Eve3 Dans les jours qui suivirent la relation charnelle que j’avais eu avec Eve, la femme enceinte de mon fils, nous nous téléphonions pendant des heures et échangions des messages sulfureux.Je me décidais enfin à aller voir Benjamin. Je savais qu’il ne travaillait pas ce jour là aussi, ai-je posé une journée de congé.Sa voiture était garée devant chez lui quand j’arrivais. J’ai sonné plusieurs fois avant qu’il ne vienne m’ouvrir la porte. Il était rouge de confusion et je constatais qu’il bandait dans son jogging. Je suis entré et il m’a proposé une bière en bredouillant. Je ne savais pas comment aborder le sujet, tout à coup j’entendis dans les hauts parleurs de l’ordinateur une voix mâle autoritaire:« T’es où salope ? Continue à danser, sale pute ! ».Sur l’écran, on voyait une bite énorme que branlait par son propriétaire.Benjamin ne savait plus où se mettre et me regardait complètement désespéré. J’ai prétexté devoir aller aux toilettes pour qu’il puisse s’arranger avec son interlocuteur.Quand je suis revenu, j’ai fait semblant de n’avoir rien vu, ni entendu et mon fils m’en remercia d’un regard. Il avait coupé le chat qu’il avait, probablement, avec son ami Christophe. Ainsi Eve avait raison, il ne passait pas leur temps à jouer aux jeux vidéo. Après avoir trinqué, Benjamin se détendit et me proposa même de regarder un film ensemble.« Comme, j’ai remarqué que tu aimais bien le film, l’autre jour, je vais t’en montrer un autre si tu as le temps, tu veux ? »« Euh, oui … »Ce n’était pas le film que j’avais apprécié, mais plutôt de caresser le sexe de ma belle fille. Je me sentais totalement hypocrite en acceptant sa proposition.Il brancha son disque dur et se pencha en avant. Je vis alors qu’il portait sous son sweet-shirt une nuisette de femme et des jarretelles. J’en fus troublé de voir son dos dans du nylon transparent. Il choisit un film et le lança avant de venir s’asseoir près de moi. C’était l’histoire d’une femme se faisant cravacher par un grand type cagoulé et tout en cuir. La femme geignait à chaque coup mais attendait le suivant avec impatience. Ses larmes coulaient sur son maquillage.« Ouh là là, il fait chaud ! »Déclarais-je, allumé que j’étais par ces images.J’ouvris deux boutons à ma chemise pour m’aérer un peu. Je sentais que Benjamin regardait mon entrejambe pour y déceler un début d’érection de ma part. Il ne se trompait pas. Je lui dis : « Tu sais, j’ai vu que tu portes autre chose sous ton jogging. Tu peux te mettre à l’aise si tu veux ! »Il baissa rapidement son pantalon et quitta son haut pour découvrir sous son déshabillé, une guêpière, une culotte de dentelle et des bas. Il allait enfiler ses charentaises mais je lui fis remarquer que c’était moche. Il retourna près de son ordinateur et se pencha pour prendre une paire d’escarpins qu’il enfila. Je n’avais rien perdu de son déhanchement féminin, ni d’observer toutes les parties de son corps qui s’accommodaient bien de ces sous vêtements de femme.
Il revint près de moi et se nicha au creux de mon épaule. Je le tenais comme mon enfant de cinq ans. A l’écran, c’était un autre film mettant en scène un transsexuel bien membré et homme plus âgé qui le suçait.Ma main glissait dans son dos pour le câliner mais je m’aperçus que j’étais souvent sur ses fesses. Pris d’une singulière pulsion, je glissais mes doigts dans sa raie à travers sa culotte. Le contact de la dentelle était agréable. Il se serra un peu plus et se cambra pour que je poursuive mon investigation. J’ai sentis sa main sur mon sexe tendu et je l’ai laissé faire quand il a ouvert mon pantalon pour s’en saisir. Je lui taquinais l’anus et lui me branlait en me serrant fort la hampe. Il se pencha en avant et engoba mon gland puis me fit une fellation mémorable.J’avais écarté sa culotte pour lui glisser mon doigt directement dans l’anus. Il se laissait pénétrer avec plaisir. Il en voulait plus ! Il se releva et s’assit sur mon phallus pour s’empaler progressivement en me tournant le dos. La sensation était bizarre, je sodomisais mon fils et j’aimais ça. Il montait et descendait, glissant son fourreau sur ma colonne. Je lui pris la taille et le fis basculer pour qu’il se mette à quatre pattes. J’étais resté fiché en lui mais maintenant c’est moi qui prenais les commandes. Cette belle jeune femme que j’avais devant moi se laissait sodomiser par un homme de mon âge, c’était inespéré. J’y allais à grands coups quand il me dit :« Vas y, papa, plus fort ! »Pendant une seconde j’étais revenu à la réalité, mais un esprit bestial m’avait repris et je me déchaînais dans cet anus offert. Je n’avais jamais eu de relations homosexuelles auparavant et il fallait que cela soit avec