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Étudiant chez l'habitant

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
Chapitre 7: Un nuage de crème s’il vous plait !
Le soleil était haut dans le ciel lorsque je me réveillai au lendemain de cette mémorable soirée. En me levant, mon attention fut attirée par des éclats de rires au rez-de-chaussée. Quelle fut une adorable vision que de découvrir mère et fille nues dans la cuisine.
— Alors le paresseux ! Bien dormi ? On voit que c’est les vacances !
Mathilde pouffait : Ça doit être la soirée d’hier qui l’a crevé !
— C’est vrai que ce fut éreintant ! Mais j’en suis si heureuse, ma chérie !
— Moi aussi j’suis heureuse Mamounette !
— Ben... moi aussi je dois bien dire ! Concluais-je en souriant.
Nous prîmes alors notre petit-déjeuner, échangeant joyeusement sur tout et rien et bien évidemment beaucoup sur nos impressions et la tournure qu’avait prise notre relation. Il n’y avait aucune gêne entre nous, nous étions bien. J’appris que Jean-Paul s’était absenté car le dimanche est un jour sacré pour lui : c’est PMU avec les copains...
— Il ne rentrera que ce soir, mais ce n’est pas pour autant qu’on ne va pas s’amuser, sourit mystérieusement Danielle. J’ai appelé ma copine ce matin... Elle ne devait pas pouvoir revenir avant mardi mais quand je lui ai raconté la soirée d’hier soir, elle m’a dit qu’elle trouverait bien à se libérer pour passer nous faire un petit coucou dans l’après-midi...
— Ta copine ? Quelle copine ? demanda Mathilde à sa mère.
— Ah oui, c’est vrai tu ne la connais pas toi ! Elle s’appelle Laurence, c’est une très bonne amie, « intime » si l’on peut dire. Jérémy l’a déjà rencontré, elle est très sympa, tu verras.J’acquiesçai aux propos de Danielle : Oh oui, elle est un peu spéciale... Mais très gentille !
...
A 15 heures, la sonnette retentit. Mathilde alla ouvrir.
— Bonjour ! Tu dois être Mathilde n’est-ce pas ? Comme tu es belle dis-moi ! Ta mère ne m’avait pas menti tu es vraiment une belle jeune fille. Alors ça y est tu es devenue une femme?
Mathilde hocha énergiquement la tête à ses paroles et arbora un large sourire. Pas de doute la bonhomie de Laurence lui plaisait !
— C’est Jean-Paul qui s’est chargé de te déflorer? C’est très bien, il sait être très doux ton Papa quand il veut, j’en sais quelque chose...
— Entre donc ma Lolo et mets-toi à l’aise, on sera mieux pour discuter de tout ça ! L’accueillit Danielle qui avait suivi sa fille.
Elles continuaient leur discussion pendant que Laurence se dévêtait. Arrivées au salon je fus interpellé :
— Ah te voilà toi aussi ! Alors t’es devenu un grand garçon maintenant ! Dani m’a dit que tu lui avais bien buriné le minou ! C’est bien ça ! Sa minette adore ça ! Se faire farcir de jeunes queues que peut demander de plus une chatte en chaleur ! Et en plus, la Dani, elle en redemande toujours !
— Oh, tu sais, il n’y a pas que nos berlingots qui ont été gâté ! J’ai initié ma fille à la dégustation de sirop de corps d’homme !
— C’est pas vrai ? Sacrée Dani. Et alors jeune fille, tu as aimé ?
— Bien sûr qu’elle a aimé ! C’est qu’elle est gourmande en plus, ma petite fille chérie ! Elle tient bien de sa mère pardi ! Conclut-elle en embrassant bruyamment la joue de sa fille.
Celle-ci ne disait rien mais le rose de ses joues prouvait qu’elle n’était pas insensible aux flatteries de sa mère...
— Je te sers quelque chose ?
— Un grand café s’il te plait Dani. Mais j’espère que cette fois j’aurais droit au lait de ce grand gaillard !
— Comme il vous plaira! Lui répondis-je à son clin d’œil.
— Ah voilà une réponse comme je les aime ! Les filles vous permettez que je me serve moi-même ? Dani, lance la cafetière, je vais apprendre à ta fille comment extraire un maximum de liqueur de la queue d’un homme ! Hihi ! Tu es prête jeune fille ? Alors observe bien !
Elle s’approcha de moi, souleva ma verge de la main droite et attrapa mes bourses avec la gauche.
— Allez, suis-moi Jérémy ! Ça va prendre un certain temps !
