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Ce n'était qu'une simple soirée

Chapitre 13

Hétéro
Vanessa dort encore sur le canapé. Elise arrive un quart d’heure plus tard, vêtue d’un unique string. Il lui faudra une douche bien froide pour retrouver ses esprits, mais elle restera amorphe durant tout le petit-déjeuner. Vanessa nous rejoint alors que nous avons tous terminé. — J’ai tellement mal aux cheveux. Nous rions. Elle remarque ma présence.— Oh, tu es finalement revenu ! On t’a attendu, tu sais !— Oui, on m’a raconté ça. — Tu es venu pour le petit-déj’ ?Jennifer rit.— Caro, est-ce que tu as passé une bonne nuit ?La blonde rougit. Vanessa comprend.— Ah ben non ! Tu es revenu avant !Les filles éclatent de rire et je dois me boucher les oreilles pendant que Caroline raconte notre nuit. Elle omet de dire que Jennifer nous a rejoint et ce qu’il s’est passé ce matin dans la chambre. Les deux filles échangent d’ailleurs un regard complice.
Ce petit-déjeuner est un moment adorable et les filles se remémorent la soirée. Elles doivent en raconter une bonne partie à Vanessa, honteuse d’avoir vomi sur la terrasse. Étrangement, aucun de nous n’a de message de Jessica, mais cela ne semble inquiéter personne. J’aide Jennifer à débarrasser la table tandis que les autres filles passent l’une après l’autre à la douche. Je fais de même, en vitesse.
Nous sommes ensuite tous réunis au salon. Elise me demande si je peux la ramener, j’accepte. Nous saluons Jennifer et la remercions pour la soirée et son hospitalité. Je l’embrasse en dernier, un long baiser. Elle demande :— On se revoit bientôt ?— Je ne sais pas. Je ne pense pas que ça soit raisonnable de continuer à vous voir toutes les quatre. Je n’ai pas envie que cela crée des jalousies entre vous et qu’il y ait des problèmes dans votre groupe de copines à cause de moi.Un ange passe. Il faut croire que j’ai touché au bon endroit. C’est le bon moment pour arrêter. Aucune des filles ne dit un mot. Un dernier baiser à Jennifer et nous sortons.
Sur le trottoir, j’embrasse Caroline puis Vanessa puis je m’en vais avec Elise.— Je pense que tu as raison. Depuis une semaine, on ne parle que de toi entre nous et les tensions existent déjà, crois-moi. Honnêtement, on se jalouse déjà toutes à ton propos. Seule Caro semblait s’en foutre. Mais vu que tu l’as dépucelée cette nuit et que ça lui a beaucoup plu, je doute qu’elle reste neutre désormais. — J’ai senti ça hier soir déjà et j’ai pris ma décision à ce moment-là. Ce matin, c’était plus détendu parce que vous étiez mal réveillées.— Oui. Mais je ne sais pas si tu as vu le regard de Vanessa lorsque tu as accepté de me ramener. Elle était furax, crois-moi.— Je n’ai pas vu, mais je vais en rester là avec votre groupe. Vous êtes toutes adorables et je n’ai pas envie que vous vous battiez pour un vieux chnoque comme moi !Elise rit.

