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Ce n'était qu'une simple soirée

Chapitre 7

Hétéro
C’est fou. Dire que tout cela découle d’une simple rencontre au cours d’une soirée avec deux amis. En revenant au travail, je suis un peu ébranlé en pensant à ces derniers jours. J’ai passé la nuit avec Jessica, la fille de mon patron. J’ai couché avec Vanessa et Jennifer, deux de ses amies, et je m’apprête à passer la soirée avec Elise, une troisième copine. Elles ont toutes 18 ans. J’en ai 38. En vérité, je revis.
L’après-midi passe très vite car j’ai une réunion qui m’occupe plus de deux heures. Il est 17h45 quand je quitte ma place de travail et rentre chez moi. Après une douche rapide, je prépare mes vêtements pour sortir. L’interphone sonne. Vanessa. Quelques secondes plus tard, elle est à la porte dans une très courte robe rouge hyper moulante qui fait, certes, ressortir son ventre, mais également ses gros seins ronds. Vulgairement excitante, j’en arrive à espérer que mes voisins ne l’aient pas vue.
Elle entre, se jette à mon cou avant de s’agenouiller pour me sucer. Elle n’a eu qu’à défaire la serviette que je portais nouée autour de la taille. Je n’ai pas encore dit un mot à part "Salut". La petite cochonne a bien retenu la leçon de la fellation de la veille. Elle me pompe agréablement bien. Elle se relève. Nous nous embrassons.— Quelle arrivée…Vanessa rit. Elle s’éloigne de moi, tourne sur elle-même.— Je te plais ?— Tu es très excitante.Elle fait la moue. Elle doit sentir que je ne suis pas emballé.— Ça te plait, oui ou non ?— La robe est trop moulante pour toi, les talons trop hauts, tu peines à marcher, tu es trop maquillée, tu n’as pas mis de dessous et on voit tout. Tu m’excites beaucoup, mais cette tenue…Vanessa m’interrompt.— Tu as envie de me baiser ?— Comme jamais.— Emmène-moi dans ta chambre.Ni une ni deux, je la couche dans le lit et, après une vif cunnilingus, je la prends alors qu’elle n’a quitté aucun vêtement. Alors que je pistonne la plantureuse brune dont les jambes sont posées sur mes épaules, je lui dis :— Tu es habillée comme un pute et ça me rend fou.Vanessa ne répond pas, incapable d’articuler tant elle gémit et halète sous la vivacité de mes allers-retour. Un peu brusque, je la retourne pour qu’elle se mette à quatre pattes et je la ramone avec plus d’intensité encore. Sublime jouissance.
Sur le lit, Vanessa reprend son souffle, sourire aux lèvres.— Je crois que je vais revenir chez toi habillée ainsi.Je dis le fond de ma pensée.— Hier, tu étais encore une jeune fille timide et…Elle me coupe.
— Et j’ai découvert le sexe et depuis, je n’ai envie que de ça.— Tu m’en vois ravi !Vanessa sourit et rougit un peu avant d’avouer :— J’ai sucé un copain de classe cet après-midi entre deux cours. Je dois passer chez lui demain après l’école, je suis trop excitée. J’ai envie de le faire tout le temps.Je n’en reviens pas. La jeune femme qui est devant moi est à des années-lumières de celle rencontrée le week-end précédent. C’est pourtant la même.
Nous nous levons et allons à la cuisine. Je sers une verre d’eau à Vanessa. Cinq minutes plus tard, elle est à genoux devant moi et me suce à nouveau. Alors que je la baise sur le plan de travail, elle dit :— Reste encore avec moi, j’annule Elise.— Je ne pose pas de lapin.— J’ai tellement envie de toi ! J’ai envie que tu me baises toute la soirée.Ses mots m’électrisent et je jouis rapidement. En sueur, je retourne sous la douche. Je ne suis pas en avance. Je me dépêche. Au moment de partir, Vanessa est couchée sur mon canapé, jambes écartées. Insatiable. Je résiste. Elle cède. Dans la voiture, ce sera des exhibitions de seins et de chatte. Elle voudra me sucer. Elle demande :— On se voit demain à midi ?— Impossible, je mange chez moi avec un ami.— Dommage…Un baiser et elle s’en va. J’ai l’impression d’avoir "créé" un monstre.
