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Etat des lieux

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Aujourd’hui, dernier jour de déménagement.
Nous sommes éreintés, mais entrevoyons le bout du tunnel, les cartons remplaçant les photos et cadres au mur, notre paysage quotidien se remplit chaque jour de nouvelles boîtes.Dernier pique-nique... (Je n’en peux plus de ce régime sur le pouce)Encore une journée, à trier, épousseter, emballer. Les pièces à vider se comptent à rebours, et nos forces avec...

Enfin nous y sommes, les tapis roulés, les rideaux décrochés, ... on embarque tout, le dernier coup de propre, ce sera pour plus tard.Le coffre rempli et fermé, c’est le soulagement qui prédomine désormais. On a bien mérité notre dernier "repas" au fast-food du coin qui satisfait autant Eric qu’il déçoit ma ligne. Heureusement qu’un déménagement est physique, çà compense... Quoi qu’il en soit, se remplir l’estomac fait du bien, ce genre de pause est toujours salutaire.

Sur le chemin du retour vers la voiture, bras dessus/bras dessous, nous réalisons seulement l’échéance, et le dernier trajet que nous nous apprêtons à effectuer. La nostalgie flotte dans l’air... Nous décidons alors de venir passer un dernier moment dans "nos" murs. Les souvenirs ressurgissent, les bons moments passés ici ou là. Eric me serre dans ses bras, je me love contre lui, et nous nous embrassons.Je le sens qui s’enhardit au travers du jean, est-ce l’émotion ? Toujours est-il que je nous imagine bien honorer les lieux avant de rendre les clés (comme nous les avions baptisés à notre arrivée).L’idée fait très rapidement son chemin, et ma main fait le sien jusqu’à l’entre-jambes d’Eric. Lui-même glisse ses mains sous mon gilet, déposant ses doigts doucement sur le bas du dos, me serrant contre lui. Son souffle s’accélère dans le creux de mon oreille et de mon cou, alors que le bout de son gland tente de s’échapper au gré de mes caresses. Il me retire alors mon gilet et mon t-shirt sans plus de manières, dévoilant ma lingerie malgré le vis-à-vis relatif des HLM situés à 500m de là (mais vis-à-vis tout de même). D’un bras, il me colle à lui, et sa main libre prend alors ses aises sur ma poitrine. Passant et repassant d’un sein à l’autre, il découvre l’un après l’autre mes tétons pour les embrasser.
En l’absence de meubles autour de nous, chacun de nos gestes semble tout à coup si bruyant, à croire que tout le palier nous entend (?).
Il prend désormais l’initiative, et ses mains se promènent partout sur moi, titillant la fermeture éclair de mon jean, qui ne fait pas long feu face à ses passages répétés. Alors qu’il m’enlève mon pantalon, je m’aperçois dans le reflet de nos fenêtres sans rideau, et frissonne autant par la fraîcheur de l’air que du spectacle offert : à demi-nue, éclairée par les seuls lampadaires du dehors.
Le risque d’être vus semble minime, aussi je le laisse faire, me prendre dans ses bras, m’embrasser le cou, et laisser libre cours à ses mains chaudes sur mes seins qui n’attendaient que çà.Je commence à me laisser aller lorsqu’il arrive et me surprend : un stylo-laser sur le mur, puis sur nous !Je préviens Eric, qui marque un temps d’arrêt... très court. Il ne me laisse pas cogiter bien longtemps : il amène sa main droite sous ma culotte, suivie du laser.
Eric aime me voir enlever le haut à la plage. Fier de ma plastique, il apprécie me faire sentir comme un trophée à l’occasion (le monokini devrait d’ailleurs être obligatoire pour toutes les jeunes filles timides), mais là ... c’est tout autre chose. Je devrais paniquer, être refroidie, sauf que ... se savoir désirée est toujours flatteur et plaisant.Difficile de nier quoi que ce soit sur le coup, avec sa main qui prend la température, je n’ai d’autre choix que de le laisser faire. Le temps fait son œuvre, et la surprise fait place à un émoi assez particulier de gêne, et de plaisir de transgression. Mon amour m’accompagne, me complimente, me fait me sentir belle, bref je cède.
Face à cette barre d’immeubles aux fenêtres éteintes, impossible de savoir derrière laquelle se trouve le voyeur (ou la voyeuse ?).Cette part de mystère et le laser insistant décuplent mon trouble et mon plaisir, pour celui d’Eric.
