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L'étudiante chocolat

Chapitre 1

Erotique
Cette histoire s’est passée il y a quelques années maintenant. Mon prénom est MAXENSE. A l’époque je venais juste d’avoir 30 ans et en ce samedi ensoleillé d’avril je décidais d’aller prendre un café en terrasse afin de profiter au maximum des rayons du soleil.
L’hiver de mes 30 ans n’avait pas été très simple pour moi. Sans m’en rendre compte j’avais cumulé des relations sentimentales désastreuses comme un collier de perle. Je doutais de moi, du choix de mes compagnes. J’avais le chic pour tomber sur le même genre de femme. 25-30 ans, jolies mais le savant d’où extrêmement capricieuse ou plus simplement « chiante ». Je le savais rien quand les regardant, leur façon de s’habiller mais c’était plus fort que moi j’y allais quand même. Il fallait que cela change. L’expérience devait m’apprendre à regarder au-delà du simple physique. J’avais envie d’autre chose que ces bimbos interchangeables intéressé seulement par leurs nombrils.
A cette heure matinale les rues commençaient tout juste à s’animer, les commerçants arrivaient au fur et à mesure, les parents emmenaient leurs enfants…avec ce premier soleil beaucoup de femmes avaient ressorties leurs jupes des placards et je m’en réjouissais, j’avais droit au plaisir des yeux quand même.
Sans m’en rendre compte je vis apparaitre devant moi une jeune femme au teint chocolat. — Vous avez l’air de vous ennuyer, je peux prendre un café avec vous?
Son petit accent des îles était un vrai rayon de soleil à lui tout seul. En d’autres circonstances j’aurai sauté sur l’occasion mais là j’étais plutôt contrarié par sa démarche mais bon un café ça n’engage a rien alors je bégayai un pauvre oui.
Heureusement pour moi je m’aperçus vite qu’elle ne cherchait pas une rencontre sentimentale mais plus a briser sa solitude. Elle s’appelait Mélia, avait 23 ans, venait du MALI et était arrivé en France depuis 2 ans pour faire ses études. Elle débordait d’enthousiasme, voulait tout connaitre de la France. Cette rencontre devint agréable, son enthousiasme était communicatif. Elle me faisait voyager en me parlant de son pays avec tant d’amour et de passion. Elle ne devait pas repartir au MALI avant la fin de ses études et cela lui pesait. Avec tout ça j’en avais oublié mon rendez vous professionnel et la quittais précipitamment. N’ayant pas de téléphone, (je sais comment est ce possible a notre époque) on se donna rendez vous le lendemain matin même heure.
Ma journée se passa bien. Mes rendez vous s’enchainèrent. Mon travail avança, une chose qui marchait bien au moins. Je ne pus cependant enlever le visage de Maila de mes pensées. Son enthousiasme avait rechargé mes batteries et j’attendais avec hâte cette deuxième rencontre.
Le lendemain matin, je la vis arriver de loin cette fois ci. Sa silhouette fine et cambrée, ses longs cheveux noirs faisaient détourner le regard de beaucoup d’hommes et je la vis d’un autre œil. Elle était très belle, naturellement belle. J’avais remarqué ses yeux marron et la finesse de son visage, me disant en moi-même que les étudiants français avaient de la chance.
Notre deuxième rendez vous se passa comme le premier. Elle parlait beaucoup, son enthousiasme toujours au rendez vous.
Ces rencontres devinrent régulières. Le hasard en décidait maintenant. On pouvait se voir 3 à 4 jours d’affiliés ou ne pas se voir pendant 1 semaine. A force cependant on se connaissait mieux, elle me savait un peu coureur et moi je la savais plus timide que sa joie naturelle ne le laisser paraitre au premier abord. Ses relations amoureuses n’avaient pas été beaucoup plus glorieuses que moi. Elle n’en avait connu que 2 et je me demandais même si elle n’était pas encore vierge.
Avec le temps, la confiance s’installa entre nous. Je devins son confident et inversement. Et puis au bout de quelques semaines, de confident je devins son amoureux.
