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L'étalon ultime

Chapitre 2

Hétéro
19 février :
     Le réveil sonna à 7h00. Léo n’avait pas eu le temps de récupérer entièrement mais l’excitation de son nouveau corps compensait largement le manque de sommeil. Il n’aurait même pas besoin de caféine. D’ailleurs tout allait pour le mieux au niveau de son entrejambe ; le mât était hissé. Le jeune étalon contempla plusieurs minutes son phallus qu’il trouvait parfait. Il ne se lassait décidément pas de ce spectacle. Il en profita pour caresser ces pectoraux et ses abdominaux proéminents et fermes. Cette sensation de force dans les muscles décuplait son plaisir. Il entreprit d’apprendre à se masturber à deux mains, mais la gauche était décidément moins experte que la droite.
     Pas de temps à perdre, les cours sont pour bientôt. Cette érection du matin ne voudrait toutefois pas se calmer, et Léo décida de se finir sous la douche. La main droite astiquait la bête, la gauche caressait les pecs et abdos. Pour la première fois, il sentait l’eau ruisseler dans des endroits particuliers de son anatomie, canalisée par le relief de sa musculature. Cela fit comme l’effet d’un massage et accéléra l’orgasme. Cette fois encore, il laissa échapper un râle tellement la jouissance atteignait des sommets. C’était sans nul doute le plus bel orgasme de sa vie, encore meilleur que le dernier de la veille. De puissantes giclées s’écrasèrent sur la paroi vitrée de la douche. Il ne les compta pas, mais il lui semblait en avoir expulsées une bonne dizaine, d’intensité décroissante. Tandis que le fluide viril s’écoulait le long de la vitre, il acheva sa toilette et se sécha.
     Il jeta un coup d’œil à l’heure. Putain, 7h40 ! Sa fascination pour son nouveau corps lui avait fait perdre la notion du temps. L’université était à côté mais il ne pourrait pas déjeuner. Et la faim le tenaillait. Il ouvrit son frigo et vida la bouteille de lait entier. D’une traite. Il n’était pas habitué à boire du lait sans céréales ou café, mais tant pis. Cela passait plutôt bien. Il enfila son jean avec plus de difficulté qu’à l’accoutumé, à cause de ses jambes forcies, et le paquet n’était pas très à l’aise, un peu trop tassé. Il plaça son membre sur le côté de son slip, ajusta bien les testicules et ferma les boutons. Ce n’était pas encore top. Et on voyait une légère déformation en haut de la cuisse gauche. Hé hé ! Il espéra que le maximum de filles le remarquât. Il enfila son T-shirt et sweat, qui lui collait plus à la peau maintenant. Il s’amusa à plier le bras droit pour voir la bosse de son biceps. Le tissu était vraiment serré, mais le relief ne rendait pas bien. Peu importe, ça ira mieux à l’arrivée des beaux jours. Il appréciait ce sentiment de vêtement étriqué, ça lui donnait l’impression d’être passé à un stade supérieur. Ce qui n’était pas faux.
     Pendant toute la matinée, il fit bien attention d’observer les réactions de ses camarades pour y déceler de l’étonnement ou de l’admiration. Rien de particulier ne lui sauta aux yeux. Et Angélique était toujours aussi indifférente. Il reporta la faute sur ses vêtements d’hiver qui camouflaient ses formes. L’attente du beau temps allait être longue. A la cafétéria, il déjeuna avec Ben, l’élève de sa classe avec lequel il était le plus proche. Il tâta le terrain :— Tu ne remarques rien ?— Hum, tu as changé de coupe ?— J’ai commencé la gym il y a un mois, et hier soir j’avais l’impression de voir les premiers résultats. — Oui, maintenant que tu le dis, tu es plus gonflé. Je pensais que c’était dû aux vêtements. Ecoute, tant mieux pour toi.
     Ses soupçons étaient donc fondés. Les vêtements étaient en cause. J-30 avant l’arrivée du printemps. Peut-être moins, par chance. L’après-midi parut tout aussi long à Léo, pressé de caresser à nouveau son corps et sa splendide verge. D’ailleurs celle-ci commençait à gonfler dangereusement. Ses couilles s’étaient-elles déjà remplies en si peu de temps ? La pression du jean sur son pénis en cours d’inflation ne fit qu’augmenter la sensation d’excitation. L’étudiant jeta un coup d’œil discret à son entrejambe. La vache, sa bite avait dépassé du slip et marquait un beau relief, plaquée le long de la cuisse gauche. Bien que gênante, cette vision l’excita davantage et son engin était maintenant entièrement bandé. Il était hors de question de se lever comme ça. Et la fin du cours approchait. Il essaierait de baisser au plus bas son pull, ou même de porter devant lui son sac. Le hic, c’est qu’il sentait du liquide préséminal commencer à perler de son gland. A ce rythme, à la fin du cours, une tâche serait bien visible. La honte suprême.
