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l'été dernier

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cette histoire s’est déroulée l’an passé en juillet dans une île de l’Adriatique.J’avais conté dans un précédent récit: retour de plage, une aventure piquante que nous avions vécue ma femme Anne et moi.Anne, est blonde, cheveux bouclés, une très belle silhouette, élancée, une belle poitrine que ses grossesses n’ont pas vraiment abîmée.Nous avions réservé un studio face à la mer comme depuis plusieurs années. C’était un lieu magnifique, aux plages de fin gravier, presque vides. Ces moments constituent chaque année un temps de respiration pour notre couple, pris ordinairement entre des métiers à responsabilités et l’éducation des enfants.Nous attendons avec impatience le début des vacances pour laisser quelques jours notre progéniture aux grands parents, et nous évader loin de nos contraintes ordinaires.C’est le temps des baignades, des flâneries, des sorties en amoureux et aussi, souvent, d’ébats impossibles là ou nous habitons. Les lieux s’y prêtent : plages isolées, peu fréquentées, paysages grandioses.Anne sans être pudique n’aime pas non plus ordinairement trop se dénuder. Si elle le fait c’est souvent pour me faire plaisir, pour attirer mon attention, j’ai pu le décrire précédemment, dans un autre récit. C’est souvent, parce qu’à un moment, elle a envie de se « lâcher » pour le plaisir, pour montrer qu’elle peut elle aussi se montrer différente. La forcer ne mène à rien, il faut attendre son bon vouloir et savoir saisir l’occasion, l’instant ou elle veut se laisser aller.Celà s’est produit trois jours après notre arrivée. Nous revenions de la plage, et dans les lacets qui menaient vers notre logement par une route un peu détournée mais qui d’après les guides offrait un beau paysage, nous nous sommes arrêtés en bord de route au creux d’un virage. La beauté de la vue était à couper le souffle : mer d’un bleu profond, villages accrochés aux versants des montagnes, elles même en à-pic au dessus de l’eau. La route était déserte et Anne sortit de la voiture seulement vêtue de son grand paréo multicolore. Par commodité, elle avait enlevé son haut de maillot et gardé seulement la culotte qui lui servait aussi à bloquer le tissu à la taille. Elle se mit à photographier les paysages. Le vent chaud s’engouffrait sans cesse dans son vêtement, au point que celui-ci à peine tenu par l’élastique de la culotte s’échappa et qu’Anne se trouva en slip, les seins à l’air. En temps ordinaire, elle aurait sans nul doute repris le tissu pour se couvrir, mais là elle se laissa faire, occupée à admirer le panorama.J’en profitai pour la prendre en photo dans cette tenue, toujours à l’écoute pour savoir si une voiture approchait.Elle se tourna vers moi. Le soleil couchant projetait sur elle une lumière douce et dorée qui faisait ressortir son bronzage. Elle me sourit, dégrafa le paréo, l’ouvrit, et le laissa flotter derrière elle en le tenant, bras ouverts derrière elle. Elle m’invitait ainsi à la prendre, poitrine nue, cheveux au vent. Je m’empressai de profiter de cet instant. Elle me sourit puis, avec un air coquin, me dit:-Je suppose que tu aimerais encore plus sans culotte.J’acquiesçai.Elle se baissa pour descendre celle-ci et reprit la pose. Elle était entièrement nue, le sexe lisse comme à chaque été.Je l’invitai à s’asseoir sur un vieux banc, posé là pour permettre aux promeneurs d’admirer le paysage. Elle s’assit, puis elle s’adossa, bras en arrière et ouvrit ses cuisses.-Tu aimes comme çà?-Oui, bien sûr lui dis-je en continuant les prise de vues.
