Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 86 J'aime
  • 3 Commentaires

Étrange anniversaire

Chapitre 1

Hétéro
Alors que j’habitais en appartement avec deux de mes amis, il nous arrivait parfois d’y inviter plusieurs personnes pour faire la fête et boire de manière peu responsable. Règle générale, ces soirées s’échelonnaient souvent jusqu’aux petites heures du matin.
Pour mes 19 ans, question d’éviter les éléments indésirables qui sapent parfois l’ambiance d’une soirée, nous avions invité uniquement des personnes considérées comme mes amis. J’étais content d’avoir une réponse affirmative de la part d’un bon nombre de mes copains d’enfance et de quelques nouveaux comparses de classe. Éric, un de mes colocataires, devait s’absenter pour le week-end et léguait sa chambre à quiconque la désirait. Il s’agissait d’une généreuse attention de sa part compte tenu que nous allions être nombreux.
Vers 20h00, tout était préparé : le système de son était branché, les verres à shooter et les quelques bouteilles d’alcool fort reposaient au congélateur depuis plusieurs heures déjà et les sachets de grignotines étaient disposés de manière à être facilement accessibles. Nous n’attendions que la venue des premiers invités. Antoine, mon copain d’origine afro-américaine, arriva le premier avec sa bouteille de vodka et m’en offrit quelques gorgées alors qu’il franchissait la porte d’entrée de l’appartement. Ce grand gaillard jovial et musclé me mentionna que sa copine ne saurait tarder à se présenter.
Dominic, un de mes amis de longue date, fut le deuxième arrivé avec Mélissa, une demoiselle à peine plus âgée que moi. Je la connaissais très peu, ne l’ayant côtoyé qu’à une seule reprise, mais je dois avouer que cette étudiante en sciences de santé avait un certain charme. Relativement grande et ayant des cheveux foncés coupés assez courts, elle était fanatique de ballet et de danse contemporaine. Des yeux verts et de longs cils complémentaient agréablement son visage ovale qui lui, laissait place à cou délicat, des épaules fines, une poitrine de taille respectable (environ 85D) et des jambes assez musclées. Ce spectacle était tout même assez impressionnant à observer compte tenu de la faible présence des cellules adipeuses. Elle portait une jolie robe d’été aux teintes florales dont la longueur s’arrêtait à peu près au niveau de ses genoux, laissant entrevoir des mollets sculptés délicatement par l’exercice.
Les voir arriver ensemble à la fête signifia qu’il se passait probablement quelque chose entre eux, ce qui me fit tout de même plaisir : Dominic méritait une demoiselle intelligente et distinguée, et elle répondait bien à ces critères. Je leur fis signe d’entrer et de déposer leurs breuvages au réfrigérateur. Tout en dessinant un sourire discret, Mélissa me répondit d’un signe de tête et déposa ses quelques boissons alcoolisées à l’intérieur de la portière. Au même moment, je fus interrompu par l’arrivée d’Annie, une amie de l’école secondaire (niveau en partie équivalent au Lycée), qui était également la sœur cadette d’un de mes colocataires, Sébastien.
Alors que nous n’avions pas plus que 15 ans, Annie se démarquait déjà par la présence d’attributs féminins prononcés. Il va de soi qu’étant plus précoce physiquement que certains autres garçons de mon âge, je m’entichai rapidement d’elle et espérai entreprendre une relation. Malheureusement pour mon cas, elle n’était visiblement attirée que par des garçons beaucoup plus vieux, de l’ordre des 18 ou 19 ans, et occupant un emploi. Sans doute pouvaient-ils lui procurer de nombreux cadeaux. Après tout, je n’étais pas un garçon riche et elle semblait vouloir être en mesure de profiter du confort que la monnaie apportait.
Ce soir-là, Annie était accompagnée de son copain Mikael, un bougre rustre que je détestais. Fidèle à son habitude, Annie était resplendissante. Ses yeux couleur saphir se mariaient bien à sa longue chevelure brune et ses lèvres pulpeuses. Son t-shirt ajusté définissait à la perfection ses épaules et sa poitrine bien proportionnée (aux alentours de 90E), alors que ses jeans plaqués sur ses fortes cuisses moulaient ses fesses en un résultat plus que convainquant.
Le reste des invités ne se fit pas attendre et on célébra fortement mon anniversaire à coups de shooters et d’accolades. Ayant bu une quantité incroyable de liquide en quelques heures, je ne puis m’empêcher d’avoir envie d’uriner et de me reposer un peu. Je m’enfermai quelques instants dans la salle de bain dans l’optique de reprendre mes esprits : je devais cesser de boire si je désirais conserver un certain état de conscience.
Lorsque je sorti de la salle de bain, Sébastien se glissa entre moi et la porte et je ne me fis pas prier pour fermer cette dernière derrière moi. Son état était lamentable et je savais qu’il allait en avoir pour un bon bout de temps pour se remettre de la quantité d’alcool ingérée. Je me dirigeai alors vers ma chambre, qui était située à peine à quelques pas de là, mais en tentant de tourner la poignée, je constatai qu’elle était fermée à clé… et comble de malchance, j’y avais laissé mes clés à l’intérieur.
