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Étudiant chez l'habitant

Chapitre 9

Orgie / Partouze
Chapitre 9: Chez Laurence

Laurence était garée dans la cour de la maison, nous sortîmes donc nuset nous engouffrèrent à l’arrière de son monospace, là où les vitres étaientteintées. Laurence qui s’était rhabillée pour conduire me fit redescendre pourprendre place côté passager avant. Elle m’expliqua avec son petit souriremalicieux que comme son véhicule était automatique, elle tâterait bien de monmanche durant le trajet afin de se rappeler les sensations d’un levier devitesse…

Il faisait quasiment nuit. La main de notre amie faisait des allersretours sur mon membre qui s’était de nouveau durcit. A l’arrière, nous devinionsque Mathilde s’affairait la main entre ses cuisses. Les sièges en cuircollaient à notre peau. Laurence parlait de tout et de rien, nous expliquantqu’elle habitait un petit hameau de 5 maisons isolés en limite de la forêt quiborde l’océan.

A quelques kilomètres de l’arrivée, n’y tenant plus, je jouis entre lesdoigts de ma bienfaitrice. Elle continua son mouvement un temps puis, jugeantsa main suffisamment imprégnée, porta les doigts à sa bouche pour en recueillirma liqueur.

— Dommage pour toi, Mathilde, si ton homme avait tenu 5 minutes de pluson serait arrivé et t’y aurais eu droit toi aussi, hihi !

— C’est pas juste ! Jérémy, t’es pas cool quoi, tu pourrais penserà moi ! Déjà que je dis rien quand une autre te branles ! Tu pourraisavoir un peu plus de respect pour moi !

Je n’eus pas le temps de répondre que nous étions arrivés. La maisonqui nous faisait face était campagnarde, en pierres apparentes, au centre d’unebelle surface de pelouse. Nous apercevions les habitations voisines qui étaientuniquement délimitées par des haies éparses.

— Allez hop, tout le monde descends !

Nous hésitions à quitter la sécurité de la voiture car nous allionsdevoir parcourir une bonne trentaine de mètres entre l’entrée de la propriétéet la porte de la maison !

— Euh, c’est pas possible de se rapprocher un peu ? Demandais-je.

— Pff, ça va c’est pas loin ! Qu’est-ce que vous avez ? Ehben dis-donc, Vous êtes pas très courageux à vos âges !

— Mais on va nous voir ! On voit la lumière des fenêtres desvoisins !

— Bof, c’est que ça ! Vous inquiétez pas alors, allez,sortez ! Ils en ont vu d’autres ! Ahaha…

Peu rassurés par ces paroles nous nous décidâmes à sortir et courûmesaussi vite que nous pouvions pour atteindre le seuil de la porte. Mon sexe etles seins de mon amie battaient l’air au rythme de nos foulées. Cela eut poureffet de nous arracher un petit rire…Lorsque tranquillement la maîtresse deslieux nous rejoignit nous entrâmes en sa demeure.

Une fois à l’intérieur, nous pûmes souffler. La décoration était coquetteet le mobilier rustique. Un détail nous fit sourire : il y avait sur lesmeubles et sur les murs, des cadres photos dans lesquels nous pouvions voirLaurence dans le plus simple appareil ! Elle était quelquefois accompagnéed’autres personnes nues elles aussi. Et au milieu de toutes ses photographies,en trônait une représentant un jeune couple en costume de mariage.

— C’est mon mari, je l’aimais, il est décédé il y a 20 ans. Les autresphotos datent d’après son décès. Nous étions pudiques et pas mal coincés !Mais après sa mort je me suis dit que la vie était trop courte et qu’il fallaitfaire un maximum d’expériences afin de l’enrichir le plus possible. De nouvellesexpériences en nouvelles expériences, j’en suis venue à pratiquer lelibertinage et cela m’a grandement aidé à supporter le deuil et m’acomplètement révélé.

— Vous avez eu des enfants ? Demanda Mathilde

— Non cela a été notre plus grande peine, je n’en ai pas eu et nepourrais jamais en avoir…

— Oh comme c’est triste, lui répondit Mathilde en l’enlaçant, si tuveux on peut être comme tes enfants tu sais !

