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été 2017, les vacances qui ont bouleversé ma vie

Chapitre 5

Inceste
J’ai l’autorisation de Brandi pour aller plus loin. Mais je crains de ne pas être à la hauteur. Ma marraine est une femme avec de l’expérience et j’ai peur de la décevoir. Devant son sourire encourageant je me lance. Je me concentre pour savourer l’instant. Brandi a fermé les yeux. Je regarde son doux visage, elle a l’air calme dans l’attente de son plaisir. Plus bas, je vois sa superbe poitrine dont les tétons bien durs pointent vers moi. Encore plus bas son ventre puis sa petite chatte dans laquelle mon pénis est glissé. Nous sommes dans l’obscurité. C’est entre Brandi et moi. Je commence un va-et-vient.
Je commence doucement et je vais de plus en plus vite. J’essaie de trouver un rythme acceptable tandis que le plaisir monte et que mon excitation grimpe en flèche. Mes mains sont posées de chaque côté des épaules de Brandi et je me tiens en équilibre sur les bras tout en essayant de donner des coups de reins réguliers. Le corps de ma marraine est secoué à chacune des pénétrations de mon sexe. Ses seins, notamment, vibrent et roulent en cadence. Cette vision m’excite terriblement de même que le visage de ma marraine qui a gardé les yeux fermés mais qui respire désormais par la bouche, plus rapidement et plus fort.
La sensation autour de mon sexe est délicieuse et le plaisir irradie dans tout mon corps. Je sens que Brandi augmente son plaisir et le mien grâce à son périnée, il m’enserre le sexe. Mais je fatigue vite… Mon corps se tend, mes bras tétanisent. Sans réfléchir, j’accélère comme pour jouir le plus vite possible avant que mes muscles fatigués ne me lâchent. Je vois Brandi ouvrir les yeux, je l’entends me dire :
— Contrôle, contrôle !
Mais je n’arrive pas à ralentir. Mon plaisir augmente à chaque coup de rein et j’ai l’impression de ne plus être maître de mes mouvements. Mon pénis rentre et sort de la chatte de ma marraine à un rythme effréné. Le plaisir monte toujours plus haut quand soudain… Je pousse un « Mmmmmhh » de soulagement tandis que je sens des jets de sperme sortir de mon pénis et remplir le vagin de Brandi. Le plaisir est intense, intense comme jamais. Et mes bras fatigués se dérobent sous moi et je m’effondre sur le corps de ma marraine.
Ma respiration est sifflante. Contre mon torse, je sens les seins de Brandi. Mon pénis a bien ramolli maintenant mais il est encore en elle. Je viens de prendre mon pied comme jamais. Mais j’ai l’impression d’avoir mal agi vis-à-vis de ma marraine. Je me suis complètement laissé aller à mes pulsions et j’ai honte. Je n’ose pas la regarder en face. Ses lèvres se collent aux miennes et m’embrassent, me prouvant qu’elle n’est pas fâchée. Ça me rassure. Je donne un coup de rein pour faire sortir mon pénis de sa chatte. Celui-ci, mou et trempé de sperme vient frotter contre les jambes de Brandi. Cette dernière passe ses mains derrière mon dos et me caresse.
— Désolé… d’avoir joui à l’intérieur… Balbutié-je.
— Ce n’est pas grave, et je ne voulais pas qu’il en soit autrement pour ta première fois. Mais il faut que tu te retiennes pour que l’acte dure plus longtemps, sinon ta partenaire ne prendra pas suffisamment de plaisir pour atteindre l’orgasme.
— Je comprends… Réponds-je d’un air penaud.
— Je vais t’apprendre.
Je suis extrêmement reconnaissant envers elle. Non seulement elle ne me tient pas rigueur pour mon emportement mais en plus elle veut m’aider à progresser. Je lui dépose des petits baisers dans le cou qui la font sourire.
— Il faut que tu arrives à contrôler ton excitation pour retarder l’éjaculation. C’est comme quand tu te branles et que tu veux faire durer le plaisir, soit tu arrêtes tes mouvements pendant quelques secondes, soit tu penses à autre chose.
— J’aimerais réessayer. Lui dis-je.