Désirant me reposer à un endroit plus calme et voyant une bonne dizaine de personnes danser dans la chambre à Sébastien, je me faufilai entre les quelques corps amassés près de la cuisine dans le but d’atteindre la chambre à Éric. Se faisant, Mélissa me fixa, l’air perplexe, mais je sentis qu’elle abandonna ses réflexions lorsqu’elle lut dans mon visage mon désir d’être seul.
Dès que je mis pied dans la chambre à Éric, je fus ébahit en voyant Cathy et Bianca, deux de mes collègues de classe, à genoux devant Antoine qui, maladroitement, tentait de répartir sur leur corps plusieurs giclées de foutre chaud qui s’échappaient de sa longue queue. Sursautant suite à mon arrivée, Cathy, qui était la copine d’Antoine, masqua rapidement sa petite poitrine ébène dont je n’aperçus qu’une partie de mamelon foncé, et ce, l’espace d’un instant.
Bianca fut plus modérée dans sa réaction, retirant d’une main le peu de sperme qui avait atteint ses seins et me saluant de l’autre main. Belle Mulâtre, elle avait une jolie poitrine ferme de petite taille (85B) et ses mamelons déployés témoignaient du plaisir qu’elle avait eu à traire le gland du grand Antoine. Elle était quand même relativement mince et ainsi dans son plus simple appareil, elle me faisait étrangement de l’effet alors qu’auparavant, je la trouvais simplement jolie et agréable à côtoyer. Pour la première fois, j’eue plusieurs pensées obscènes envers elle, mais comme pour me freiner dans mes envies, ma nausée prit le dessus, embrumant mes idées.
Cathy, qui avait pour sa part reçue la plus grande quantité de sperme, n’avait pas bougée depuis à mon arrivé. Alors que le liquide s’écoulait tranquillement le long de son visage, j’entrepris de me retourner et tout en demeurant dans la pièce, j’en fermai la porte d’entrée en disant :

— Cathy, je m’excuse, je ne voulais pas… — Merci, dit-t-elle, timidement.— Je cherchais simplement un endroit pour me reposer, repris-je. Je ne voulais pas vous surprendre ou quoi que ce soit.
Elle s’abstint de commentaire alors que Bianca laissa échapper un rire jaune. J’entendis un mouchoir être saisit de la boite. Cathy entreprenait de se nettoyer grossièrement le visage alors qu’Antoine s’étendit sur le lit en laissant aller un soupir de satisfaction. Pendant ce qui sembla être une éternité, l’envie de me retourner et de m’emparer de l’une des deux demoiselles prit le dessus, mais je ne puis me résoudre à cette idée, craignant de faire un geste déplacé. Bien que ma queue se saisit davantage avec le temps, le silence apparent qui régnait dans la pièce était désagréable. Je ne voulais pas en sortir avec une bosse dans mon pantalon, mais en même temps, l’attente me rendait extrêmement mal à l’aise.
Comme pour me rassurer, je sentis une douce masse se loger contre mon dos. Au travers de ma mince chemise, je pouvais sentir des mamelons dressés et une main s’empressa de parcourir mon ventre. Bianca embrassa mon oreille droite et murmura :
— Je m’excuse que tu aies eu à voir ça.— Écoutes, ce n’est pas grave, dis-je, à la fois surpris et terriblement excité par la tournure des événements.
Je sentis sa main se descendre lentement le long de mon torse et se loger sur ma queue, qui, gorgée de sang, indiquait qu’elle était prête à passer à l’action. Toujours à mon oreille, elle me dit :
— Écoutes, je t’aime bien Tom, et je te trouve de mon goût. Considère que ce qui suit, c’est ton cadeau de fête, d’accord?— Entendu… répondis-je, subjugué.
D’une main, elle déboutonna mes jeans et en descendit la fermeture éclair, alors que je m’afférais à retirer ma chemise. Elle saisit mes jeans de ses deux mains et les fit glisser lentement jusqu’à ce qu’ils touchent le sol, où je les retirai. Alors que j’étais toujours de dos à elle, Bianca retira mes bas et se redressant, me caressa les jambes en se dirigeant vers ma verge. Parvenue à destination, elle joua pendant quelques secondes avec l’élastique de mes sous-vêtements et les retira adroitement, laissant ma queue dressée pendre à l’horizontale.
Ma respiration se faisait à la fois plus puissante et plus rapide, et comme pour me rassurer, elle saisit mon visage d’un doigt, força doucement pour le retourner vers elle, et apposa un long baiser sur mes lèvres tout en me saisissant la verge. Après que ma queue se soit entièrement gonflée, elle retira sa main, se déplaça lentement vers sa bourse, y sorti un préservatif large taille et me l’enfila adroitement, alors que je me retournai vers elle en lui caressant la poitrine.
Ses tétons dressés étaient agréables au toucher, et sa faible poitrine présentait une fermeté qui m’était jusque-là, inconnue. Je pris un malin plaisir à tâter ses seins, les serrant de plus belle. Elle se pencha doucement en s’appuyant les mains sur le bureau d’Éric et présenta ses fesses rondes près de mon pénis prêt à passer à l’assaut. Derrière-moi, Antoine laissa échapper :
— Vas-y mon Tom, montre-nous comment un blanc s’y prend!