— C’est très gentil de ta part, ma petite, mais vous avez des parentstu sais, considérez-moi plutôt comme une tata ! Cela me ferait plaisir.

— Alors, c’est d’accord, tu seras notre Tata Lolo ! Rigola-t-elle deson rire communicatif.

Elle nous serra très fort dans ses bras. Après un temps, elle s’adressaà Mathilde :

— Et que dirais-tu si nous allions nous promener entre femmes pendantque ce grand jeune homme se repose du trajet et, pourquoi pas, commence à nousfaire à manger ?

— Oh oui, les hommes aux fourneaux, les nanas en balade !Ria-t-elle. Mais, je ne vais pas sortir comme ça ?

— Oulala, ce que t’es bien pudique toi tout d’un coup ! Bon je te prêtece manteau si tu insistes… Comment ?... Pour tes pieds ?... Bon benprends donc ces bottes en caoutchouc ma chérie ! Voilà comme ça tu n’auraspas mal à tes petits petons… Ah je vous jure, cette jeunesse !

Mathilde n’avait pas fière allure avec ses bottes trop grande et laparka légère que lui avait donnée Laurence. Celle-ci lui arrivait juste à micuisses et il ne fallait pas qu’elle fasse de trop grandes enjambées pour serendre qu’elle ne portait rien dessous… Elles quittèrent ensuite la maison pours’engouffrer dans la pénombre du soir me laissant ainsi seul.



Trois quart d’heure plus tard la porte s’ouvrit enfin. Les deux femmesapparurent souriantes de leur promenade. Mathilde avait le rouge aux jouescomme si elle avait effectué un jogging !

— Ca c’est bien passé ? Demandais-je distraitement

— Parfaitement bien passé, n’est-ce pas jeune fille ?

— Oh oui c’était excellent, c’est génial ici Tata !

Devant mon air interrogatif, elles entreprirent de me conter leurbalade. Tout d’abord elles avaient pris un petit chemin qui serpente tranquillementde la demeure de Laurence vers les champs alentours. A la deuxième bifurcation,elles étaient tombées nez à nez avec Monsieur Fernand, un voisin, qui revenaitd’arroser son potager. Il ramenait dans son panier des légumes pour sa femme.

— Tata nous a présenter, il est très gentil et vachement vieux, il a aumoins 100 ans !

— Exagères pas trop Mathilde, reprit Laurence, je crois qu’il en ajuste 80 !

— Ouais ben c’est vachement vieux quand même ! Il nous a montréles asperges et carottes qu’il venait de ramasser et là, y’a Tata Lolo, l’airde rien qui lui dit que j’adore les asperges surtout quand elles sont pleinesde béchamel ! La honte que j’avais !... Mais il a rien compris !hihi, il voulait nous en donner !

— Oui j’ai été obligé de lui expliquer de quel genre d’aspergesMathilde raffole.

Le vieil homme avait alors parut dépité expliquant qu’à son âge il nepourrait malheureusement pas contenter la jeune fille, son asperge à lui étantmolle depuis bien longtemps. « ah ça, c’est à elle de juger ! »lui avait répondu Laurence « laissez-la faire et vous verrez, elle feraitredresser la tour de Pise ! »

— Et qu’est-ce que t’as fait ? Demandais-je ahuri à ma compagne.

— Ben j’l’ai sucé, qu’est-ce que tu crois ? C’était marrant, son ziziétait tout replié. J’avais l’impression de sucer une limace ! Il sentaitfort mais ça m’excitait vachement ! Par contre qu’est-ce que j’ai galéré àle rendre dur !

Après un pompage au début laborieux elle avait réussi à lui donner unesemi érection. Fernand n’en revenait pas et remerciait continuellement la jeunefille de si bien s’occuper de lui.

— Quand il a sorti ses trois petites giclées, j’ai cru qu’il allaitmourir, hihi. C’était super épais, ça devait faire longtemps ! C’étaitplein de grumeaux, hum, trop marrant, j’ai tout avalé ! Ah, Il était content levieux quand il est rentré chez lui !