Elle m’attira au canapé où elle s’assit. Mathilde prit place à ses côtés. Je restai debout face aux deux femmes, prisonnier de la main de la réunionnaise.
— Le truc tout d’abord, c’est qu’il faut toujours maintenir les testicules dans la main pour les tenir au chaud ! Oh dis-moi j’avais pas remarqué, mais c’est qu’ils sont tout doux maintenant ! C’est beaucoup mieux comme ça ! Ensuite, il faut attendre que la sève monte dans la tige ! Voilà comme ça, c’est bien mon bonhomme ! Tout doucement...
En effet, la chaleur et la légère pression de sa main sur mes couilles faisait lentement gonfler mon sexe. Quand elle estima qu’il commençait à avoir un volume honorable, elle posa délicatement ses doigts de sa main libre sur mon prépuce. Elle commença alors à faire lentement coulisser la membrane de peau sur mon gland sans jamais le libérer entièrement. La caresse était très agréable et mon érection devint bientôt complète. Son rythme n’était pas rapide, juste suffisant à maintenir ma verge rigide. Elle s’arrêta soudainement.
— C’est nécessaire de faire des pauses. Expliqua-t-elle devant l’air interrogatif de Mathilde. Cela permet d’emmagasiner un maximum de sirop ! Hihi.
Sans les mouvements de sa main, mon mât déclina progressivement. Quand mon sexe se rapprocha de l’état flaccide, Laurence reprit sa masturbation. Le rythme était cependant un peu plus soutenu et mon sexe se releva rapidement. A ses cotés Mathilde gloussait puis rit de bon cœur lorsque la main s’arrêta de nouveau laissant ma queue de nouveau se ramollir. La séance masturbatoire devenait moins agréable pour moi !
— Mais c’est une vrai torture ce que tu lui infliges là, ma Lolo ! Dit en souriant Danielle qui revenait de la cuisine.
— Oh ça ne devrait plus tarder, tu sais, on devrait commencer à la voir apparaitre !
— Voir quoi ? demanda Mathilde.
— Mais la rosée du plaisir mon chou ! Tiens regarde, qu’est-ce que je disais ! Elle commence à perler !
Au bout de mon urètre était apparue une petite goutte transparente.
— C’est quoi, c’est du pipi ? demanda naïvement la jeune fille.
— Mais non idiote, c’est un liquide qui s’écoule quand les hommes atteignent un stade d’excitation élevée. Ça sert un peu de lubrifiant ! C’est un bon indicateur pour dire que l’éjaculation ne va pas tarder ! Hihi !
Elle avait posé le bout de son doigt sur la goutte et s’en servit pour humidifier mon gland. Elle le décalotta entièrement et son doigt effectua un massage très appuyé sur toute la surface rosé. Mon gland luisait désormais. Elle s’arrêta, ce qui me fit grogner.
— Bien il est temps de changer de position ! Tu me suis mon grand ! Elle m’entraîna, la main toujours sur mes valises, vers la table de salle à manger.
— Allez, monte sur la table, il est temps d’extraire ce bon lait chaud ! Allez, à quatre pattes, je vais montrer à ses dames comment on trait un homme !
Elle me fit mettre en position et donna ses instructions à la mère et la fille :
— Toi Mathilde, remplace-moi, tiens bien ses bourses ! Pas trop fort, hein ! Juste les maintenir au chaud tu te souviens ? Et toi ma Dani, si le café est prêt, sers nous-en trois tasses ! En principe il devrait y en avoir assez ! Tu vas voir ma petite, avec ma méthode le jus sort en bonne quantité!
Je ne comprenais pas encore ce qu’elle voulait dire, mais je pensais que l’on devait former un drôle de tableau : moi nu à quatre pattes sur la table et les trois femmes assises autour de moi prêtes à prendre leur café! Laurence qui avait désormais ses deux mains libres, avait installé sous mon sexe la première tasse. Elle avait également disposé une petite cuillère en équilibre sur ses bords de fait que ma bite pointait directement dans le creux du couvert. Laurence me tira de mes observations par une branlette vigoureuse.
Mon membre fut rapidement dur, le rythme de ses caresses était soutenu mais elle l’interrompit rapidement en tirant mon prépuce très fortement en arrière pendant quelques secondes. Je sentais mon sexe au bord de l’explosion. Cela en était douloureux et la perle de liquide pré-séminal s’allongeait de mon gland à la cuillère... Cela faisait sourire Danielle.
Comme Laurence mettait trop de temps à reprendre ma masturbation je geignais et bougeait malgré moi le bassin. Elles me charriaient toutes les trois:
— Ben alors Jérémy qu’est-ce qu’il se passe ?