Au même moment, j’entendis Cathy lui assener un coup ou bien une gifle. Comme pour poursuivre dans la même lignée qu’Antoine, Bianca me demanda ouvertement d’entrer en elle. Je ne me fis pas attendre et approchait mon pénis bien protégé de sa fente mouillée. En y jetant un coup d’œil, je m’aperçus que sa chatte ne semblait pas du tout avoir été touchée : probablement qu’Antoine ne l’avait pas pénétré de son large mandrin et curieusement, cela me revigora quelque peu de ne pas être le second à y passer.
J’y entrai doucement tout en portant de nouveau mes deux mains vers ses petites collines basanées, qui n’attendaient qu’à être saisies. Bianca gémit légèrement, et satisfait de mon entrée, me laissai aller à quelques légers va-et-vient. Son activité préliminaire avec Antoine l’avait sans doute bien excitée car j’avais l’impression que mon membre pataugeait à son aise. Bianca émettait quelques gémissements contenus alors que je m’afférais maladroitement à la pénétrer plus profondément. Elle se retourna pendant un instant et porta son regard vers Antoine et Cathy qui tous deux, avaient repris leurs ardeurs et s’adonnaient aux plaisirs de la chair sur le lit. Elle me regarda, et dans ses yeux bruns, je compris qu’elle était satisfaite de l’effet qu’elle provoquait chez autrui. Son corps se contractait sous l’effet de mes allées et venues dans sa féminité et elle m’indiqua la prochaine étape à suivre en se stimulant le clitoris avec sa main droite.
Toujours en la pénétrant agressivement, je m’afférai à prendre le relais de sa main. À ma grande surprise, son clitoris était relativement proéminant et elle gémit fortement lorsque je le lui caressai. Alors que je l’humidifiai avec sa mouille, elle exécuta de plus grands mouvements de bassin, stimulant mon gland au plus haut point. J’haletais davantage : Bianca dû s’apercevoir que si l’on continuait ainsi, j’allais éjaculer et dans un geste d’amnistie, retint légèrement ses mouvements.
Tout prêt, on pouvait entendre le couinement discret du lit et l’entrechoquement des sexes d’Antoine et de Cindy. Je détournai mon attention pendant quelques secondes et j’aperçu Cindy, disposée sur de la lit de manière homologue à Bianca, Antoine la pénétrant violement par derrière. Alors qu’elle avait les yeux fermés, je me permis d’ausculter sa petite poitrine qui se déplaçait vivement entre chaque impact. Bianca me ramena à l’ordre en disant :
— Est-ce que t’as aimé ce que tu as vu tout à l’heure?— Euh… oui…— T’aimerait faire la même chose avec moi?— Oui, mais je ne l’ai jamais fait, répondis-je, l’air niais et peu satisfait de ma réponse.— Ne t’inquiète pas. Je me charge de tout, détends-toi.
Elle se retira alors de mon emprise, se retourna face vers moi et s’installa à genoux devant ma queue. D’une main, elle retira le condom complètement trempé, et entreprit de me branler lentement, passant sa main de mon gland jusqu’à la base de ma verge. Sentant que je ne réagissais pas vraiment, elle passa à la vitesse supérieure. Surpris de sa doigté, mon pénis se dressa davantage avec chaque mouvement. Après un peu plus d’une minute, je ne pensais plus être en mesure de me contenir bien longtemps et je dis:
— Bianca, je pense que je viens.
Pour être honnête, n’ayant jamais exécuté d’éjaculation faciale avant cet instant, j’étais quelque peu inquiet du trajet que mon sperme allait emprunter. Elle me rassura en me disant :
— C’est correct Tom, laisse-toi aller.
Elle présenta ma queue près de son visage. Au moment même où mon membre frôla sa joue droite, mon gland expulsa un puissant premier jet qui s’y logea telle une masse et tomba en partie sur le tapis. Un second écoulement se rependit sur ses lèvres, fermées pour l’occasion. Sentant probablement que j’avais terminé, elle se recula légèrement le visage avant de recevoir une petite quantité de sperme entre les deux yeux. Surprise, elle laissa échapper un petit rire discret :
— Wow, okay… s’esclaffa-t-elle, tenant encore mon membre de sa main droite.
C’est à ce moment-là que Cynthia se plaqua à genoux au bas du lit. Antoine approcha d’elle et dans une courte plainte encore une fois contenue, lui répandit un nouvel éjaculat sur sa poitrine. Bianca retira le sperme opaque qui s’écoulait sur sa bouche et regarda Cynthia, l’air satisfaite. En m’excusant, je tendis à ma partenaire une serviette de bain qui était soutenue sur la porte par un crochet. Elle l’attrapa tout en esquissant ce qui semblait être un léger sourire. Je regardai longuement la scène qui s’offrait à moi et je songeai au fait que telle une miraculeuse cure, cette aventure avec Bianca avait neutralisée toute trace de ma nausée.
Diffuse en direct !
Regarder son live