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Ce n'était qu'une simple soirée

Chapitre 16

Hétéro
Quand Laurence se tourne vers moi, les yeux embués, je comprends que notre histoire vient de finir sans même avoir commencé. Penaud, je me rhabille, prends mes affaires et me dirige vers la porte. Laurence n’a pas bougé. Elle a juste baissé les yeux. Je sors, monte dans ma voiture et m’en vais. J’ai honte. Tellement honte. En arrivant à la maison, je file sous la douche et y reste de longues minutes. J’aurais dû envoyer balader Elise. Elle aurait tout avouer à sa mère et puis alors ? Une explication aurait tout arrangé. Là, tout est brisé. J’envisage de passer la soirée à boire de l’alcool, trop d’alcool. Je m’installe dans le canapé et allume la télévision sur un programme que je ne regarde pas. Mon téléphone tinte. Jennifer.— "coucou. je voulais te dire que je comprends ta décision mais la regrette. je suis encore seule ce soir. tu viens?"— "ce n’est pas honnête par rapport aux autres, non?"— "elles n’en sauront rien ;-)"— "j’imagine. mais j’ai donné ma parole"Pas de réponse immédiate. Puis :— "dommage"
Je ne réponds pas. Le message suivant est une photo. Un plan large d’un lit que je reconnais immédiatement pour y avoir passé la nuit. Jennifer y est allongée sur le côté, nue. Devant elle, le contenu de la table de nuit de sa sœur. Sauf le gode qui se trouve dans la bouche de Jennifer :— "dommage, car il y avait de quoi nous amuser"Je ne dois pas répondre mais l’envie est trop forte.— "avec le plug anal aussi ?"— "aussi. et si l’essai est concluant…"
Merde, merde et merde ! J’hésite durant plusieurs minutes. Là, je gamberge avec Laurence et Elise, pourquoi n’irais-je pas chez Jennifer ? Glisser dans son superbe petit cul, quel plaisir ça doit être ! Le premier qui plus est… Dans un sursaut de lucidité, je réponds :— "non non non. j’en meure d’envie mais non. jenn, tu es une fille formidable et je suis ravi d’avoir fait ta connaissance"Elle ne répond pas et cela me soulage.
Je me serre un autre verre et m’enfonce un peu plus dans le canapé. Il me faut un programme qui me change les idées. Mais alors que je zappe frénétiquement, mon téléphone sonne. Je n’ose pas regarder, je ne veux pas savoir s’il s’agit de Jennifer. Je me saisis du smartphone et regarde le nom affiché : Walter.— Salut Walt’ !— Bonsoir, mon Floflo ! Tu vas bien ?— J’ai connu des dimanches soirs plus dynamiques.— Tu es chez toi ?— Oui, je zappe.— Tu viens à la maison ? Je suis avec Vanessa et nous avions envie de te voir.
Le ton de sa voix précise aisément ce dont il s’agit.— Écoute, je suis fatigué et j’ai dit aux filles qu’il ne fallait plus compter sur moi.— Je sais tout ça, vieux, mais ça pourrait être très sympa si tu venais.Derrière lui, Vanessa donne de la voix pour me motiver.— Écoute, c’est gentil, mais non.— C’est ton dernier mot ?Je le trouve très insistant et ce n’est pas son genre habituellement.— Oui, Walt’, c’est mon dernier mot.— Ok, alors bonne soirée.Et il raccroche. Deux minutes plus tard, il envoie un message :— "Dead or alive !"
