Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 23 J'aime
  • 3 Commentaires

Est-ce vraiment moi ?

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Chapitre 4 - A ma mainChantal me dépose à la maison et repart pour déposer un dossier à la mairie. J’en profite pour passer à la maison rassurer ma mère sur mon absence.Retrouver mon statut de petit garçon à sa maman est une expérience assez désagréable, à laquelle je ne m’attendais pas. Passer de la position de Chef de la maison, à enfant soumis m’est en effet assez pénible. Et plus d’une fois je me surprends à lever la voix pour imposer mon point de vue à ma mère ou à mon frère. A refuser d’effectuer les petits services qu’ils me demandent.Je regrette très vite ce comportement qui ne me ressemble pas, mais c’est plus fort que moi : la fadeur de cette existence comparée aux folies que je viens de vivre à 20 mètres d’ici, m’est difficilement acceptable.Je me surprends à mâter les fesses de ma mère en me demandant si elle aussi pouvait cacher un tempérament aussi volcanique que celui de Chantal. L’idée me fait même rire. Non, vraiment, imaginer que ma mère puisse encore avoir une vie sexuelle me semble totalement inconcevable.
Je sors, en prétextant une nouvelle soirée de jeux vidéo, et réintègre l’appartement des voisins.Chantal est déjà là, en train de faire le ménage.- Où étais tu ? Je t’ai cherché ?- Je suis allé à la gare, il n’y a pas de trains disponibles pour Bordeaux cette semaine, tu vas devoir me supporter.- Si tu es aussi chaud que depuis que nous avons aménagé, je vais bientôt être sur les genoux…- Au fait, cela me ferait très plaisir que tu te balades en petites tenues quand tu es à la maison. Afin que je puisse savourer ta beauté en permanence.- Thierry !! Tu es fou ! Enfin, à mon âge il n’y a rien de très joli à voir.- Je crois t’avoir déjà dit que je n’appréciais pas que tu discutes mes ordres. Alors, tu vas te mettre toute nue, et me faire un quart d’heure de vélo d’appartement. Pour t’apprendre l’obéissance !- Que… quoi ?- Tu as très bien entendu. Je veux voir ton joli petit derrière se dandiner sur la selle pendant que je regarde la télé. Et puisque tu as du mal à comprendre, c’est 20 minutes maintenant. Cela va te muscler un peu le cul, comme ça tu seras moins complexée pour le montrer.
Chantal réfléchie un court instant, puis son visage s’éclaire fugitivement avant qu’elle n’adopte une moue de petite fille coupable.- D’accord Monsieur Thierry. Tes vœux sont des ordres Môssieur Thierry. Je suis à toi Môssieur Thierry, dit-elle en se moquant de moi.
Elle assimile ma demande à un jeu, un jeu coquin soit, mais un jeu séduisant. Et cela semble l’amuse, car elle se déshabille et envoi balader sa culote sur moi.- C’est ça, Fous-toi de moi. C’est 30 minutes maintenant mon cœur. Toujours envie de discuter.
Elle me tire la langue comme une gamine, mais chevauche le vélo à cru et commence à pédaler. Voir ses cuisses s’activer et ses fesses s’agiter dans tous les sens est un spectacle merveilleux. Au bout d’un moment le frottement de sa vulve sur la selle commence à l’émoustiller, puis à l’irriter. La selle devint humide, et elle alterne les gémissements et les grimaces. Elle jette un œil vers moi espérant que je mette fin à son châtiment. Mais je me contente de lui envoyer un bisou en lui faisant comprendre que j’apprécie le spectacle.Elle se force à sourire et se met en danseuse.
La voir se dandiner de la sorte est plus que je ne peux en supporter. Alors que jusqu’à présent je ne faisais que me caresser discrètement la queue au travers de la toile de mon pantalon, là, ma retenue vole en éclats. N’y tenant plus, je sors mon sexe et commence à m’astiquer. Son cul s’agite dans tous les sens, ses muscles fessiers contractés, le rendant encore plus désirable. Ses seins se balancent en frappant l’un contre l’autre. Mais c’est en regardant ses mimiques de douleurs que je ne peux me retenir et que j’éjacule de grasses gerbes de sperme sur le canapé en cuir en poussant un grognement bestial.- Waouah, ce cul que tu as !!