mon fils. « Défonce moi, papa ! »Et j’y allais de plus en plus fort jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir et d’éjaculer en longs jets. Il appréciait sentir ma semence gicler en lui. Il m’a sucé pour me nettoyer, puis à refermé mon pantalon avant de marcher fesses serrées jusqu’à la salle de bain. Quand il est revenu, il était habillé en garçon. On s’est serré dans les bras familialement. Je lui dis :« Si tu aimes les vêtements de femme, j’ai ceux de ta mère dans une malle »« Oh ! Papa, comme c’est gentil ! Je passerai très vite ! »J’ai cru un moment qu’il voulait m’embrasser sur la bouche et lui ai tendu ma joue. Je l’ai quitté en lui faisant promettre de n’en parler à personne.« Ca sera notre secret, papa ! » Sur le chemin du retour, je m’interrogeais sur moi-même, je faisais un beau salaud en quelques jours. D’abord, je séduisais Eve ma belle-fille, puis j’enculais mon fils ! Eve m’appela vers dix-sept heures, elle souhaitait passer me voir au retour du travail, avant de rentrer chez elle. Quand elle arriva, j’essayais de cacher que j’étais soucieux, mais elle s’en rendit compte immédiatement. Elle insista longtemps et je finis par lui raconter les évènements avec son mari. Elle était contrite et elle ne répondait pas aux pressions que je faisais sur ses mains.« J’ai épousé un pédé qui se fait enfiler par son père ! »« Tu sais, Eve, c’était pour moi la première fois avec un garçon et ça s’est passé comme ça ! »« Je ne te reproche rien, Patrick ! Je préfère que ça soit avec toi qu’avec l’autre con ! »Ces mots clôturaient la discussion et nous nous sommes embrassés comme des amants.Son ventre m’empêchait d’être totalement collé à elle, toutefois, j’aimais son contact. En un mouvement, elle quitta sa culotte et s’allongea sur le tapis, jambes ouvertes sur sa chatte qui luisait déjà. J’ai à peine dégrafé mon pantalon que j’étais en elle pour lui faire l’amour avec une grande délicatesse. Elle appuyait sur mes fesses pour être profondément pénétrée, mais quand je butais sur son utérus, elle éprouvait de la douleur ce qui me faisait reculer. Je finis par trouver une bonne position pour lui faire plaisir. Elle aimait notre union et, pour la première fois, émit un petit cri lors de sa jouissance. Je restais en elle et coulissais lentement. Quand elle eut repris son souffle, elle me dit :« Fais-moi ce que tu as fait avec Benjamin ! »Je l’ai aidée à se relever et l’ai embrassée avant de la conduire à ma chambre. J’avais pris un tube de lubrifiant et quand elle fut à quatre pattes, je lui ai frôlé l’anus de mon majeur enduit de gel. Elle a tressailli et quand j’ai inspecté son petit trou de quelques millimètres, elle s’est contractée. Je l’ai rassurée et lui donnant quelques conseils.« Détends-toi, pousse comme si tu devais faire caca, je vais m’enfoncer lentement, si tu as mal, tu me le dis. »Petit à petit, je me suis enfoncé, puis retiré pour remettre du lubrifiant, j’allais de plus en plus loin et elle tolérait de plus en plus mon doigt inquisiteur que je faisais tourner pour bien couvrir son intérieur. Et j’ai mis un deuxième doigt et elle eut un mouvement de recul puis vint s’empaler d’elle-même. De ma main ‘sèche’ je caressais son dos et son ventre si doux. Elle avait glissé sa main pour flatter mon sexe et s’assurer des dimensions qu’elle allait bientôt recevoir. Le contact de sa main renforçait ma bandaison et devait l’inquiéter un peu plus, même si je ne suis pas hyper membré comme, ce que j’avais vu par écran interposé, du copain de mon fils.Je me suis placé derrière elle, et elle, attendait inquiète de la suite. Je m’étais badigeonné de gel et l’intromission fut relativement facile. Elle poussa un petit cri quand mon gland franchit son anneau. Je l’ai pénétrée très lentement, elle geignait :« Aie ! Non Patrick, arrête ! Non Patrick, continue ! Fais comme tout à l’heure avec Benjamin »Mes lents allers retours me faisaient m’enfoncer plus en elle. Et, progressivement, elle se laissa complètement aller à cette sodomie. Elle geignait de temps en temps quand j’y allais un peu plus fort, mais son fourreau s’était habitué à mes mouvements. La sensation était tellement délicieuse que je n’ai pas tardé à jouir et elle reçut tout mon foutre dans ses profondeurs.Je suis ressorti d’elle avec un petit bruit et me suis allongé près d’elle.« Ouh là là ! Ca fait mal, mais c’est une expérience nouvelle »« Tu vas finir par aimer ça, lui prophétisais-je »« Il faut que j’aille aux toilettes, j’ai un besoin pressant ! »Après ça, elle est repartie rapidement et quand j’ai retrouvé sa culotte dans le salon. Je l’ai disposée sur mon oreiller et j’en ai profité toute la nuit pour sentir ses effluves.