J’arrive au restaurant "Aux Dames Jaunes" deux minutes avant l’heure du rendez-vous. Elise n’est pas là. J’ai réservé ma table préférée, dans une discrète alcôve au fond du restaurant mais avec vue sur l’entrée. Elise arrive dix minutes plus tard. Grande et fine, elle est incroyablement belle et sexy. Elle porte un tailleur marron, composé d’un blazer cintré et d’une jupe courte, et des talons hauts. Elle a mis des lunettes et a poussé le vice jusqu’à attacher ses cheveux en queue de cheval. L’homme assis près de la porte la mate, bien qu’il soit attablé avec une femme. Elle s’adresse au serveur qui la guide jusqu’à moi. Je me lève et lui fais la bise. Le serveur s’en va. — Tu es divinement belle, Elise.La jolie brune rougit et s’assied sur la chaise que je lui tire pour qu’elle s’assoit, un geste qui semble la déconcerter. Les bonnes manières se perdent. Je m’assieds en face d’elle. Clairement, elle est la plus belle des cinq filles. Son visage est doux et lisse, son nez aquilin, la bouche ourlée et étroite, ses yeux verts en amandes sont à tomber. Elle semble à peine maquillée. Je suis immédiatement sous son charme. Qui plus est, je remarque une fois assis la belle poitrine de ma partenaire qui ne porte pas de soutien-gorge. Elle a mis un chemisier blanc en satin stretch qui dessine joliment deux globes, assez gros comparativement à sa morphologie.
Je la regarde avec un plaisir non dissimulé et, un peu pervers, je ne dis rien. Gênée, Elise m’apparait en en totale contradiction avec la fille qui écrivait les messages à propos de la taille de mon sexe. Le silence devient pesant. Sachant qu’elle s’est habillée exactement comme je l’ai indiqué à Vanessa, j’ai soudain envie de la déstabiliser. Après une bonne minute supplémentaire de silence, je finis par le briser :— Je suis ravi de faire ta connaissance, Elise.— Je… Moi aussi… Vous… Et merci pour cette invitation, il ne fallait pas.— Ah bon ? Alors quel genre de rendez-vous souhaitais-tu ?— Heu… Je ne sais pas. Mais… heu… juste un verre aurait suffit.— Suffit pour quoi ?— Ben heu… pour faire connaissance.— Avant de baiser ?Elise devient écarlate. Sourire vraiment gêné.— Non non ! C’est juste que… heu… je… Je la coupe :— Si ce n’est pas ça, pourquoi souhaitais-tu si ardemment un rendez-vous avec moi ?— Je… pour faire connaissance vu que tu… vous connaissez Jess’ et Vaness’…— Tu as eu rendez-vous avec tous les mecs qui ont couchés avec tes copines ?— C’est… heu… non non !— Alors pourquoi moi ?— Parce que Jess’… heu…
On tourne en rond. Déstabilisation, phase 2. Direct.— Déboutonne ton chemisier, Elise, je veux voir tes seins.— Ici ?— Oui, ici. Et maintenant.La belle s’exécute lentement et dévoile alors deux magnifiques balles, d’une rondeur absolue, si hautes qu’elles pourraient paraitre fausses si Elise avait au moins dix ans de plus. Des seins parfaits. Je lui dis calmement :— Elise, je m’excuse pour cette entrée en matière. Je n’ai pas du tout envie de manger ici avec toi.Elle blêmit. J’attends quelques secondes avant de poursuivre.— Non, j’ai envie de me balader en ville à ton bras.Son sourire me donne des palpitations. Je me lève et viens à nouveau tirer sa chaise. Elle comprend alors la galanterie de mon geste.
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