Chantal se retourne, et découvre la scène pathétique que je lui offre : rouge comme une tomate, la queue serrée dans ma main gluante, du foutre répandu sur le canapé… je ne dois pas être à mon avantage, et je peste qu’elle me voit ainsi, alors que j’ai tant à cœur de m’attacher ses faveurs. Puéril, je lui en veux de m’avoir vu dans cette facheuse situation.- Regarde ! Tu m’as encore fait faire des bêtises. Aller, arrêtes de tortiller du cul et vient nettoyer tes conneries.
Elle descend du vélo avec difficulté, mais visiblement soulagée que la séance prenne fin, et se rend vers la cuisine.- Qu’est-ce que tu fais ? Tu n’as pas besoin d’éponge. Ta langue est très bien pour cela. Allez, magne toi avant que cela ne sèche.
En me jetant des regards de surprise et d’inquiétudes, elle se rapproche de moi.- Tu n’es pas sérieux ? Thierry ?
Je me sens un peu honteux et fautif de ne pas être parvenu à me retenir d’éjaculer devant elle, et cela me contrarie. Comme par réflexe d’autodéfense, ma colère se mue rapidement en désir de représailles.- Tu me fatigues à toujours geindre. A ça, pour quémander un coup de bite tu es toujours là mais pour assumer tes conneries, il n’y a personne. Tu te magnes de nettoyer tout cela, et tu en profites pour me nettoyer la queue.
Avec une mimique de dégoût elle se penche et commence à lécher le canapé. Ses seins pendent sous elle de manière un peu grotesque. Elle a beau avoir une belle paire, elle n’a plus 20 ans la rombière…Sa servilité me fait regretter ma méchanceté à son égard, et je sens ma colère s’évanouir et m’apprête à me montrer tendre envers elle, et à m’excuser pour mes propos.Mais le spectacle qu’elle m’offre me coupe dans mon élan. A sa grimace, je me rends en effet compte que je l’ai amené au-delà de ce qu’elle pensait possible d’accepter. Je lui ai fait franchir quelques barrières morales.Elle lèche consciencieusement le canapé puis se tourne vers moi et commence à me sucer la queue. C’est divin et cela fait me coupe totalement dans mes velléités d’excuses. Je la laisse faire, me laissant aller à profiter des sensations agréables qu’elle me procure avec sa bouche. Une fois qu’elle a terminé, elle me fixe d’un regard interrogateur, attendant visiblement de nouvelles instructions. Pris de court, je lui demande de me venir m’embrasser. Elle se love contre moi, jusqu’à ce que nos lèvres se touchent, et me roule une pelle fougueuse, qui me laisse penser qu’elle n’éprouve pas beaucoup de ressentiment à mon égard. Nos langues s’entremèlent et je peux goûter à ma propre semence. Je constate que cela n’a pas grand goût. Par contre, je sens aussitôt que ce baiser la détend. Elle est vraiment accroc à son fils…La nuit se passe paisiblement, même si j’exige de Chantal qu’elle vienne dormir dans mon lit. Elle tente bien de rétorquer que « ce n’est pas bien et que je ne dois pas oublier qu’elle est ma mère, que cela ne doit pas devenir une habitude… », mais mon regard suffit à la faire taire. De plus, j’eu le sentiment que ma demande lui fait plaisir.Nous tombons de sommeil très rapidement, elle lovée contre moi, ma main posée sur un de ses seins.