Notre premier baisé fut comme un effleurement que je n’oublierais jamais. J’avais l’impression de redevenir étudiant. Le deuxième baisé arriva vite, suivi du troisième… nos bouches ne se quittaient plus, nos mains non plus.
Sans suit une période romantique et malgré mon envie, nous n’étions pas encore des amants.
J’allais la voir régulièrement dans son appartement mais lorsque je voulais aller plus loin un blocage s’opérait en elle ce et me faisait faire machine arrière immédiatement. Par le dialogue elle m’avoua que ses précédentes relations lui avaient laissé une mauvaise expérience de la sexualité et un blocage s’était installé. Sa sexualité était synonyme de douleurs et non de plaisir. Ne voulant pas la brusquer je décidais de ne plus la pousser à franchir ses limites pour l’instant. J’avais eu ma dose de sexe avec des femmes bien moins intéressantes. Seul Maila avait vraiment donné son sens au mot amour et coup de foudre.
En cette fin de weekend j’allais comme d’habitude repartir chez moi quand Malia vu l’heure tardive me proposa de passer la nuit dans son clic clac à une seule condition « pas de sexe ». Impossible de refuser cette proposition mais je décidais de la mettre a mon profit tout en respectant ma parole. Je devais essayer de changer son image des hommes et de la sexualité.
Une fois la lumière éteinte je décidais d’entrer en action. Mes mains commencèrent par sa nuque. Un petit massage pour la détendre. Et puis lentement je descendis le long de son dos, caressant ses hanches, ses fesses. Ma bouche pris le même chemin. J’adorais sa peau, sa texture, son odeur. Je la sentais réagir à mes caresses par de petits frissons. J’étais sur la bonne voie. Je la retournai tout doucement, l’embrassa puis mes mains se penchèrent sur sa poitrine, son ventre, ses jambes, l’intérieur de ses cuisses. J’effleurai son intimité. Ses petits gémissements me confirmèrent que mes caresses faisaient leurs effets. Pendant de longues minutes je la massais, la caressais, l’effleurais. Mes mains et mes lèvres parcouraient son corps. Je sentais la situation me dépasser et ne voulant pas aller plus loin pour l’instant je décidais d’y mettre un terme par un baisé langoureux. Nous avons passé la nuit l’un contre l’autre. Le lendemain matin je l’ai laissé dans les bras de Morphée, sa nuit avait du être difficile et c’était entièrement de ma faute je l’avoue.
La semaine passa comme si de rien était. Nous échangions des sms en attendant de nous revoir le week-end prochain. Le samedi soir arriva. Je quittais mon travail et pris ma voiture direction l’appartement de Maila tout en repensant a notre dernière nuit ensemble.
Devant sa porte mon anxiété devint plus forte. Mon petit stratagème avait pour unique but de la débloquer mais il aurait pu tout autant la braquer et l’éloigner. La porte s’ouvre, mon cœur palpite, elle m’embrasse tendrement, longuement, je ne peux m’empêcher de caresser ses hanches puis ses fesses, elle aussi. Mes doutes disparaissent devant son sourire.
Elle m’a préparé un diner en amoureux. Devant cette quiche lorraine trop salé qui m’oblige à boire 1 litre d’eau nous rigolons de ses talents culinaires. Comme tout homme indigne je déploie le clic clac et m’étale dessus en regardant d’un œil distrait la télé pendant que Maila fait la vaisselle.
Elle est de dos. Son jean met en valeur la cambrure de ses fesses. Son T-shirt blanc met en valeur sa magnifique peau chocolat. J’imagine ses seins dans ce soutien gorges dont j’aperçois l’agrafe. C’est une vraie invitation au plaisir. J’en envie de lui faire l’amour. Tout mon corps la réclame. Je me lève, m’approche d’elle. Mon corps se plaque contre le sien. J’embrasse tout doucement sa nuque, pose mes mains sur ses hanches. Comme si de rien était elle continue à faire la vaisselle. Agacé je me plaque encore plus sur elle, mes mains remontent jusqu’à sa poitrine, elle frissonne, se retourne avec un grand sourire, m’embrasse avec gourmandise, « cette fois ci tu ne me feras pas le coup de dimanche».