— Mais bien sûr que tu va réessayer !
Ses mots suffisent à me redonner de la vigueur et je laisse mon sexe aux bons soins de Brandi qui, avec sa main valide, lui redonne sa taille maximale. Je me remets en position au dessus de ma marraine. Elle a de nouveau les yeux fermés. Mon gland est à l’entrée de sa fente. Avec un coup de rein, j’enfonce mon pénis d’un seul coup et en entier. Brandi pousse un petit cri de surprise mais je pense que ça lui a plu parce qu’elle sourit. Je reprends mon va-et-vient au même rythme que la fois précédente en essayant de rester le plus doux possible et quand je sens le plaisir monter, je ralentis.
— Vas y plus fort !
Je l’écoute et intensifie mes va et vient.
— Vas y plus fort allez !
Elle m’encourage à y aller encore plus fort. Ce que je fais. J’accélère mes mouvements de bassin et mes va et vient.
Je me redresse et mets mes mains sur ses hanches pour la tenir et aller toujours plus fort. Ainsi, je vois mon sexe aller et venir dans le sien, et ça me donne une idée. Ma main vient se placer pour lui titiller le clitoris pendant la pénétration.
— Oh,Yess, c’est bon…
J’ai ralenti un peu mais au bout d’un moment, même ralentir ne suffit plus alors je suis les conseils de Brandi et je sors mon sexe de sa chatte pendant quelques instants pour faire redescendre mon excitation. Après cette pause, quand j’y retourne, j’ai l’impression que mon pénis est encore plus dur et les sensations sont encore plus intenses.
A nouveau, j’oublie de réfléchir et j’agis par instinct : je fais des mouvements de hanches les plus amples possibles. Les sensations autour de mon pénis sont de plus en plus fortes et se propagent dans tout mon corps. Je sais que je ne vais pas pouvoir m’arrêter. Alors je pose une main sur les seins de Brandi que je caresse doucement. Je donne quelques coups de reins et au moment où j’enfonce mon pénis dans son vagin, je jouis à nouveau en elle, moins abondamment que la première fois mais tout aussi intensément.A nouveau, je bredouille des excuses. Mais Brandi me rassure :
— Ne t’en fais pas, tu t’es bien débrouillé pour ta première fois. Et tu as tenu plus longtemps cette fois-ci. Et tu m’as donné plus de plaisir.— Mais j’ai encore… Tu n’as pas joui — Je t’ai dit de ne pas t’en faire. Allez, prends-moi dans tes bras !
Brandi et moi nous nous allongeons sur le flanc, face à face sur le lit. Son corps nu se détache du décor en nuances de gris dans l’obscurité. Je passe un bras par-dessus ses épaules pour la serrer contre moi puis je caresse son dos en suivant sa colonne vertébrale jusqu’à ses fesses. Avec mon autre main, je caresse ses seins du bout des doigts. De temps en temps, je dépose des petits baisers sur son visage et au creux de son cou. Au fil du temps, mon pénis retrouve son état excité. Je le sens se redresser et venir frotter contre le bas ventre de ma marraine.
— On dirait que tu es à nouveau d’attaque. Me dit Brandi.
Puis elle ajoute :
— Tiens, comme tu as bien progressé, tu as mérité une petite gâterie. Assieds-toi sur mon ventre.
Je m’exécute et je me pose sur le ventre de Brandi, un genou de chaque côté. Avec ses mains, elle glisse ma bite entre ses seins pour une branlette espagnole. Elle la frotte avec sa grosse poitrine tandis que de mon côté, je donne des petits coups de bassin presque par réflexe. J’ai le sexe en feu et chaque aller-retour me fait presque mal tout en libérant une onde de plaisir.
— Ça arrive ! Dis-je à Brandi pour la prévenir.
Elle accélère le rythme de ses caresses avec ses seins et voilà que pour la quatrième fois ce soir, je jouis. Mais ce ne sont que quelques gouttes qui tombent sur le cou de Brandi. Rien à voir avec les quantités que j’avais éjaculées plus tôt.
— Tu t’étais complètement vidé à l’intérieur. Me dit Brandi en souriant. Reste, tu dors avec moi cette nuit.
Elle se met dos à moi comme pour me faire comprendre qu’elle veut dormir. Moi aussi je suis exténué et veux dormir. Je me place alors contre elle, mon sexe entre ses fesses et j’ose placer ma main sur son sein droit.
Nous nous endormons de cette façon-là.
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