Mercredi matin, j’envisageais un réveil comme celui de la veille, mais Chantal n’est plus dans le lit lorsque j’émerge.Elle a passé un peignoir éponge et est en train de s’activer dans la cuisine.Ma première réaction est de me dire qu’elle cherche à me provoquer dès le matin. Cette pensée me surprend. Il y a encore 2 jours je me serais pincé pour réaliser le bonheur inespéré que j’avais de me réveiller avec la présence d’une femme aussi belle, et qui de plus ne fait pas beaucoup de difficulté pour m’offrir ses charmes. Au lieu de cela, je ressens d’abord une sorte de colère en constatant que Chantal n’a pas appliqué mes instructions de la veille concernant la tenue qu’elle doit porter à la maison.Où est le Jérémy, timide, réservé et doux que je pensais être ? Je ne suis tout de même pas devenu cette bête assoiffé de sexe et de domination ? Ce type impolie et irrespectueux qui se manisfeste de plus en plus ? Non, cela ne peut être moi.Mais ces pensées ne parviennent pas à me calmer. J’ai le sentiment qu’en revêtant ce peignoir informe elle cherche sciemment à saper mon autorité naissante. Et cela me déplait fortement, me fait devenir mauvais.- Bonjour Thierry, tu as bien dormis ?- Qu’est-ce que tu fais avec cette pelure sur le dos ? Tu n’as pas compris mes instructions peut-être ? Tu crois que je vais rester avec une vieille rombière qui porte des bigoudis et qui se balade en peignoir toute la journée ?- Mais… Thierry… Excuse-moi, tu n’étais pas réveillé et j’ai pensé que…- Ne pense plus à rien, cela ne te réussit pas. Contente-toi de réfléchir avec ton cul et de faire ce que je te dis. Amène tes miches ici que je te corrige.- Thierry, de qu’elle manière me parles tu !? Si tu le souhaites, je vais enlever mon peignoir. Mais tu n’as pas besoin de me parler ainsi. Je t’ai préparé un bon petit déjeuner, on peut passer la matinée au lit, tous les deux…- Arrête de me farcir la tête avec tes conneries et amène-toi ici. Pose ton ventre sur la table et écarte les cuisses.
Interloquée, la mère de famille s’exécute docilement et vient écraser sa poitrine contre la table. Tout en admirant le postérieur qu’elle offre ainsi à mon regard, je me dirige vers l’étagère pour me saisir de la cravache que nous avons achetée la veille. Je m’oriente vers elle, et croise son regard apeuré.Le premier coup lui cingle l’intérieur des cuisses. Elle hurle de douleur.- Thierry, je t’en supplie arrête ça, ça fait trop mal. Je ferais tout ce que tu veux. Tu ne peux pas…- Tout ce que je veux comme quoi ? Tu es déjà sensée faire tout ce que je veux. Et c’est parce que tu n’es pas obéissante que tu m’obliges à te punir.- Je t’en supplie, je serais très gentille avec toi… tu ne le regretteras pas.- Puisque tu fais appel à mes bons sentiments, je veux bien me montrer gentil également. Mais il va falloir y mettre du tien. A quoi pensais-tu lorsque disais que je ne le regretterais pas ?- Je… je ne sais pas… faire quelque chose qui te ferais plaisir.- Voyons voir. J’ai une idée, voilà ce que je te propose : tu te rases le sexe et ce matin, et tu me suis où je veux, sans discuter.- … Pourquoi pas. Mais quand tu dis raser… cela veut dire complètement ?- Oui, plus un poil sur le caillou.- Mais qu’est ce qui t’a fait changer d’avis ? Il y a 3 mois tu refuses que je me fasse une coupe « ticket de métro » parce que tu trouves que cela fait « trop pute », pour reprendre tes mots, et là… carrément tu veux que je me rase…
Je la coupe pour essayer de masquer mon trouble.- Alors, c’est ok ?- Ok, j’y vais. Attends-moi là. Et surtout ne regarde pas. - Ne t’inquiète pas je dois sortir faire un tour. Je reviens dans 1 heure. Tient toi prête pour sortir.- Ok. A tout à l’heure mon biquet. Je t’aime.- Moi aussi.
Diffuse en direct !
Regarder son live