Je me lance alors, et me retourne face à mon homme aux yeux brillants. Je pose mes mains sur son torse, soulève sa chemise, lui embrasse la poitrine, les tétons, et défait sa ceinture.Je m’agenouille, en lui baissant à la fois le caleçon et le jean. Je m’avance vers son sexe déjà bien tendu, le hume, les mains posées sur ses fesses. J’ai hâte, mais me force à prendre mon temps, le faire languir. Je l’attire vers moi, et dépose des baisers tout du long.Pour éviter qu’Eric ne s’impatiente trop, je le prends en bouche d’un coup, et profondément. D’une main, je lui caresse les fesses, du bord de l’anus, je reviens à ses bourses. De l’autre, je le caresse, alternant d’avec mon œuvre labiale. Eric grogne, souffle fort, bref il apprécie. Je joue le jeu pour lui, dégrafe mon soutien-gorge, et me caresse les seins d’une main. J’évite toutefois de regarder le laser, afin de rester concentrée et appliquée. Je reste ainsi à apprécier le "jeu" en quelque sorte, et m’interroger jusqu’où nous pousserons le vice.
Nous sommes tous les 2 tendus et excités, et un coup d’œil suffit pour nous décider.Je me lève alors, me retourne vers les fenêtres pour y voir notre reflet accompagné du laser inquisiteur, et tenter de deviner son origine, sans succès bien sûr.(à moins que cette lueur, comme celle d’une cigarette ?...)
Eric se penche sur moi, me tient par les hanches, et enlève ma culotte.Il me tourne alors et m’oriente face à la vitre, en faisant bien attention à rester à mes côtés, et me rendre la plus exposée possible. Il m’embrasse goulument, me caresse le ventre, les cuisses, l’intérieur des cuisses que j’écarte de plus en plus, et bientôt les lèvres... Je me sens toute ouverte, moite, ruisselante même.Il en profite alors pour me glisser un doigt, puis deux. Ce mélange de gêne, pudeur et de plaisir commence à me couper les jambes, je ne tiens plus.
Le moment de vérité, on y est. Je recule dos au mur, et tient Eric par le cou. Il m’attrape les jambes une par une, mes cuisses tenues par ses mains puissantes, me prend sur place (et me coupe le souffle), son regard ne quittant jamais le mien.Mes jambes serrées autour de lui, je vois le laser sur ma poitrine. Eric aussi, et me sourit. Je prends mon sein d’une main, me lèche le téton, bref je joue le jeu de la provoc à fond.
Je me détache, pose mes mains sur le mur, et offre mes fesses cambrées à mon amour.Eric m’attrape par les hanches, et je sens son membre faire son chemin. Il ne tarde pas à trouver la porte (grande) ouverte, et entrer enfin.Je réalise à peine la situation, nue face à toute une barre d’immeubles, à me faire prendre vulgairement. J’oublie totalement le laser, et accompagne le va-et-vient d’un mouvement de bassin avant/arrière. Nous sommes tous les 2 plus qu’échaudés, et j’entends alors des mots crus à mon oreille alors que je sens l’orgasme monter.Je me retiens de crier, et lâcher les chevaux, à cause des voisins encore présents et peut-être sur le palier, mais ne peux contenir des gémissements, ultimes manifestations du grand frisson qui me traverse et me transcende. Eric me maintient en haut de la crête à mesure qu’il arrive lui-même à échéance.
Je me positionne alors accroupie face à lui, jambes écartées, qu’il se déverse sur moi.Mon clitoris encore très sensible, je me contente de me caresser les lèvres, et d’insérer deux doigts à l’occasion.Je lui offre ma poitrine, comme dernier choix d’exhibition, et obtient satisfaction peu de temps après. J’étale sur mes seins son hommage, et viens lécher l’ultime goutte qui perle encore au bout de son gland endolori.
Vidés, nous nous asseyons contre le mur, à reprendre nos esprits. Notre voyeur se manifeste d’une énième visite sur ma poitrine encore gonflée de désir.Je lance donc un baiser à l’aveuglette vers la fenêtre, laquelle me renvoie... un flash !
La surprise nous ramène à la réalité, et nous éclipsons pour de bon.
Sur le chemin du retour, l’ambiance est encore chaude et électrique dans la voiture, à l’idée de notre vie nouvelle et des nouveaux jeux que nous pourrions développer.Comment seront d’ailleurs nos nouveaux voisins ? Seront-ils discrets, voyeurs voire... lecteurs ?
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