     Il fallait se vider dans les toilettes. Il leva la main pour demander la permission de sortir. Etant au premier rang, il fit attention de ne pas se retourner vers les autres et marcha le plus naturellement du monde vers les WC. Il s’enferma dans une cabine et commença la besogne. Il se branla de toutes ses forces en pensant à Angélique. Elle, allongée nue sur son lit, les cuisses écartées. Lui, nu également, lui enfilant d’un coup son membre jusqu’au bout, puis entamant des coups de reins de plus en plus rapides et intenses. Angélique gémissait de plaisir, le regard ailleurs, les mains baladeuses sur son torse viril. Oui, la piner, putain. Lui mettre cher. Sa chatte dégoulinant de cyprine et rougeoyant sous l’action de ce phallus endiablé… La sauce sortit avec force et éclaboussa le dossier du siège. Six ou sept jets. Cette fois, Léo avait bien fait attention de maîtriser sa voix et n’avait laissé échapper qu’un grognement de bête. Moins de 3 minutes étaient passées. Parfait, rien de louche. Il retourna en classe mais ses pensées étaient ailleurs. Il avait eu deux puissants orgasmes la même journée, laquelle n’était pas encore terminée. « Je suis une putain de machine à baiser » pensa-t-il, satisfait. Il avait hâte de tester ses performances sur quelqu’un. Le plus tôt serait le mieux.
     Les cours s’achevèrent et Léo rentra dans son appart étudiant. Il se dessapa pour admirer encore et encore sa musculature. Mais le bilan de cette journée était en deçà de ses espérances. Seul point positif, de superbes orgasmes. Puis il réfléchit : il était puceau et sa seule connaissance de la sexualité était les films pornos. Pas très brillant. Plutôt que de « se faire la main » sur Angélique, et surtout le temps de se la mettre dans la poche, il devrait d’abord se perfectionner sur une personne plus… facile. Une prostituée ? Il en avait aperçu dans le petit bois, des colombes défraichies qui ont dû en voir des vertes et des pas mûres, littéralement. Beurk. Draguer en boîte ? Ce n’était pas son truc. Il détestait la musique forte et danser. Mais c’est rempli de minettes en chaleur, et qui n’attendent que de se faire prendre dans les toilettes. On était vendredi soir, et il opta donc pour cette solution. Sa verge commença à enfler à l’idée de pénétrer bientôt un vagin. « Du calme la grande » pensa-t-il, de plus en plus excité par cette soirée improvisée.
     Il contacta ses quelques connaissances susceptibles d’accepter de sortir. La plupart allait rentrer chez leurs parents, et d’autres ne voulaient pas. Tant pis, il tâcherait de se débrouiller seul. Il choisit des vêtements corrects qui mettaient bien en valeur sa silhouette athlétique – de toute façon, tous étaient devenus assez moulants, à l’exception de quelques T-shirts. Et un jean bleu foncé, un peu plus serré que celui de la journée, qui faisait encore plus ressortir son chibre.
     Léo entra sans difficultés au Moonlight, juste avant la prise de poste du videur. Il s’assit au bar et commanda un whisky coca. Il le sirota paisiblement en guettant les va-et-vient des ravissantes gazelles, tel un prédateur attendant le bon moment. La musique commença à s’amplifier, à son grand dam, et il décida de passer à l’offensive avant d’avoir à hurler pour se faire comprendre. Il s’installa sur un canapé et écarta les genoux pour exhiber ses parties. Quelques regards s’attardèrent sur lui. Il essaya d’adopter une position de mâle dominant pour mettre en confiance sa future conquête, mais tout ce qu’il récolta fut un garçon qui s’assit à côté de lui avec un large sourire. Hé merde ! Un homo. Ce type est beau gosse, c’est vrai, mais Léo veut de la chatte, pas de l’anus. Il lui fait gentiment comprendre qu’il n’est pas de cette partie, mais quelque part flatté de l’attention portée, il voulut le récompenser suggérant son érection naissante le long de sa cuisse. Le jeune homosexuel écarquilla les yeux, avide de désir. Oups, ce n’était peut-être pas une bonne idée de l’avoir chauffé. D’autant que ça ressemblait plus à un signal d’ouverture possible.
     Léo changea de stratégie et se leva pour aller danser. Dieu qu’il se sentait ridicule à gesticuler, mais la récompense à la clé en valait la peine. Une jeune brune, fine et élégante, dansait juste à côté, visiblement seule. Il l’a trouva à son goût et commença à lui tourner autour. N’étant visiblement pas farouche, il se rapprocha jusqu’à se frotter contre elle. Et elle de continuer de danser de façon plus lascive. Tous les signaux étaient au vert. Et sa queue de sérieusement gonfler. Ce jean serré commençait à être très inconfortable. Les spotlights et la lumière basse ne permettaient pas de bien voir cette bosse obscène, mais la fille l’effleura plus ou moins accidentellement de la main, puis baissa la tête tout en continuant à danser, histoire de vérifier de ses propres yeux. Son sourire s’agrandit. C’est qu’elle avait l’air gourmande ! Peu après, elle attrapa Léo par la main et l’emmena aux toilettes. Bingo !