Quelques minutes plus tard, nous arrivons à proximité de chez elle.— Tu entres boire un verre ? Si ma mère est là, je te la présente.Elle sourit d’un air entendu. Je souris à mon tour. Elle ajoute :— Je ne t’avais pas dit que je te la présenterai ?— Si, si. Allez, juste un verre alors.Je me gare et nous parcourons quelques dizaines de mètres à pied, jusqu’à la maison qui est jumelée à une autre. Nous entrons dans la demeure. C’est simple, épuré, fonctionnel et cela me plait immédiatement. Elise appelle sa mère. Pas de réponse. — Il n’y a pas son sac, elle a dû sortir.Elle lui téléphone et lui parle de moi sans hésiter. La conversation est assez brève et directe.— Ma mère dit que tu dois rester manger. Elle a été faire quelques courses et ramène des poulets grillés. Elle a dit qu’elle serait là d’ici une demi-heure.— Ça nous laisse le temps de boire un verre.— Par exemple. Ou bien…Elise s’approche de moi et m’embrasse. Je ne réagis pas. Second baiser. Pas de réaction. Elise sourit et retire sa tunique puis son soutien-gorge. Elle revient vers moi, caresse mon sexe. Je bande. Elle s’agenouille et commence à me sucer. De manière tout à fait obscène. La salope. Elle se rend bien compte qu’elle me rend fou.
Je ne résiste pas et accompagne Elise qui m’entraine dans une autre pièce. Sa chambre. Nous y faisons l’amour et cela est bien mieux que chez moi, même si Elise simule. Mal. Nous nous rhabillons ensuite en vitesse et mettons la table, avant de nous installer avec un verre de vin pour moi et un soda pour elle. Sa mère arrive juste après.
Je la découvre lorsqu’elle sort sur la terrasse. Tout l’opposé d’Elise. Laurence est une joli quadra blonde, pas très grande. Sa poignée de main est ferme et dynamique et je sais de qui Elise tient ses magnifiques yeux et sa bouche ourlée. Tandis que les deux femmes discutent, j’observe Laurence. Elle porte une robe-chemisier bleue marine à ceinture, surpiquée de fil blanc et fermée par huit boutons également blancs. Aux pieds, ses talons sont assortis à la robe, marines et blancs. Elle porte également un collier et un bracelet blancs. Vraiment très élégante. Elle dit à Elise :— Bon, je te laisse préparer les poulets pendant que je fais connaissance avec ton ami.
Les deux femmes entrent et Laurence ressort quelques instants plus tard, un verre à la main. Elle s’installe face à moi et nous commençons à discuter. Je reste un peu sur mes gardes, car je ne sais pas si Elise lui a parlé de moi. Au téléphone, elle n’a rien dit, mais avant ? Heureusement, Elise arrive assez vite avec les poulets et nous mangeons à la bonne franquette. Nous discutons les trois, mais force est de constater qu’Elise est souvent en retrait. Les sujets évoqués ne semblent pas l’intéresser. Alors que nous prenons le café dans un coin plus cosy composé de fauteuils, le téléphone d’Elise sonne. Elle entre pour répondre et quelques minutes plus tard, elle vient nous annoncer qu’elle doit se rendre chez une copine. Je me lève alors pour m’en aller moi aussi, mais Laurence me retient :— Mais restez donc, Florent. Votre compagnie est très agréable. Je me rassieds et Elise s’en va. Elle devient le sujet de discussion. Je complimente la jeune fille.— Je la trouve très mature pour son âge. Elle semble avoir les pieds bien sur terre.— Oui, c’est vrai. Elle a son caractère, mais elle est très bonne élève, très intelligente selon ses professeurs. Je ne me fais pas de soucis pour elle. Il y a une grande confiance entre nous.— Quel portrait élogieux ! Elle n’a vraiment aucun défaut ?Laurence rit.— Oh que si, un gros ! Son style vestimentaire. C’est une catastrophe ! Toujours en jeans avec ses vieilles baskets et ses gros pulls. Aujourd’hui, vous avez de la chance de l’avoir vue ainsi, car c’est très rare, même en été. Je désespère. J’aime bien m’habiller, les beaux vêtements et cela m’attriste vraiment de ne pas avoir su lui donner le goût pour l’élégance.
Je profite de la situation pour draguer ouvertement Laurence.— Mais mettez vous à sa place. Il lui est déjà difficile d’être aussi belle que sa maman.Laurence sourit, touchée.— Vous me flattez.— Elle a vos beaux yeux et votre magnifique bouche.Laurence rougit. Je poursuis.— Laurence, rendez-vous compte : il lui est juste impossible d’être aussi élégante que vous. Elle ne peut pas rivaliser et elle le sait pertinemment. Regardez-vous !— Oh ! Qu’ai-je donc de si élégant dans cette tenue du dimanche ?— Vous voulez rire ? Votre robe est simple mais très chic. Vos talons sont assortis aux surpiqures, aux boutons et à la ceinture de la robe, tout comme le collier et le bracelet. C’est raffiné, élégant, impeccable. J’ajouterais même que vous avez choisi volontairement le blanc car vous êtes joliment bronzée.Elle hoche la tête en signe d’approbation.— Vous êtes observateur. — Vous attirez le regard.Nous nous regardons intensément. Je joue mon va-tout.— Et je suis certain qu’une femme aussi coquette que vous a également assorti ses dessous. Je suis prêt à parier qu’ils sont blancs.Elle me regarde en souriant.— Un pari ? Selon vous, je porte un soutien-gorge blanc et…— … un tanga blanc.— C’est précis !Elle rit et ajoute :— Je vous épargne le type de dessous dont il s’agit. Vous dites que ce que je porte en haut et ce que je porte en bas est blanc.— C’est bien ça. — Si vous avez raison ?— Je déboutonnerai votre robe et vous la retirerai.Laurence ne réagit pas, continuant à sourire.— Et s’ils ne sont pas blancs ?— J’aurai perdu et je vous laisse choisir le gage, chère Laurence.Elle réfléchit quelques secondes.— Il faudra que vous vous déshabilliez devant moi et que vous vous masturbiez.— Je relève le pari.
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