— Qu’est-ce que tu as à rouler des fesses comme ça ? T’as un problème où quoi ?
Elles étaient hilares. Mais Laurence était suffisamment concentrée à sa tâche pour contrôler mon excitation. Elle avait relâché mon sexe qui battait l’air tout seul.
— Ah, là il est à point ! Regardez bien les filles ! Ça arrive, ça arrive !
Elle me branla rapidement et vigoureusement, s’arrêta, repris un peu, s’arrêta de nouveau, tira mon prépuce à fond et ne bougea plus. Mon gland était violacé et atrocement sensible. Elle effectua un dernier mouvement quasi imperceptible, tira fortement en arrière mon sexe se répandit enfin.
— Oh, çà c’est marrant ! Ça coule tout doucement ! T’as vu maman ?
Je regardais entre mes cuisses et voyais mon sperme s’écouler lentement sans discontinuer de mon gland à la petite cuillère qui commençait à déborder. Mon flux s’arrêta peu après. Laurence versa la cuillère dans la tasse et tendit cette dernière à Danielle :
— Voilà pour toi ma chérie, la mienne maintenant !
Je la vis remettre une deuxième tasse et la cuillère sous ma queue.
— En principe, il ne s’est pas totalement vidé, n’est-ce pas mon grand ? Il t’en reste encore de la bonne crème tiède pour ta Lolo ? Allez, on continue !
La sensation était bizarre, j’avais joui certes, mais pas complètement, j’étais encore excité, ma tige toujours tendue. Ses gestes sur ma verge reprirent. Mon « calvaire » également... Mathilde n’en perdait pas une miette. Devant mon air implorant, Danielle dit alors à son amie de me laisser me vider entièrement. Celle-ci, à regret, me branla alors énergiquement pour faire sortir une quantité conséquente de sperme qui s’étala en giclées dans la cuillère et la tasse.
Jamais je n’avais joui de la sorte lors de mes plaisirs solitaires, j’étais vanné. Laurence vidait la cuillère dans sa tasse lorsque Mathilde protesta :
— Eh bien moi alors, j’ai pas l’droit !
Laurence lui tendit la petite cuillère :
— Les dames d’abord quand même ! Mais t’inquiètes pas, toi tu as le droit de lécher la cuillère petite gourmande !
Elle l’attrapa et la porta directement à sa bouche. Elle la léchait comme une sucette poussant des petits « humm » de contentement. Les deux femmes, après m’avoir embrassé la joue allèrent s’asseoir dans le canapé emmenant avec elles leurs tasses aromatisées.
Je descendis chancelant de la table, mes jambes me portaient à peine et je ne sentais pour ainsi dire plus du tout mon sexe. C’est comme si je n’avais plus rien entre les jambes ! Je cherchais Mathilde du regard. La cuillère toujours à la bouche, elle avait rejoint sa mère et son amie au salon. Elle s’était assise sur le fauteuil face à elles et écartait largement les cuisses pour leur dévoiler son intimité. Je vins m’asseoir près de Danielle. Je regardais sa fille qui avait retiré la cuillère de ses lèvres et frottait désormais le dos de celle-ci sur sa vulve entrouverte. Elle semblait apprécier cette caresse qu’elle interrompait en ramenant régulièrement l’ustensile à sa bouche. Laurence l’observait en sirotant son café :
— Tu sais quoi ma Dani, eh bien ta fille est encore plus coquine que toi ! Ah ça pour sûr, la relève est assurée, hihi !
— Oui c’est vrai, qu’elle assure ma petite chérie ! N’est-ce pas Jérémy ?
Je ne disais rien, j’étais subjugué par l’adorable frimousse de sa fille et son rire enfantin face aux remarques des deux femmes. Mes sentiments pour elle étaient confus. Au désir que je lui portais c’était ajouté une sensation jusqu’alors inconnue de moi.
— Il n’est plus avec nous je pense ! Je crois que notre petite séance de traite l’a épuisé ! Ah ah ! Ça vous a plus à vous au moins les filles ?
— Ah c’est sûr que ce n’était pas commun ! Répondis Danielle. Mais si tu n’es pas pressée, reste donc à l’apéro ce soir ! Quand Jean-Paul sera rentré on vous préparera notre spécialité ! Tu verras, c’est aussi gouteux que ton café, hihi !
— Hum, j’en ai l’eau à la bouche ! Lui répondit son amie.
J’interrogeais du regard Mathilde qui haussa les épaules. Apparemment, elle non plus ne savait pas de quoi parlait sa mère.
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