— Un peu de respect pour tes ainés tout de même. Enfin c’est vrai qu’ilétait tellement content qu’il nous a invités à l’apéro cette semaine ! Toiaussi Jérémy t’es invité !

Les deux femmes gloussaient à l’évocation des exploits de ma compagne,mais leurs péripéties ne s’étaient pas arrêtées là !

— On n’avait pas fait 800 mètres qu’on est tombés sur les frèresALIBERT qui revenaient des champs sur leur tracteur!

Laurence expliquait que Francis et Antoine ALIBERT étaient deux« vieux garçons » agriculteurs vivant sous le même toi à quelquescentaines de mètres de son domicile. 

— Ce sont deux célibataires endurcis qui n’ont pas souvent l’occasionde se vider les bourses, hihi, alors tu comprends quand je leur ai expliqué queMathilde se ferait une joie de les siphonner, haha ! Eh ben ils ne se sontpas fait prier : les deux avaient le pantalon sur les chevilles en deuxtemps trois mouvements !

— Attends … T’as pas ? Demandais-je interloqué.

— Ben si, je les ai sucé eux-aussi ! Tous les deux, en même tempsmême ! Ça changeait de la bite de Monsieur Fernand ! Elles étaient biendures celles-là ! Ça se voit qu’ils sont de la même famille, elles avaientle même goût ! Hihi ! J’ai presque réussi à mettre les deux en mêmetemps dans ma bouche, hihi ! C’est Francis qu’à juter le premier !Pourtant c’est lui le plus vieux !

— Oui c’est vrai, commenta Laurence, C’est toujours Francis qui est leplus rapide…

Je n’eus pas le temps de faire attention à sa remarque, j’étais tropimpressionner par le récit de ma compagne. Plus elle racontait, plus sonvocabulaire devenait fleuri. Cela me rappela brièvement sa mère Danielle.Mathilde continuait :

— J’ai pas avalé tout de suite, je voulais boire leur jus en mêmetemps ! Alors j’ai pompé Antoine la bouche pleine de la purée du grandfrère ! Punaise, c’était dur de ne pas en faire tomber ! J’avais malà la mâchoire !

— Pour la soulager, j’ai proposé à Antoine de se masturber au-dessus dela bouche de ta chérie ! Me dit Laurence dans un clin d’œil.

— Du coup, il a pas tardé ! Mais il a pas trop bien visé !J’en avais presque plus sur le menton et la joue qu’à l’intérieur ! Hihi !

Apparemment, ma compagne avait été heureuse que sa Tata Lolo soit làpour récupérer avec ses doigts les gouttes qui maculaient son visage !

— Elle m’a fait lécher ses doigts, j’en avais plein la bouche ! Cadébordait presque ! J’ai tout bu ! Ah ça, j’avais plus soifaprès !

— Une vrai star du porno ta chérie ! On a l’impression qu’elle afait ça toute sa vie !

— Ben faut dire que comme avant, Papa, il ne voulait pas me toucher,j’ai dû beaucoup regarder sur internet pour voir comment fallait faire !Alors maintenant que je peux mettre en pratique, hihi… j’en profite ! 

Plutôt que me rendre jaloux, le déroulé de sa promenade commençaitsérieusement à me chauffer et je sentais mon sexe gonfler lentement.

— Attends, attends, c’est pas fini ! Les frères partis, on a faitdemi-tour pour rentrer à la maison. On était juste arrivé à la voiture qu’on avu les HOFFENMAN sortir de chez eux ! Je voulais leur présenter Mathildealors on a attendu qu’ils arrivent.

Joseph et Rebecca HOFFENMAN, sont un couple de quadra parisien venus’installer par ici pour fuir les inconvénients de la ville.

— Ce sont des rentiers ! Ils vivent bien ! Joseph a été biendéçu d’apprendre que ta chérie était repue !

— Hihi, sa femme l’engueulait ! Elle lui reprochait d’avoir trainéà table !

Laurence imita la voix de la femme : « Tu vois, toiaussi ! Toujours a trainé ! Eh bien, bien fait pour toi ! Ça t’apprendra !T’es passé à côté d’une bonne action ! Cette petite m’avait l’air d’être bienaffamée ! »

— Il était tout dépité ! Mais j’avais trop mal aux mâchoires pourreprendre une pipe ! Comme il me faisait de la peine, je lui ai dit que moij’étais rassasié mais par contre, mon petit chat n’avait pas eu sa ration delait tiède ce soir et qu’il avait très faim !