Très vite nous nous sommes retrouvés sur le clic clac. Je lui enlève son T shirt, son soutien gorge pendant qu’elle m’enlève ma chemise et mon pantalon. Nos lèvres sont collées l’une a l’autre, nos mains parcourent nos corps. Par un instant de lucidité nous nous regardons dans les yeux et je vois son combat entre l’envie d’aller plus loin et sa peur d’aller plus loin.
Dès lors je décide de prendre l’initiative. Je la rassure, l’embrasse de nouveau, mes lèvres descende sur sa poitrine et m’attarde sur cette zone. Guidé par son plaisir je descends centimètre après centimètre en direction de son intimité. Dans le même temps mes mains remplacent mes lèvres sur sa poitrine pendant que ma langue se rapproche de sa culotte que j’enlève avec grand plaisir. Par cercle ma langue se rapproche puis s’éloigne de son intimité. Les gémissements de Maila deviennent plus intenses. Je passe ma langue sur son intimité. Dès lors je goute cette partie de son corps qu’elle ne m’avait jamais offerte. J’en avais rêvé. Je sens ses mains dans mes cheveux et l’intensité de son plaisir passe maintenant aussi par la crispation de ses mains dans mes cheveux. Son plaisir devient le mien. Ma langue joue de longues minutes avec son intimité. Je la sens troublé. Son sexe devient de plus en plus humide sous mes caresses. Son bassin ondule avec ma langue comme si elle la cherchait. Je sens son excitation a son paroxysme, son bassin se braque plus, elle a un orgasme.
Après quelques secondes ma bouche abandonne son intimité pour remonter vers la sienne. Tout en s’embrassant je veille a ce que nos sexes s’effleurent. Ses mains descendent le long de mon corps pour s’attarder sur mes fesses. C’est le signal que j’attendais. Avec une grande douceur mon sexe pénètre son intimité. Tout doucement je m’introduis en elle guidé par la pression de ses mains sur mes fesses. Parfois je pars pour mieux revenir toujours guidé par elle. Je sais que ce moment est encore plus important pour elle que pour moi. Et puis au fur et à mesure mon sexe prend possession du sien, je la sens heureuse, excité. Elle lâche prise, s’abandonne. Ses baisés sont plus langoureux et passionnés. Ses doutes, ses peurs disparaissent. Nos corps sont en harmonies, la cambrure de nos corps, nos cris sont plus fort et suivent le rythme de notre désir. Proche de l’extase je décide de la pénétrer plus doucement. Ses mains lâchent mes fesses, (elles lui disent merci d’ailleurs), pour s’attarder sur le reste de mon corps comme si elle cherchait à me pénétrer a sa manière. Le temps semble s’arrêter. Je l’embrasse, rapproche mes mains de part et d’autre de sa tête et la pénètre plus sauvagement. L’effet est immédiat, ses mains agrippent fortement mes fesses augmentant ainsi mon plaisir. On se regarde droit dans les yeux. A chaque pénétration je sens son plaisir, je vois son plaisir, je vais plus vite, plus loin, nos respirations deviennent haletante, ses mains plus raides, nos sens sont a fleurs de peau, je sens son bassin bouger et accompagner ma pénétration, je ne lui fais plus l’amour, on se fait l’amour, c’est bon, très bon, je vais jouir, elle le sent, m’embrasse, ca y est j’éjacule, son bassin bouge en même temps que moi.
Nous nous enlaçons, exténué, heureux mais exténué. Je me couche à coté d’elle soufflant comme si j’avais parcouru 100km. Après quelques instants, nos respirations deviennent normales. Maila me regarde avec un sourire et me dit «a la douche et au lit mon chéri, demain il pleut alors j’espère que tus es en forme car j’ai du temps à rattraper». Elle s’en va en direction de la salle de bain. Je souris bêtement comme un enfant rassasié. Je regarde encore son corps nu en me disant mais pourquoi attendre demain alors que la nuit ne fait que commencer...
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