     L’érection était devenue maximale, et la gêne avec. Le jeune étalon n’avait qu’une envie : de libérer la bête et pénétrer cette chatte. Ils entrèrent discrètement dans une cabine des toilettes homme. Léo l’embrassa fougueusement tout en commençant à retirer son jean. La fille caressa l’objet du désir qui jaillit du slip comme un diable. Elle le tâta pour se rendre compte de sa taille sans le regarder. Du liquide préséminal suinta. Léo se montra entreprenant et commença à vouloir soulever sa robe. La fille protesta fébrilement, lui indiquant ne vouloir que le sucer. L’allumeuse ! Il recula pour bien lui faire admirer l’engin et lui promit qu’elle allait prendre son pied comme jamais, vite fait bien fait. Il remonta d’ailleurs un peu plus haut son pull pour découvrir sa tablette de chocolat, histoire de l’avoir totalement sous le charme. Et ça fonctionna. Il enfila un préservatif pas très habilement, écarta sa culotte, repéra avec les doigts l’entrée déjà bien mouillée, puis enfonça son pieu doucement. Quand il fut bien au fond, il commença les va-et-vient. La fille, dont il ne connaissait même pas le nom, se mordait la lèvre inférieure mais n’émettait pas de bruit. Elle gardait la tête en arrière contre la porte, les yeux fermés. Ce mutisme agaça rapidement le jeune homme qui voulait l’entendre couiner. Il accéléra les coups de rein. Toujours rien. Il remua tout en pénétrant, histoire de stimuler au maximum le clitoris. Elle soupira fortement, mais restait discrète. Il savait que des mecs se trouvaient à côté et il voulait les impressionner en la faisant hurler. Les bruits de ses couilles contre ses cuisses et le bruit de succion étaient couverts par la musique en fond, alors des cris féminins seraient la seule preuve d’une performance remarquable. Il redoubla de vigueur et la fille lâcha enfin un seul « Ooooh ! », mais visiblement elle avait de l’expérience et savait se retenir. La pute, elle résiste. L’étalon voulut aller encore plus loin mais ce labourage en règle eut raison de lui avant et il envoya la purée. Cette fois c’est lui qui gémit en blottissant sa tête contre se seins.
      Il se retira et constata avec stupéfaction qu’il ne voyait plus une partie de son pénis, noyé dans son propre sperme. Le réservoir était évidemment plein et le reste de semence s’était faufilé jusqu’à la moitié de la capote. La fille ouvrit en grand les yeux quand elle vit ça. C’était visiblement une première pour elle. Tant mieux, il était arrivé à l’impressionner, cette frigide. Il jeta tout ça dans la cuvette, se rhabilla, l’embrassa une dernière fois et lui dit : « Tu vois, je t’avais pas menti ». A cet instant il scruta le moindre détail de son expression faciale pour lire le verdict. Elle esquissa un sourire et se contenta d’un « oui ». Léo ne laissa rien paraître mais fut profondément déçu. Il s’attendait à être adulé en dieu de la baise. Finalement il n’était qu’un coup comme un autre dans les chiottes. Mais qui au moins jutait un paquet de foutre. La fille sortit, suivie de Léo. A cet instant il le vit, l’homo de tout à l’heure, accoudé à l’évier, qui l’observait. « Merde, cette pédale risque de pas me lâcher », pensa le Casanova. Il avait pourtant déjà testé des vidéos gays sur le net, et l’excitation était au rendez-vous. Mais il n’alla jamais plus loin, de peur de devenir totalement homo. « Les chattes, rien que les chattes », se martela-t-il en sortant de la boîte.
     Sur le chemin de sa voiture, il fit le bilan. Il lui semblait avoir tout donné, et pour une première fois, c’était énorme. La quantité phénoménale de vidéos vues sur le net lui avait remarquablement bien appris la chose. Il aurait voulu quelque chose de plus romantique, mais il n’avait pas le temps, se convainquit-il. Par contre la fille semblait presque blasée. Etait-ce à cause de lui ? Pas assez tonique ? Pourtant ses nouveaux muscles lui donnaient une endurance inédite. Avait-elle vu passer d’autres queues, encore plus grosses ? Lui fallait-il des concombres pour hurler de plaisir ? Putain, 20 cm c’est bien. Déjà que ça serre, faut-il monter plus haut ? Bah, la nuit porte conseil. Léo rentra chez lui, vidé – c’est le cas de le dire –, se dénuda et se coucha sans manière.
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