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Etrange conversation entre une mère et sa fille.

Chapitre 3

Inceste
— La mère: Lilianne, 50 ans.— La fille aînée: Isabelle, 25 ans.— La deuxième fille: Emma, 20 ans.

Isabelle se réveille avec un léger mal de tête.Il lui faut quelques secondes pour réaliser qu’ elle à dormit dans le lit de sa mère.La fin de soirée refait surface...Les mots qui ont jailli, son excitation encore plus forte lorsque sa mère l’ à déshabillée, son souffle sur les cuisses alors que le string descendait le long de ses jambes.
— Putain, ça s’ arrange vraiment pas dans ma caboche! Pense-t-elle en frissonnant.
Elle reste allongée les yeux dans le vague, quelques longues minutes, avant de chercher son téléphone.
— Ok, il doit être dans le salon.
Elle se lève, se baisse pour ramasser le string. Le souffle tiède du matin, venu des fenêtres ouvertes, vient caresser son sexe comme une langue invisible.Son ventre se remplit d’ une impressionnante chaleur, elle sent les lèvres intimes s’ entrouvrir.Elle se relève et réfléchit en regardant le string entre ses mains, des pensées coquines envahissent son esprit.
— Bon, ok, ce sera cul nu! murmure-t-elle.
Isabelle lance le string sur le lit et sort de la chambre.Sa mère, sur le canapé, dort encore. La fille observe le tableau que lui offre sa mère, la douce lumière du matin sublime les jambes dénudées. La chemise remontée laisse voir la culotte semi-transparente de sa maman.Comme une féline, elle s’ approche du corps alanguit et dépose un léger baiser sur le front maternel.