Le bruit lointain d’une voiture interrompit notre séance photo. Anne se couvrit et nous entrâmes dans la voiture juste au moment ou un petit camion amorçait le virage.-Rentrons nous préparer pour notre soirée en ville, j’ai envie de te plaire ce soir.-D’accord, lui dis-je. Et nous prîmes le chemin du retour.Anne enfila une robe très courte, ample comme nous aimions. Puis nous sommes allés en ville, sur le port comme souvent, pour la fraîcheur.Cependant, le malheur voulut que des connaissances avec leurs enfants nous aperçurent et nous fûmes obligés de prendre notre repas avec eux. Leur compagnie, sans être désagréable, ne convenait pas à notre projet du soir, mais il fallut s’en satisfaire et passer en revue les événements de l’année pour nos deux familles.
Ils nous proposèrent de passer la journée du lendemain avec eux. Anne se souvint à temps que nous nous étions promis d’aller visiter l’île d’à côté et insista sur le fait que nous voulions absolument voir un événement particulier, donc impossible de surseoir.Nos copains furent un peu déçus mais nous leur promîmes de les contacter d’ici à la fin des vacances. Nous rentrâmes un peu déçus, surtout moi. La soirée s’annonçait pourtant bonne avec Anne qui était si bien disposée ! Un peu moqueuse de ma déception, elle s’engagea à se rattraper le lendemain.
Dès huit heures nous prîmes le bac qui nous emmena sur l’île de Z…. distante d’à peine deux ou trois kilomètres. Ainsi, nous étions sûrs de ne pas croiser les gens de la veille.Anne portait une tunique en tissu fripé, légèrement transparente, qui lui arrivait sous les fesses, un short court et des tongs. Ses épaules étaient nues sauf la lanière qui permettait à son haut de tenir sur celles-ci.Nous débarquâmes vers 11h00. Nous prîmes très vite la route des lieux touristiques pour « voir ».En fait, nous comprîmes rapidement que cette île ne présentait pour nous que peu d’intérêt. Il s’agissait d’un lieu surtout fréquenté par les adeptes des « happy hours », qui alternaient semble-t il plage et beuveries.Nous traversâmes une avenue, qui sur plus d’un kilomètre, était bordée de boites de nuit, bars, magasins de vêtements pour touristes, souvenirs etc….Aucun intérêt pour nous. D’autant qu’à cette heure, les fêtards étaient encore au lit ou endormis sur la plage et tous ces magasins sans clients donnaient une impression un peu sinistre sous le soleil du matin.Nous nous arrêtâmes cependant pour prendre un café et pourquoi pas, faire un peu de shopping, faute de mieux.Nos flâneries nous emmenèrent dans un magasin de vêtements et de bibelots un peu orientaux, voire même kitch d’apparence.Anne qui commençait à avoir chaud voulut essayer malgré tout une robe d’été.Les vendeuses nous indiquèrent le coin des cabines sans s’occuper du tout de nous.Ma femme se déshabilla pour changer de robe. En quelques instants, ce lieu non climatisé et la chaleur extérieure, firent qu’elle était en nage.Elle dût enlever son soutien gorge pour essayer la robe suivante qui était moulante. Elle me demanda si celle-ci lui allait. Je lui répondis que oui, mais qu’avec sa culotte, cela la marquait. Il lui aurait fallu un string, encore que…Sans mot dire, elle enleva sa culotte. — Cà a l’air de m’aller, mais j’ai trop chaud, elle est trop moulante, elle me colle, ce n’est pas agréable, je préfère encore ma tunique et mon short. Peux-tu essayer de m’en trouver une autre?Je retournai vers les portants. Je passai devant les vendeuses occupées à commenter un talk show à la télé. Elles ne montraient aucun intérêt pour nous.Je revins bredouille.
