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Eva

Chapitre 2

Hétéro
*** Partie 2 ***Première sodomie
La semaine qui suivit fut beaucoup plus calme. J’étais assurée d’obtenir un trimestre correct, grâce à mon prof de maths. Le conseil de classe avait lieu dans quelques jours, j’avais l’esprit désormais tranquille. Bien sûr, je n’avais parlé de mes actes avec personne. Ce n’était surtout pas le genre de choses qu’il fallait afficher. D’abord parce que j’étais mineure et que mon prof risquait la prison, ensuite parce que je n’avais pas envie de perdre mon bonus.Mais j’étais bien naïve, et j’allais m’en apercevoir la veille de ce fameux conseil de classe.C’était le dernier cours de la journée, le dernier avant le résultat trimestriel. Nous attendîmes devant la porte de la salle, quand notre prof de maths arriva. Il nous ouvrit et nous demanda d’entrer. Nous nous assîmes sur les chaises, mais notre prof fit un geste avec sa main.— Inutile de vous asseoir, le cours est annulé.Cris de joie dans la classe. Le prof attendit que le calme revienne pour continuer sa déclaration:— J’ai deux, trois choses à faire, je ne peux vous garder ici. Alors vous êtes libre! Vous pouvez sortir.Juste avant que les premiers élèves ne se lèvent, il tourna la tête vers moi et dit:— Eva, viens me voir à la sortie.Je restais assise tandis que tous mes camarades se précipitèrent vers la sortie. Une fois le dernier sorti, il ne restait plus que mon prof et moi dans la pièce.— Approche, me dit mon prof.Je me levais et me dirigeais vers son bureau. Je lui demandais:— Qu’y a-t-il, monsieur Morange?Il ne répondit pas tout de suite, trop occupé à me mater. J’avais choisi un jean moulant, aujourd’hui, qui mettait bien en valeur mes fesses rebondies et mes hanches sexy. Quant au haut, un petit T-shirt moulant m’avait plu.Toujours assis, mon prof leva son regard vers le mien et, avec un sourire, m’expliqua:— Je ne suis plus très certain de vouloir te soutenir au conseil de classe, demain. Je ne vois pas pourquoi je ferais une chose pareille, alors que je n’ai pas eu grand chose en retour…Avec l’une de ses mains, il caressa doucement ma jambe. Je compris instantanément où il voulait en venir, mais cela ne m’enchantait guère sur le coup.— Monsieur, je ne peux pas faire ça… Ce n’est arrivé qu’une fois, et puis vous l’avez dit, c’est dangereux et illégal…— J’ai changé d’avis.— Oui, mais…Il se leva, me faisant face. Sa main remonta vers mon ventre, puis ma poitrine. Il caressa doucement mes deux gros seins.— T’as vraiment de très beaux nichons, jeune fille.— S’il vous plaît, monsieur Morange…
Devant mon refus, il cessa de me tripoter. Il me fit remarquer alors:— Tant pis, je te plomberais au conseil, et tu pourras dire adieu à ton trimestre.— Non! criais-je.Il eut un rictus machiavélique.— Alors laisse-moi te plomber ta petite chatte de salope, là maintenant, et je sauverai ton trimestre!Je sentis des larmes couler sur mes joues devant tant de méchanceté, mais il m’avait posé un ultimatum et c’était à moi de choisir. Malheureusement, il me fallait un appui pour le conseil et c’était le seul prof qui accepterait de me soutenir. Apparemment, il me fallait me vendre une fois de plus pour obtenir ceci… Soit, et tant pis pour mon innocence de jeune fille.Je fis semblant de réfléchir un instant, puis séchant mes larmes de mes mains, j’hochais la tête en signe d’acceptation.Immédiatement, mon prof recommença à me caresser les seins et les fesses. Il déboutonna mon jean et le baissa, faisant apparaître mon petit string rose à ses yeux. Il me tourna dos à lui, puis enfonça quelques doigts dans ma chatte et mon anus. Je gémis de douleur lorsque son doigt perfora ma rondelle.Puis il prit mon T-shirt et m’aida à le retirer. Il laissa en place mon soutif, mais fit sortir mes seins de leur bonnet. Il pinça violemment mes tétons. Je criais de douleur.— Haa, ça fait mal, vous êtes fou?— Suce moi, à présent.Je me tournai vers lui, juste à temps pour voir qu’il venait d’enlever son pantalon et avait sorti son incroyable mandrin. Je me mis à genoux et attrapais l’objet de mes rêves.