— Bonjour maman.
Lilianne ouvre doucement les yeux avant de les écarquiller devant le corps dénudé de sa fille, debout devant le divan, délicieusement impudique.
— Je vais appeler le boulot pour dire que je suis malade, j’ ai envie de passer la matinée tranquille avec toi. Si ça te va? Dis Isabelle en prenant son téléphone sur la table de la cuisine.
— Je valide complètement cette décision ma puce. Répond Lilianne en s’ étirant.
La mère se lève et se dirige vers les toilettes-salle de bain. Elle entend, pendant qu’ elle se passe de l’ eau fraîche sur le visage, le prétexte que donne Isabelle à son employeur .Alors qu’ elle se sèche le visage, Lilianne entend sa fille entrer dans la salle de bain.
— Désolé, je peux pas attendre maman, trop envie de faire pipi.
Lilianne voit sa fille s’ asseoir sur le "trône". Elles se sont souvent vus en train d’ uriner, mais après les événements de ces deux derniers jours, cette vision provoque une brusque poussée de chaleur. Elle se sent rougir.
Isabelle, du coin de l’ oeil, perçoit sa mère qui l’ observe. Loin d’ être gênée, cette situation provoque de petits éclairs de plaisir alors que le jet doré semble emplir la pièce d’ un bruit hypnotique.Les dernières gouttes tombées, la fille prend du papier pour s’ essuyer. Elle tourne le visage vers sa mère.Isabelle s’ essuie doucement, le contact des doigts sous le papier l’ amène presque à une jouissance.Leurs regards, soudés, se teintent d’ une incroyable complicité amoureuse.
— Bon, je nous prépare un petit café ma chérie? Demande Lilianne, d’ une voix enrouée, en se dirigeant vers la porte.
Sa fille lui caresse rapidement, au passage, une main.
— Oui! je prends une rapide douche et j’ arrive.
Lilianne fait griller quelques tranches de pain en préparant le café. Une douce odeur de déjeuner d’ été emplit le salon-cuisine, jusque dans la salle de bain. Cela fait ressurgir d’ agréable souvenirs d’ enfance en Isabelle. Elle se dépêche de finir sa douche, s’ essuie en s’ attardant sur le sillon des fesses, du sexe.
— Woah, mais c’ est pas possible d’ être aussi chaude! Dit-elle doucement en se souriant dans le miroir.
Elle est, littéralement, à deux doigts de s’ accorder un orgasme libérateur dans la salle de bain, la porte encore ouverte.
— Ca va être prêt ma puce!
Toujours nue, elle sort de la salle de bain.
— Je peux t’ emprunter une nuisette? Avec cette chaleur j’ ai pas envie de mettre mes habits de boulot.
— Bien sûr chérie. Répond Lilianne, le regard hypnotisé par les petites fesses qui disparaissent dans la chambre.
Isabelle revient avec une légère nuisette en satin noir.
— Mmm, ça sent bon! S’ exclame-t-elle joyeusement en s’ asseyant sur le banc de la cuisine.
— Tu as l’ air de très bonne humeur, c’ est bon de te voir comme ça.
La mère remplit deux petits bols de café tandis qu’ Isabelle commence à étaler le beurre sur une tartine.
— Je me sens libéré d’ un poids. Accepter ces désirs... Je me sens vivante. J’ ai envie d’ échanger avec toi, de parler de tout ça. D’ ailleurs tu m’ as dis que tu avais eu des fantasmes sur ta soeur toi aussi?
Lilianne s’ assoit en face de sa fille, le regard sur la table de bois.
— En fait chérie... Ce n’ était pas que des fantasmes.
— Quoi? Tu veux dire que toi et tante Michelle vous, vous...
Isabelle laisse tomber la tartine dans le café.Sa mère relève la tête et acquiesce.
— C’ est une longue histoire, à l’ époque nous partagions la même chambre. L’ intimité de certains soir aidant, nous nous sommes habitués à se masturber l’ une devant l’ autre sans aucune gène.
Lilianne observe la réaction de sa fille. Cette dernière, remit de la surprise, sourit espièglement.
— C’est dingue! — Vous continuez à le faire?
La mère se sent rassurée, la situation réveille à nouveau son excitation.
— Oui ma chérie... Mais pas seulement.
— Woah! J’ ai l’ impression de me réveiller dans une autre dimension! Toi et tante Michelle? Vous faites l’ amour toutes les deux?
— Depuis longtemps, jusqu’ à mon mariage. Ensuite, plus rien jusqu’à...
— Oui, jusqu’à? demande malicieusement Isabelle.
— Les derniers mois, quand ça n’ allait plus avec ton père, lors d’ une journée où elle était venue me réconforter... Nos vieilles habitudes sont revenues.
Lilianne boit une longue gorgée de café.
— Je ne te choques pas mon coeur?
— En fait, pas du tout maman, c’ est complètement fou, mais je ne me sens pas choquée. Ce serait plutôt le contraire.
Le coeur de Lilianne s’ illumine.
— Ouf, je suis tellement soulagée. tu ne peux pas t’ imaginer dans quel état ça me met de te parler de ça.
Isabelle prend la main de sa mère, posée sur la table de la cuisine comme une invitation.
— Si, je crois que je peux imaginer. J’ ai fait l’ erreur de ne pas mettre mon string, et là je suis en train d’ imbiber ton banc!
Les deux femmes partent dans un long fou rire.
— Ces bancs ont l’ habitude, encore hier soir après ton coup de téléphone. Et là, ma culotte doit aussi être dans un drôle d’ état...
Le rire repart de plus belle.Lilianne commence à se rouler un joint.
— Je sais que c’ est un peu tôt ma chérie, mais si je me calme pas je vais commencer à me caresser devant toi. Dit-elle en serrant ses cuisses dans une onde de plaisir.
— Chiche!
La mère n’ en revient pas, cette situation ressemble à un rêve improbable.
— Tu veux que je...
— Que tu te masturbes, oui maman, j’ ai envie de te voir. Je veux qu’ on le fasse toutes les deux, comme tu le faisais avec ta soeur.
Lilianne voit le bras de sa fille s’ agiter sous la table, l’ autre main vient d’ agripper son poignet.Son rêve le plus fou est en train de se réaliser.La main libre glisse sous la culotte trempée et commence à caresser le clitoris, elle ne peut s’ empêcher de pousser un court gémissement.Sa fille se masturbe, là, devant elle! Elles se masturbent toutes les deux!Elle sent les ongles crispés de plaisir sur son bras, elle voit sa fille jouir, là, devant elle!Balayée par une vague orgasmique, Lilianne pousse une série de petits bruits en tremblant.Un moment de parfaite sérénité suit.Finalement Lilianne se lève pour embrasser la nuque de sa fille, la prend par la main pour l’ emmener sur le divan.Elle met un album des pink floyd avant de la rejoindre. Allongées sur le divan, la tête sur chacun des rebords, leurs jambes s’ entremêlent dans un subtil jeu de caresses.La mère et la fille s’ endorment finalement, dans une position improbable, sexe contre sexe.
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