a clonés ?- C’est incroyable, on est vraiment pareils. Même coiffure, même yeux bleus, même taille, même voix...- On a le temps de faire le dernier lit ? Il est quelle heure ? Mince, il est déjà 16 heures. Je dois passer à la gare pour récupérer un billet de train. Dit Thierry- Si tu veux je termine de monter le lit, il y en a pour 10 minutes.- Tu es sur, cela ne t’embêtes pas ? Ok, c’est sympa, j’en ai pour 1h30. Tu claque la porte en sortant. Merci. Salut.
Je reste seul dans l’appartement à monter le lit. Ce qui est rapidement fait.Un bruit dans la serrure, m’indique que quelqu’un cherche à rentrer. La porte s’ouvre et une voix féminine retentie.- Thierry, tu es là. C’est maman. Pfou, j’ai terminé toutes les démarches à la mairie plus tôt que prévu, mais je suis claquée. Tu viendrais t’occuper de moi ?
Je reste interdit, puis décide de rigoler un peu en me faisant passer pour Thierry, juste histoire de paraitre sympa avec les voisins.- Oui, je suis là. J’arrive.
A ce moment, Chantal entre dans la chambre en retirant son chemisier. Elle est en haut talon, pantalon noir hyper moulant et soutien gorge balconant. Je reste souffle coupé. Je m’attendais à voir la ménagère habillé comme un sac de ce matin, et je me trouve face à une plantureuse quadragénaire aux formes affriolantes.- Et bien mon canard, je vois que je te fais de l’effet. Je t’ai manqué ? Hou, mais tu as monté les lits. On va pouvoir les essayer. Hier, tu m’as démonté le dos quand tu m’as pris sur la machine à laver. Coquin.
Elle dégrafe son soutien-gorge, dévoilant une poitrine étonnamment arrogante pour une femme de 40 ans.Elle se plaque contre moi en m’attrapant le sexe avec sa main gauche.Avant que je n’ais pu dire quoique ce soit, elle m’embrasse goulument.Dans ma tête tout explose. Sait-elle que je suis Jérémy, ou bien Thierry et sa mère sont-ils amants ?! La chose me semble dingue, pourtant il me semble bien l’avoir entendu dire « Thierry ». Et puis elle faisait référence à hier…- Allez mon lapin, vient que je te suce la carotte, après tu me ferras un gros câlin…
Sans que je ne puisse bouger, je vois cette belle femme, à la poitrine généreuse, se mettre à genoux devant moi et baisser mon pantalon pour enfourner ma queue déjà bien raide.Je ne sais pas quoi faire, la situation est explosive. Comment lui expliquer, comment l’arrêter. Toutes mes valeurs sont emportées dans un tourbillon qui m’empêche de réfléchir.Je tente de lui parler pour lui faire comprendre la situation.Pour se faire je baisse les yeux vers elle et tombe en arrêt sur son cul qui dodeline devant moi. Compressé dans un pantalon lycra blanc qui semble prêt à craquer de partout tant il la moule.La vision de ce cul magnifique me tétanise.Chantal n’a pas les mêmes problèmes ; elle s’active comme une furie sur ma queue. Montant et descendant sa tête sur mon pieu congestionné. Je vois le casque d’or, de son carré, s’agiter au niveau de mon bassin. De temps à autre elle jette vers moi un regard ironique. Est-elle consciente de la situation. Fait-elle semblant de faire croire que je suis Thierry ? Non, ce n’est pas possible.- Alors Thierry, tu es bien passif. Je ne suis plus assez belle pour toi ? Tu vas voir, je vais te montrer qu’une vieille comme moi, ça vaut une dizaine de tes copines de lycée.
Se faisant elle me pousse sur le lit, me faisant tomber sur le dos.Puis elle monte debout sur le lit et reprend sa fellation en positionnant ses fesses au dessus de mon visage.La situation est extraordinaire pour moi, jamais je n’avais imaginé qu’une chose pareille puisse arriver. Et pourtant, la chose qui m’interpelle le plus est de voir ses hauts talons plantés sur le matelas. Dans un flash, j’imagine celui-ci crever sous les pointes. Mais rapidement, l’activité de ma cavalière me ramène à la réalité. Visiblement, ma passivité lui donne envie de faire ses preuves et elle ne semble pas se préoccuper de l’avenir de sa literie.Pourtant, elle ne parvient pas à tenir cette position inconfortable très longtempsElle se met à 4 pattes et appuie son entrejambe sur mon visage, tout en replongeant sur ma queue qu’elle astiqur de sa bouche comme une furie.- Tu vas voir mon chéri, je vais te pomper jusqu’à la moelle. Mmmmhh… tu vas demander au secours…
Je commence à devenir fou d’excitation. Pour essayer de respirer un peu mieux, je dégage mes mains et me saisis de ses fesses que je décolle un peu de mon visage. Le contact de mon pouce sur sa vulve lui tire un gémissement de plaisir tel que je ne peux me retenir plus longtemps et que j’éjacule au moment où elle a la tête relevée pour gémir.Je lâche plusieurs jets épais de spermes, sans même m’en rendre compte. Elle appuie fortement son entrejambe contre mon visage, s’y frotte 10 secondes puis se dégage.Elle me regarda avec un regard faussement courroucé.- Mauvais fils, tu prends ton pied sans même penser à ta pauvre mère. Et puis regarde dans quel état tu m’as mis. Tu aurais pu prévenir toute de même. Tu sais que je n’aime pas avaler ton sperme. Là j’en ai partout sur le visage et dans la bouche.
De fait, elle a le visage maculé par de larges trainées de spermes.Je ne sais plus ou me mettre et me mets à rougir.Mon air doit l’attendrir car elle me fait un sourire (que je trouve merveilleux) et me dit :- Allez, vient que je te nettoie. Ton sperme à bon goût aujourd’hui.
Et, à ma grande stupeur, elle replonge sur mon sexe pour le reprendre en bouche et le nettoyer de sa langue. Incroyable !Une fois ma toilette terminée, elle se lève. Elle semble de bonen humeur, ce qui me rassure un peu.- Bon, tu es pardonné parce que ta purée était bonne, mais ne crois pas que tu vas t’en tirer comme cela. Je dois repartir pour faire changer les plaques d’immatriculation de la voiture. Et quand je reviens tu as intérêt à être plus amoureux. Je te rappelle que tu pars à Bordeaux demain, et que ta pauvre maman va être toute seule pendant 1 semaine. Alors il faudra que tu sois très calin avec moi pour te faire pardonner..
Elle me tourne le dos et s’éloigne vers la douche. Je la suis des yeux, le regard accroché à son cul, qui m’apparait comme étant le plus beau qu’il m’a été donné de voir. Enserré dans son pantalon, cambré par le port de hauts talons, il semble arrogant, et donne le sentiment de vouloir faire exploser toutes les coutures pour me sourire.Reprenant mes esprits, je me rhabille en vitesse et m’apprêtte à sortir de la chambre, lorsque je la croise dans le couloir. Elle est maintenant pied nu, et en string. Comment une femme de son âge peut-elle être aussi désirable ?- Tu n’oublis pas que tu dois aller chercher tes billets de train ?- Heuu… non. J’y vais maintenant.
Je claque la porte d’entré, et je m’enfui précipitamment chez moi, où je me réfugie dans ma chambre.
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