Un code. LE code. Nous étions ados. Un ami commun avait voulu nous dire tout le bien qu’il pensait de sa soirée de la veille. Il avait voulu dire "mortel" et il avait dit "dead or alive". Comme ça. Rien à voir. Un des plus gros fou-rires de notre jeunesse et si ce mot a marqué notre ami à vie, l’expression est entrée dans notre langage commun pour signifier un évènement à ne rater sous aucun prétexte. Si Walter l’utilise maintenant, en toute connaissance de la situation, c’est qu’il y a quelque chose que je ne sais pas et qu’il ne pouvait pas me dire au téléphone. Je réponds :— "Dans 20 min"Je me prépare en vitesse et file chez Walter. En arrivant, je suis reçu par une Vanessa en guêpière et bas résilles.— Tu as vu ce que m’a offert Walter ?Vu l’état du salon et de la chambre, ils ont dû baiser plus d’une fois. Walter me dit de prendre place dans le canapé et Vanessa s’installe à côté de moi. Vue plongeante sur sa volumineuse poitrine. Walter va me servir un verre et pendant qu’il est à la cuisine, Vanessa commence à m’embrasser. Je caresse ses seins et les sors pour mieux la peloter. Quand Walter revient, Vanessa est en train de me sucer. Walter et moi trinquons. Nous papotons comme si de rien n’était mais par ses gestes, Walter me fait comprendre qu’ils ont baisé trois fois et qu’il l’a sodomisée. Quand Vanessa se redresse, nous passons tous les trois dans la chambre.
Assis côte à côte sur le lit, nus, Walter et moi regardons Vanessa nous masturber, une bite dans chaque main. Le spectacle est très excitant. La belle alterne ensuite entre masturbation et fellation.  Walter et moi passons un préservatif et Vanessa vient me chevaucher quelques minutes jusqu’à atteindre l’orgasme. Elle passe ensuite sur Walter. Au moment où elle va jouir une nouvelle fois, je lui fais un clin d’œil et l’invite à revenir sur moi. Elle s’exécute après être parvenue au septième ciel. Walter grogne en riant.
— Vanessa, tu penses qu’on peut venir tous les deux dans ton vagin ?Du coin de l’œil, j’aperçois les yeux hallucinés de Walter et je me retiens de ne pas rire. Les yeux de Vanessa répondent avant elle.— On peut essayer.Je m’allonge sur le lit, Vanessa est couchée sur moi, les jambes repliées, et je me retire légèrement de son vagin. Walter se place à genoux derrière elle. Le contact de son sexe contre le mien me surprend désagréablement quand bien même nous avons tous deux des préservatifs. Vanessa glisse sa main entre ses jambes et tient nos sexes en reculant les hanches. Elle gémit, réoriente plusieurs fois son bassin, mais parvient à nous introduire en elle. Face à moi, son visage est celui d’une femme déterminée. Elle va d’avant en arrière pour s’empaler sur nos deux bites. La mienne glisse ensuite à l’extérieur et je laisse Walter seul en levrette pendant que je roule des pelles à Vanessa.
Walter se retire ensuite. Il s’allonge à nouveau à côté et dit à Vanessa :— Tu voulais demander quelque chose à Florent tout à l’heure.Je regarde mon pote en fronçant les sourcils. Que veut-il dire ? Vanessa est toujours à califourchon sur moi et je la vois rougir. Elle sourit et dit :— Ben… Tout à l’heure, Walter et moi avons fait l’amour et à la fin, on a essayé de… il est heu… il est venu derrière.Ok, je vois. Mais je fais celui qui ne comprend pas.— Comment ça ? Comme maintenant ?Vanessa est toujours plus rouge.— Non, non, pas comme ça ! Il a mis ses doigts… et heu… avant… puis du truc… et puis son sexe…Je l’interrompt.— Je ne comprends rien.— Dans mes fesses.Je souris.— Il t’a sodomisée ?— Oui.Walter intervient.— C’était la première fois, on a juste essayé.Je m’adresse à Vanessa.— Tu as aimé ?— Oui, mais c’était un peu douloureux.— Et donc, tu devais me demander quelque chose ?Vanessa sourit, gênée comme pas possible.— En fait, Walter m’a dit que tu es… enfin, disons que tu as plus l’habitude que lui de le faire.
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