— Allez, Eva, ouvre la bouche!J’entourai son gland de mes lèvres pulpeuses, et commença à lui pratiquer une fellation, qu’il, j’espère, trouva intense.Comme la semaine dernière, je me retrouvai à genoux, l’énorme bite d’un prof quadragénaire dans ma bouche, et m’en délectant. Mes instants de femme en chaleur revinrent et je commençais à prendre plaisir de la monstruosité de chair que je suçais goulûment. J’essayais d’être positive, cela aurait pu être pire: mon prof aurait pu être plus vieux, moins costaud, moins beau et avoir une toute petite bite. Heureusement, ce n’était pas du tout le cas, et c’était un mâle comme beaucoup de femmes l’espéraient.Je pompais activement mon professeur, sa bite entrait et ressortait régulièrement de ma bouche, et commençait à être recouverte de bave. Ce qu’il trouvait excitant, apparemment.Il attrapa soudainement mon crâne avec ses mains, et donna quelques coups de bite dans la bouche, me forçant à l’avaler plus profondément. Je le laissais faire, excitée. Je posais mes mains sur ses cuisses musclées, préférant suivre son sexe de son mouvement de va-et-vient.Pendant qu’il me baisait la bouche de son gros tube, il lançait parfois quelques remarques du style:— T’as une bouche de suceuse, poupée!— Quelle gorge profonde, ma jolie!— T’es une belle salope, t’aimes bien te vendre à ton prof, hein?Ses vulgarités augmentaient mon excitation, même s’il n’avait pas tort dans le fond: je vendais mon corps pour quelques bonnes notes, c’était pire que les prostituées qui le faisaient pour de l’argent, elles au moins.Parfois, mon prof me forçait à avaler sa pine entièrement, ma tête et mon visage se retrouvant contre ses poils pubiens et le bas de son ventre, sa grosse bite bien ancrée dans ma gorge. Et à chaque fois qu’il relâchait la pression, je ne pouvais résister à cracher sur le sol une grosse quantité de bave.Au bout de longues minutes de fellation forcée, il finit par me lâcher le crâne. Il me fit mettre debout et prit mon string à une main. Là, il tira de toutes ses forces le déchirant net.— Heee, ça va pas? lui criais je. Ca coûte cher, les sous-vêtements!— Ta gueule!Il s’assit sur la chaise, et m’ordonna:— Viens t’asseoir sur ma bite, salope.Je m’approchais et enjambais ses cuisses. Là, je me positionnais de telle sorte que ma chatte était juste au dessus de son effroyable membre. Je m’embrochais moi-même seule sur son mandrin épais.Une fois sa bite entièrement entrée dans mon vagin, je laissais échapper un gémissement mêlé de plaisir et de douleur à la fois. Mon prof m’attrapa par les hanches et je me mis à gesticuler sur lui.Nous commençâmes alors à baiser. Je faisais sautiller mon corps sur sa pine, pour qu’il puisse me ramoner la chatte sans souci.Au bout de quelques minutes je me mis à jouir, son pénis parfait pour ma chatte. Mes seins, retenus par mon soutif que mon prof n’avait pas dégrafé, bougeait au même rythme que mon bassin. Mon prof remontait parfois l’une de ses mains pour les caresser.Nous alternions régulièrement les mouvements; une fois, c’était mon prof qui instaurait le rythme, en me donnant des coups puissants et directs. D’autre fois, c’était moi qui sautait sur son sexe et me laissait m’embrocher seule.Après de longues minutes à me baiser ainsi, mon prof sembla en avoir marre de la position. Il me demanda de me lever. Puis il me poussa sur le bureau. Je tombai dessus, dos et fesses contre le bois froid. Comprenant immédiatement la situation, j’écartais les jambes au maximum et lui dis: — Prenez moi encore!Il prit fermement mes jambes, les écartant encore un peu plus, puis plaça son sexe sur ma vulve. Il donna un violent coup de boutoir et m’enfila de nouveau.Mon prof me prenait sauvagement sur la table. J’avais les jambes bien écartées pour accueillir son sexe épais en moi. Mon amant était vigoureux et plein de fougue, chaque coup qu’il me mettait au fond de mon vagin me faisait jouir. Il ne se lassait pas, au contraire! Sa fougue grandissait minute après minute. Son but était clair: ramoner chaque centimètre carré de mon vagin. Et l’objectif était atteint depuis un moment.Mon prof profitait parfois de la position pour broyer mes seins dans ses grosses mains. Je rajoutais quelques gémissements au passage.Que dirait mes amies, ou pire, mes parents, s’ils me voyaient prise par mon professeur de mathématiques pour augmenter sa moyenne et obtenir son soutien au conseil de classe? Ils seraient probablement choqués ou honteux, c’est certain. Heureusement que ce secret le restait vraiment.Patrick Morange décéléra après de longues minutes à me tringler dans cette position. Il finit par se retirer de moi et il me demanda de me mettre à genoux.J’obéis et il me présenta son sexe. J’ouvris la bouche et le suça une nouvelle fois. J’entrepris de le pomper férocement, voulant aspirer son sexe dans ma gorge. Je le branlais régulièrement aussi. Il entama quelques temps une séance de gorge profonde, en tentant de me faire vomir une ou deux fois, mais je me retins.Après l’avoir sucé, il me fit remettre debout. Il me fit prendre appui contre le bureau, les fesses vers lui. Il attrapa mes hanches et glissa son sexe dans mon vagin déjà bien attaqué aujourd’hui. Il me pénétra de nouveau et recommença à me tringler follement.Il me prenait de la même façon qu’hier, moi appuyée sur le bureau, mes fesses contre son ventre, les seins ballottant légèrement vers l’avant.Je me remis rapidement à jouir de ses coups de pines. Sa grosse bite remuait vite et bien dans mon vagin, il me faisait un bien fou.