En disant ça, Mathilde lui avait découvert sa motte imberbe ce quiavait eu pour effet de redonner le sourire à l’homme.

— Tu en as de la chance de faire pitié à cette petite ! Lui avaitdit sa femme. Dépêches-toi de lui faire honneur et rempli-lui bien son petitminou qui cri famine ! Merci pour lui jeune fille, vous êtes biengentille, venez, prenez appui sur mes épaules que je vous soutienne.

Mathilde, faisant face à Rebecca, avait alors posé ses bras sur lesépaules de la femme. La parka grande ouverte laissait apparaitre ses seins queRebecca s’était empressée de prendre à pleine main pour les caresser. Pendantce temps, son homme s’était déculotté.

— Je l’aurai bien sucé pourtant ! dit avec envie Mathilde. Iln’avait pas de prépuce ! J’ai pas encore gouté de queue sans ! 

— C’est normal, les HOFFENMAN sont de confession juive. T’inquiètespas, vu comment tu es partie je pense que tu auras bien d’autres occasions d’enpomper  dans ce genre-là! Haha ! Rigola Laurence.

L’homme avait alors contourné mon amie, lui avait relevé la parka surle dos. Puis, après lui avoir rapidement humidifié la fente avec de la salive,s’était enfoncé à l’intérieur de son con. Il l’avait buriné lentement, à chaquecoup, Mathilde se retenait à Rebecca qui en profitait pour lui pincer fortementles tétons. Quand elle avait commencée à crier sous l’ardeur des coups debutoir, la femme avait alors appliquée sa bouche sur celle de la jeune fille.C’est à ce moment que Joseph avait accéléré la violence de ses coups. Il l’avaitlimé fortement emmenant ainsi sa jouissance

— La vache il m’a démonté la chatte celui-là ! Et comment il mel’a rempli ! Whoua !

— Ah d’ailleurs, Jérémy, je crois que ta copine a une petite surprisepour toi ! Regarde !

Mathilde venait d’ouvrir sa parka me donnant une vue imprenable sur sescharmes. Sa petite chatte était luisante de sperme.

— T’as vu, j’ai pensé à toi ! Mon petit bonbon rien que pourtoi ! Monsieur HOFFENMAN s’est fait une joie de le fourrer de sa bonne crème !Tu vas te régaler ! Dépêches-toi ça dégouline !

Avant que je ne réponde quoi que ce soit, Laurence m’avait faitallonger sur le tapis, Mathilde enjambait ma tête et déjà s’accroupissait commesi elle voulait uriner. Son mouvement fit s’entrouvrir les lèvres de son sexequi laissèrent s’échapper une larme blanchâtre. Instinctivement j’ouvris labouche et le filet de sperme s’étala du fond de ma gorge à la pointe de malangue. Je n’eus pas le temps de refermer la bouche que Mathilde s’était assisesur moi et sa vulve souillée prenait place sur mes lèvres.

— Quelle délicate attention, n’est-ce pas Jérémy ? Elle avait hâted’arriver ! Elle avait tellement peur d’en perdre sur le chemin qu’elle setenait la minette de la main. Comme tu n’étais pas là avec elle, elle voulaitte faire partager son aventure avec ce petit cadeau. Si ce n’est pas de l’amourça !

— Tu aimes mon chéri ? Me demanda-t-elle en me caressant lescheveux. Y’en a plein du bon sperme de Monsieur Joseph, et il est rien que pourtoi mon amour chéri. Hum, oui, … va, va avec ta langue, va le chercher toutfond, …. , hum, régales toi mon amour, ah c’est bon.

J’étais au comble de l’excitation : le comportement de mon amielors de sa promenade, sa position sur mon visage et le sperme inconnu que jedéglutissais avec enthousiasme me mettaient en effervescence. Je ne pouvais luirépondre mais mes grognements de plaisir lui donnaient une indication de monétat.

