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été 2017, les vacances qui ont bouleversé ma vie

Chapitre 6

Inceste
Le lendemain matin, je me fais réveiller par les rayons du soleil matinal qui traversent la fenêtre mi-close. Je lève la tête et m’aperçois que ma marraine et moi, sommes restés dans la même position toute la nuit.Le drap nous couvre juste les pieds, j’ai toujours une main sur ses seins.Je me rends compte de la gaule énorme que j’ai, naturellement le matin c’est inévitable. Mais du fait de la présence de ma marraine, collée contre moi, je suis très excité. Habituellement, je me serais branlé, mais là, je n’ose pas bouger.
Evidement j’ai envie de remuer mon bassin de haut en bas pour frotter mon sexe entre ses fesses. Evidement j’ai envie de doucement descendre ma main de ses seins vers sa vulve et commencer à jouer avec son clitoris. Evidement j’ai envie qu’elle se réveille et se mette à onduler ses fesses sur mon pénis. Evidement j’ai envie de prendre mon pénis en main et l’enfoncer au plus profond d’elle. Mais je reste comme ça, mon sexe droit comme un i entre les fesses de Brandi. Rien que ça suffit à mon bonheur.
Les minutes passent, ou les heures, je ne saurais dire. Je sens Brandi bouger, elle ondule, ce qui a pour effet de venir encore plus accroître la pression de ses fesses contre mon sexe, toujours aussi dur.
— hum je m’attendais bien à ça.
Brandi est bien réveillée, elle se retourne, me fait le plus beau des sourires
— Bonjour, bien dormi ?
— Oui merci.
— On va prendre une douche, ça nous fera du bien.
Brandi se lève, met son apple watch au poignet. Elle est là debout, nue à côté de moi. J’ai le regard levé sur ce corps magnifique, c’est la première fois que je la vois sous cet angle.
— Viens, ça va nous faire du bien. Fait-elle.
Elle me prend par la main et m’attire vers la salle de bain. Nous montons dans la douche, Brandi me tend un savon
— Vas-y, badigeonne-moi de savon.

Je tartine son corps de mousse. Après les événement d’hier soir, ce petit rituel éveille en moi encore plus de désir, que je sais maintenant possible d’assouvir. Mon sexe, toujours dur depuis maintenant un bon moment, commence à me faire mal. Brandi le remarque et pose la main sur moi.
— Prêt pour une nouvelle épreuve ?
— Oui, quelles sont les instructions chef ?
— On va travailler ton endurance. Je vais te branler, et tu dois tenir plus de 10 minutes. Si tu échoues ce n’est pas grave, on recommencera plus tard. Mais tu n’auras rien de plus qu’une masturbation, alors que si tu réussis…
Quand je suis seul, j’ai l’habitude de me masturber sur des périodes bien plus longues que 10 minutes, ce sera un jeu d’enfant de résister. Je commence déjà à penser à la suite, tout en jubilant à l’idée de me faire masturber par ma marraine.Soudain Brandi déclenche un chrono sur sa montre, et entame un mouvement de va-et-vient terriblement agréable sur mon pénis surgonflé. L’épreuve s’avère déjà plus difficile que prévu…
C’est donc parti pour une séance de 10 minutes durant lesquelles je devrai résister de toutes mes forces pour ne pas expulser toute ma semence sur cette coquine de Brandi, désormais ma prof particulière, qui s’applique actuellement à me prodiguer la meilleure masturbation de ma vie. Je ne suis vraiment plus sûr de pouvoir résister pendant dix minutes. Il faut dire qu’avec la vue que j’ai sur Brandi, j’ai de quoi être excité. Tout en me masturbant, elle me demande :
— Alors mon cœur, qu’est-ce que ça te fait ? Tu penses être capable de tenir 10 minutes ? Si tu n’en peux plus, préviens-moi à temps que je puisse éviter ton jet.
— C’est super agréable Brandi mais je ne suis pas sûr de tenir.
— Écoute, fais de ton mieux, ce n’est pas grave si tu lâches tout, je pourrai comprendre, et puis on réessayera plus tard.
Ça me paraît être la solution la plus rationnelle, mais j’aimerais bien épater Brandi et arriver aux étapes suivantes de ma formation le plus vite possible, alors je me concentre, et lui demande combien de temps il reste.
— Il reste encore 7 minutes, tu peux le faire !
Ça me paraît long, mais je sais que lorsque je suis seul ce n’est rien et que je suis physiquement capable de tenir.
Pendant que Brandi s’applique à la tâche d’une manière divine, je lève la tête et ferme les yeux afin de me focaliser. Si je descends mon regard, je pourrai voir ma marraine nue, maintenant agenouillée devant moi, mon sexe en main. Mais je me concentre, j’essaie de penser à des choses tristes ou qui pourraient me calmer, mais rien n’y fait.
Soudain, Brandi accélère le mouvement. Elle fait des va-et-vient de plus en plus rapides, tout en serrant ma verge de plus en plus fort. Ce n’est pourtant pas encore la fin. Les 7 minutes qu’il restait ne se sont pas écoulées ! Je sens ma semence monter de manière inéluctable, s’apprêter à jaillir d’un moment à l’autre. Brandi le fait exprès, elle veut me faire échouer l’épreuve.
Tant pis, je recommencerai plus tard. Brandi sent bien sous ses doigts que mon sexe palpite et que je vais bientôt craquer. J’ouvre la bouche afin de l’avertir pour qu’elle puisse s’écarter au moment où j’éjaculerai. Elle aussi ouvre la bouche, mais elle a l’air bien averti. Elle accélère encore son mouvement et approche sa bouche de mon gland et fait glisser mon sexe entièrement dans sa bouche. À cet instant, je craque.
Je suis secoué par un orgasme étonnement puissant, et de longues saccades de sperme jaillissent de mon pénis, pour finir… dans la bouche de Brandi. Elle qui m’avait demandé de la prévenir pour qu’elle s’écarte. La voir comme cela, la bouche pleine de ma semence, me finit, et je lâche encore deux saccades qui viennent s’écraser sur son palais. Jamais je n’ai joui de la sorte.
Je prends le temps de retrouver mes esprits, puis je demande à Brandi :
— Tu as fait exprès de me faire échouer ! Pourquoi as-tu tout pris dans ta bouche ?
Elle se relève. Elle a encore la bouche pleine. Elle me regarde dans les yeux, je me noie dans le noir de ses pupilles. Elle avale bruyamment tout le sperme qu’elle avait en bouche. Je suis comblé de plaisir, j’ai toujours rêvé de voir une fille faire cela avec ma propre semence, et non pas seulement dans un film pornographique.Pour répondre à ma question, Brandi lève son poignet, avec le chronomètre toujours enclenché sur sa montre, et me montre le temps : 22 minutes !
— Ce n’est pas possible ?
— Le temps passe vite quand on s’amuse mon Dam ! Je t’ai un peu menti sur la durée restante pour voir combien de temps encore tu pouvais tenir, et puisque tu avais l’air de pouvoir résister encore, j’ai accéléré. Tu vois, j’ai été moins patiente que toi. J’avais trop hâte de goûter ton sperme, et je voulais te féliciter d’avoir réussi haut la main. Je suis fière de toi.
— Merci Brandi. Alors, j’ai bon goût ?
— Plutôt oui ! tu as un petit goût dont je raffole.
À ces mots, elle passe sa main sur ma verge nue en train de débander, et recueille ce qu’il reste de semence, puis porte ses doigts à sa bouche. Elle avale, puis me regarde avec un grand sourire. Je crois qu’à cet instant, je suis le plus heureux du monde.
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