— T’aimes ça, ma petite salope, hein?Choisissant de répondre, je m’exclamais entre deux cris de jouissance:— Oui, j’aime votre bite! Baisez moi encore!Il accéléra son mouvement, me procurant davantage de plaisir.Pendant ce temps, il caressait mon dos, mes fesses ou mes seins de ses grosses mains viriles. Il s’attarda plusieurs fois vers mon anus, qu’il chatouillait de ses doigts, augmentant encore mon plaisir. Je lâchais en revanche un petit gémissement de douleur quand il y enfonça son majeur. Il le remua à l’intérieur de mon rectum, me faisant grogner ma souffrance.— C’est serré ici! me fit-il remarquer.Il donna quelques derniers coups de bassins puis retira son sexe de ma chatte. Je le sentis le placer contre mon anus. Totalement paniquée, je lui criai:— Non, pas par là, vous êtes trop gros, et…— T’es vierge du cul, j’avais compris, Eva.Il m’attrapa de nouveaux par les hanches et enfonça son gland dans mon rectum.Paralysée par la douleur, je ne pus répondre ni même émettre le moindre son. Mon prof avait entré son gland dans ma rondelle, et il forçait le passage pour faire rentrer le reste. Il lui fallut quelques secondes pour enfoncer son pénis entièrement dans mon cul. Une fois fait, il se pencha vers mon oreille et me chuchota:— Ben maintenant, tu ne l’es plus, jeune pute!Il fit alors le chemin en sens inverse et finit par retirer son sexe de mon anus. Je pus reprendre ma respiration, grâce à ce répit, mais je n’eus guère le temps de me reposer. Il replaça son engin contre mon anus et le pénétra de nouveau, cette fois-ci un peu plus brutalement.Je lâchai cette fois un cri.— La ferme, ou on va nous entendre!Je fis de mon mieux pour éviter de lâcher des sons, mais c’était plus fort que moi.Mon prof commença un mouvement de va-et-vient dans mon cul. C’était ma première sodomie, et c’était extrêmement douloureux.Heureusement, conscient de mon inexpérience de ce côté-là, mon prof ne fut pas trop violent. Il donnait des coups de bite moyens, sans trop me défoncer l’anus. Néanmoins, j’avais affreusement mal, la douleur et les sensations étaient nouvelles pour moi.Lorsque je m’étais levée ce matin, je n’avais pas pensé que j’allais baiser de nouveau avec mon prof de maths, et encore moins à ce qu’il ne me prenne ma virginité anale. Mais c’était fait, désormais, et quitte à la perdre, je préférais que ce soit avec un beau mâle doté d’une grosse pine plutôt qu’une petite bite d’un jeunot de mon âge. Par contre, la douleur aurait été beaucoup moins forte.Mon prof continua de me sodomiser quelques minutes, mais à sa manière d’accélérer ses mouvements, je compris qu’il était sur le bord de la jouissance. Et ce qui devait arriver arriva.Mon prof poussa un râle de bonheur et s’arrêta soudainement, ancré dans mon rectum. Je sentis son foutre envahir mes intestins et mes remplir comme une bonne chienne. J’aurais aimé jouir, mais j’avais bien trop mal pour cela, ce que je regrettais.Je sentais le liquide chaud couler dans mon anus, je trouvais ça agréable, malgré la douleur de sa pine éclatant ma rondelle. Puis quand il eut terminé, mon prof retira son mandrin, m’arrachant un gémissement de douleur au passage.Je m’effondrais sur la table, fatiguée et le cul assez douloureux. Ma première sodomie avait été rapide, mais intense.Mon prof me caressa les cheveux et me dit:— Bonne chienne! T’as un cul parfait.Je me relevais et me tournais vers lui.— Rhabille-toi, il ne faut pas qu’on nous trouve là.J’obéis, et en m’apprêtant à sortir de la salle, il me lança:— T’auras tout mon soutien pour ton conseil!Je souris et le remerciais.Je sortis de la classe, chamboulée et endolorie, mais heureuse: d’abord parce que ma moyenne était sauvée, ensuite parce que j’avais pris plaisir à baiser une nouvelle fois avec Patrick, et enfin parce que je n’étais plus verge du cul, même si cela avait été une épreuve difficile.Fort heureusement pour moi, je n’eus guère trop mal à l’anus et je pus marcher tout à fait normalement, mon prof avait été très correct avec ma rondelle. La sodomie n’était pas si terrible que ça, finalement!Je rentrais chez moi, le cœur léger, mais les fesses usées. Un nouveau trimestre commençait et j’étais assurée de continuer sur une voie un peu meilleure.
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