Laurence qui nous regardait tendrement, s’exclama :

— Ce n’est pas tout ça les jeunes, mais ce soir y’a bien que votre TataLolo qui s’est pas amusée ! Tu permets ma chérie que j’emprunte la queuede ton homme, mais si personne ne s’en occupe elle va exploser !

Elle se déshabilla rapidement et attrapa mon sexe bandé. Après l’avoirhumidifié des lèvres elle le positionna à la verticale sous sa vulve. Je sentisla moiteur de son sexe sur mon gland, elle descendit lentement sur ma verge,forçant doucement le passage de son antre. Quand elle fut entièrement empaléesur mon membre je pu remarquer la différence entre l’étroitesse du sexe de monamie et celle de notre tata… La pression était moindre chez Laurence mais ellemouillait abondement ce qui donnait l’impression de « nager » dans unocéan de douceur. Elle faisait essentiellement des mouvements de rein sur maverge pesant de tout son poids sur mon bassin me faisant ainsi pénétrer au plusprofond de son vagin.

— Putain que c’est bon la queue d’un jeune ! Ah, Mathilde il estbon le bâton de ton homme !

— J’suis contente Tata, profites-en bien ! Lui répondit-elle en laregardant par-dessus son épaule.

— Mais tournes-toi, ma chérie, regarde comment ta tata jouis bien surla queue de ton bonhomme!

Mathilde se retourna et se rassit aussitôt sur ma tête. Cependant ellen’était plus accroupie, elle était agenouillée sur mon visage. Lors de laposition d’avant je pouvais encore respirer, mais là ses fesses comprimaientmes narines. J’avais littéralement le nez sur son anus.

— Là c’est mieux de se voir tu ne trouves pas ? En plus Jérémyprofites de ton petit trou ! J’ai l’impression que ça le fait grossirencore plus ! Quel cochon celui-là ! Il a l’air d’aimer te lerenifler ce petit trou ! Tu voudras qu’on s’en occupe de ton petit trou machérie ? … Oui ? … Bien, tu verras je suis sûr que Jérémy se fera unejoie de m’aider à s’en occuper. T’as vu sa queue, elle est bien au fond, ça teplait de voir sa bite dans ma chatte ? Elle coulisse bien tu vois?

— Oh oui Tata, j’veux qu’il t’en mette plein la chatte, j’veux la voirdéborder de jus ! J’veux manger sa crème sur ton bouton… Tu me la ferasmanger, hein Tata ?

— Mais bien sûr que oui ma chérie, penches toi un peu, embrasse-moi mapetite…

Je ne voyais rien, ma langue toujours active, j’entendais juste leuréchange. L’idée d’approcher l’anus de Mathilde m’excitait beaucoup et je fantasmaisdéjà sur une probable sodomie… C’était trop pour moi, j’explosais dans lachatte de Laurence.

— Oh le coquin, dit-elle, il ne m’a pas attendu ! Il faut que jeme dépêche. 

Laurence changea de stratégie, désormais elle montait et descendait surma tige violement. Sa chatte dégoulinait sur mon pubis et elle s’activa tellementque je crus qu’elle me pissait dessus ! Elle souffla longuement ens’empalant une dernière fois et je crus la sentir frissonner.

— Ah que ça fait du bien de se ramoner sur une bonne bite ! J’aibien cru que je n’aurais pas le temps de jouir avant qu’il ne débande!

— Qu’est-ce que tu mouilles Tata ! Dit Mathilde en se dégageant demon visage me permettant enfin de respirer normalement. Vous êtestrempés !

— Ah oui avec moi ça toujours été les grandes eaux ! Hihi !Elle se retira de ma verge molle. Il est HS ton chéri ! Va te coucherJérémy je crois que tu as besoin de reprendre des forces !

Je ne me fis pas prier et pris la direction des chambres. En meretournant une dernière fois dans le couloir, j’entraperçus les deux femmes sitendrement entrelacées que je devinais le contact mutuel de leurs vulves. Arrivéau lit je me rendis compte que je n’avais toujours pas mangé, mais après ladégustation de ma petite chatte chérie je dois dire que je n’avais plusvraiment faim !
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