La première visite. Les jours suivants, mon maître fut très amusé de jouer avec moi et le fait que je sois en cours une bonne partie de la journée. Il me demandait de sortir pluggé, de lui montrer mon obéissance par photo, quelque fois en plein cours comme la fois d’avant. Cela m’amusait quand même il faut bien le reconnaître. Il m’a également ordonné un jour de partir à l’université en portant un string et un porte jarretelle coupé à des bas. Ce jour là avait été très angoissant pour moi car j’avais l’impression qu’on e voyait que ça: les contours du porte jarretelle. Le plus honteux avait été pour moi le regard d’une professeur qui avait eu la fâcheuse idée de regarder mes jambes au moments ou j’avais relevé mon jean pour me gratter la cheville… Je ne sais pas si elle a vu mes bas noir mais elle tiqua légèrement. Les exhib par webcam devinrent le rituel du soir et je faisais de mon mieux pour aguicher mon maître, qui ne se garda pas de me dire que j’étais la plus bandante des salopes qu’il avait vu jusqu’à présent. Je portais très bien la guêpière rouge couplé au bas rouge, ce qui collait avec le petit cristal rouge de mon rosebud. Le gros gode bleu me travaillais bien le cul et j’étais parfaitement près à le recevoir. Le mardi il m’avait demandé d’aller acheter de la crème dépilatoire pour supprimer le peu de poil que j’avais sur le corps, afin d’être parfaitement lisse et douce comme une nana. Le mercredi soir, après son petit film X dont j’étais l’actrice, il me dit: « Bon tu es prête pour demain ma biche? Rappel toi, pas de réveil, c’est MOI le réveil. Je veux que tu émerge e entendant ma voie pour te dire de venir m’ouvrir. Avant de m’ouvrir, tu prendras soin de descendre en string et perruqué. Accueille-moi comme il se doit » Je me souviens avoir été interloqué. Descendre vêtue ainsi dans une résidence universitaire le matin dans les escaliers. Et si on me surprenait ?! Qu’est-ce que j’allais bien pouvoir dire? Je devins encore plus angoissé et refusa instinctivement son ordre. « Non mais attendez je ne suis pas seul dans le bâtiment! Imaginez qu’on me surprenne en descendant en string et avec une perruque? Ça pourrait remonter aux oreilles de la gérante, voir a tous les étudiants du bâtiment! J’aurais l’air con pendant le restant de l’année! » « Déjà, tu serais une conne, rappel toi que tu es une fille avec moi. Deuxièmement, si tu ne m’obéi pas je t’assure que tu va en chier, tu n’a encore jamais eu affaire a un homme si tu veux commencer hard tout de suite c’est toi qui voit. Donc je répète, demain je te veux en string et avec ta perruque lorsque tu viendras m’ouvrir et puisque tu fait ta rebelle tu porteras également le corset. Et vois le bon coté des choses, ca se trouve il y a des étudiants qui aimeraient également te la mettre bine profond vu comment tu es foutu. C’est d’accord? » Je réprimais un énervement car cela n’allait qu’envenimer la situation. « Oui maître je ferrais comme bon vous semble » « Parfait, j’ai hâte de te voir. Ne t’inquiète pas, je suis sur que personne ne sera dans les escaliers a ce moment là, et de toute façon s’il y a un problème je serais la. Bon sur ce dors bien et sois en forme pour demain! Bises ».
Sans m’en rendre compte, j’avais bandé sec. Comment pouvais-je bander dans une situation pareille? En fait j’aimais beaucoup ce jeu, être travestis dans un lieu public sans que personne ne puisse me voir, en y repensant, il y avait un coté excitant. Je coiffa ma perruque puis alla dans mon lit en repensant a ma condition et m’endormi rapidement car la séance de ce soir m’avait comme d’habitude bien fatigué. Jeudi matin, environ 6h50. DRIIING DRIING! J’ouvre les yeux, le cœur battant fort, je suis en stress total! Je décroche nerveusement. « Allo! » « Bonjour ma putain, je suis en bas, habille toi et viens m’ouvrir. Tu as 15 minutes, a tout de suite! »Clic. Sa y est, le moment est arrivé. Je saute de mon lit encore chaud et la vision embrumé. Je vais dans mon placard, sors un string rose à dentelle et ma perruque bien coiffé. Je met mon corset rapidement, me regarde dans ma glace, ajuste un peu ma tenue, mes cheveux et je colla mon oreille à la porte… Pas de bruit… *En même temps il est 7h moins 10, les gens ne sont pas encore réveillé* Je sors et ferme ma porte. Je marche doucement, j’essaye d’écouter le moindre bruit suspect, repérant les possibles cachettes. Je descends les escaliers froids. Par chance dehors il fait encore bien nuit, voila une fois ou j’ai vraiment apprécié d’être en hiver. Le froid me fait déclencher la chair de poule. Je descend un étage, plus que trois. Je m’imaginais si quelqu’un surgissait à cet instant en me voyant dans pareille tenu. J’accéléra le pas et je vit enfin mon maître à la porte d’entrée vitrée attendant que lui ouvre. Il me souriait, voir que je lui avais obéi devais sûrement l’exciter. J’ouvris et dis bonjour à mon maître en étant encore un peu à l’ouest. « Bonjour ma petite, oh mais que tu es joli. Regarde moi ça, tu acceptes de venir m’ouvrir comme ça, quelle bonne soumise j’ai ma parole, allez, montre moi ton appart qui va nous servir de maison close ». Il était vêtue d’un cuir noir un peu délavé, d’un jean noir également, et d‘un sac de sport. Il sentait la fraîcheur et le parfum très masculin. Ca m’excitait…mais j’étais toujours angoissé. Il me demanda de passer devant lui. Je suis sur qu’il mata bien mon cul lors de la montée, mes petites fesses se dandinant au gré des marches. Il ne manque pas de me peloter un peu, ce qui me fit sursauter. Arriver enfin dans l’appart, je ferma la porte et poussa un soupir de soulagement. La chaleur de la pièce me rassura. Il me tendit son cuir et j’alla l’accrocher sur le porte manteau, bien docilement. « C’est bien chez toi, ça sera notre petit lieu de baise et de correction. Je n’en reviens pas, il y a une semaine tu n’aurais jamais descendue les escaliers en petite culotte pas vrai? Mais avoue que sa ta fait grossir ton petit clito hein? En tout cas j‘étais très content et fière de toi. Tu as été courageuse. Tu n seras pas déçu». « Oui maître j’ai trouvé cela très amusant. Merci maître » La matinée allait débuter.