— Il n’y a rien qui convienne.— Tu as été long pourtant, me dit Anne qui était nue dans la cabine.— Désolé, mais c’était soit trop près du corps, soit pas à ta taille ma chérie.— Tant pis, je vais me rhabiller avec ce que j’ai. Dis-moi, c’est quoi ces bibelots en face de la cabines? , dit-elle en fronçant les sourcils. Je m’approchai, me saisis de l’un d’entre eux et lui présentai un god de belle taille, taillé dans un bois sombre .— Ils vendent çà aussi dit-elle mi surprise, mi amusée.— Prends le, lui dis-je.Elle l’attrapa à pleine main.— C’est gros ce truc, j’en avais entendu parler, j’en avais vu en photo, mais pas encore en vrai.— Essaye le lui dis-je.— Ça va pas? — Allez, regarde, et je prends le gode pour lui titiller les bouts de seins. — Ça te fait quoi?— Je sais pas, dit-elle sans quitter l’engin des yeux.Doucement, je descends le gland en bois sur son ventre. Je caresse ses tétons avec mon autre main.— Tu es fou, si les vendeuses viennent, elles vont me voir nue comme un ver entrain de me laisser faire je ne sais quoi!.Sans mot dire, je ramène le goda sur ma bouche, y dépose un peu de salive et le présente devant son minou. Puis en embrassant Anne, j’écarte ses grandes lèvres pour exciter son sexe avec le gode. Elle est mouillée. Elle regarde sans cesse sur mon épaule pour guetter un bruit, un signe de l’arrivée des vendeuses.— Tu ne vas pas y arriver, c’est trop gros ce truc, tu te rends comptes de ce tu me fais faire?.— Aide moi, écarte toi.Anne ouvre ses jambes et pose un pied sur le tabouret. J’en profite pour, petit à petit, effectuer des va et vient à l’entrée de son sexe.Anne se laisse faire. Je la sens inquiète et excitée d’être comme çà dans une cabine d’essayage, nue avec un sexe artificiel qui la caresse.Nous entendons le pas de la vendeuse. De loin, elle nous demande si elle peut nous aider. Je rabats rapidement le rideau et lui dit que non, que ma femme se rhabille car c’est trop serré, en me mettant entre elle et le rideau. Anne me fait passer les robes inutiles et je les rends à la vendeuse qui s’éloigne.— Je te l’avais dit. On a failli se faire prendre, et en plus je suis trempée, et en nage à cause de la chaleur. — Tu pourrais pourtant alléger ta tenue si tu as chaud.— Comment?— En ne remettant que ta tunique.— Tu rigoles, on devinait déjà mon soutif et mon short à travers, alors si j’ai rien dessous, tu penses, le spectacle!— Si tu n’as rien, on croira que tu as des sous vêtements couleur chair, de plus, ta minette est épilée, donc aucune trace.— Bon, si tu veux, mais tu as vu que la tunique m’arrive en haut des cuisses, c’est une tunique un peu longue, pas une robe. Si il y a un coup de vent, c’est sur, je vais donner du spectacle!— Tu sais, ici, avec les tenues que je vois et les photos des boites, je crois que tout le monde s’en fout. C’est pas un jardin d’enfants ce coin.— Ok, j’essaye.Anne enfila sa tunique. C’est vrai qu’elle lui arrivait très haut. Tant que nous fûmes dans le magasin, la tunique resta opaque, mais lorsque nous sortîmes en plein soleil, avec un peu d’attention on pouvait distinguer les aréoles et les bouts des seins de ma femme, je croyais même deviner dans la transparence, en y faisant très attention, la fente d’Anne. En fait, un simple souffle d’air aurait pu dévoiler son anatomie, pour peu qu’il se soit glissé sous la tunique ample.— J’ai l’impression de me promener à poil. Je n’oserais jamais faire çà chez nous. J’ai l’impression que les hommes fixent mes cuisses, pour voir si j’ai quelque chose dessous.— Çà te plaît?— Cà me fait bizarre de marcher ainsi dans la rue, comme nue, car avec ce vêtement, c’est l’impression que j’ai.— Nous continuons notre « shopping ». Régulièrement, en fonction des circonstances, je caresse les fesses de ma femme, son minou en passant la main sous sa tunique.
A suivre...
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