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l'Eveil d'Adeline

Chapitre 2

Erotique
2ème partie
Cette relation n’était pas faite pour s’arrêter en si bon chemin. Après avoir passé un peu plus de temps ensemble, nous nous revîmes à lors d’une journée shopping en centre-ville. Adeline, dont la tenue se résumait à une courte jupe flottante, d’un top plutôt moulant et d’escarpins, se laissa guider vers un magasin présentant des dessous chics et sexy. Ma belle était définitivement féminine, mais je souhaitais compléter sa collection de sous-vêtement par quelques-uns de mon choix. En ce samedi après-midi, nous n’étions pas les seuls à venir faire des emplettes. Et bien qu’étant majoritairement composée de femmes, la clientèle comptait également quelques hommes. Je choisi pour Adeline un ensemble comprenant porte-jarretelle, tanga et un soutien-gorge rehaussant la poitrine sans en masquer les pointes. Ces tétons que je n’avais toujours pas vus nus m’avaient laissés un appétissant souvenir. Par pudeur, elle insista pour être seule lors des essayages. Le plaisir de la découverte sera donc pour plus tard.
Pendant que je patientais en retrait à l’entrée des cabines, regardant défiler des femmes de tous âges et corpulences, je remarquai de profil un homme seul, attendant près de l’une des cabines. Sa femme étant vraisemblablement en essayages il se mit à faire les quatre-cents pas le long de la rangée avant de s’arrêter brusquement. Intrigué, je compris en suivant son regard qu’il devait apercevoir l’une des femmes ayant négligemment refermé son rideau. Il fut cependant vite ramené à la réalité par la gifle de son épouse émergeant de ses essayages. Adeline sortant à son tour ne compris pas la scène. Mes explications la firent éclater de rire, mais ses moqueries se tarirent néanmoins quand je lui fis croire qu’elle était la cible de son voyeurisme. Elle me surprit à son tour lorsqu’elle me demanda s’il « avait aimé la vision qu’elle offrait ? ». Le fait d’être épiée par un inconnu ne la dérangeait-elle pas ? Je décidais d’en avoir le cœur net en lui demandant de retourner en cabine et d’en revenir cette fois sans aucuns sous-vêtements. Un sourire coquin aux lèvres, elle fit demi-tour.
Bien que n’ayant arpenté que peu de magasins, mon esprit n’était désormais plus à l’essayage de sous-vêtements mais obnubilé par les beautés peu couvertes de ma nouvelle compagne. Alors que nous nous promenions dans les rues, le vent léger semblait par à-coups vouloir se jouer de la tenue d’Adeline, menaçant de dévoiler ses charmes aux passants. A chaque bourrasque je la voyais s’affoler, tentant de maintenir le voile de sa courte jupe en place. Tout en lui tenant la main, je jetai un regard derrière nous. Un homme d’une cinquantaine d’années détourna rapidement le sien. Il ne devait pas perdre une miette du spectacle et de l’embarras de ma compagne ! Je souris à Adeline sans lui en toucher mot. Mon regard fut cependant attiré par sa poitrine. Sans la protection de son soutient gorge, ses deux mamelons s’exposaient obscènement à la vue et leur rougeur pouvait presque se deviner. Le tissu moulait parfaitement ces deux cônes gonflés. Il était impossible de les manquer. Alors que nous approchâmes du café ou je la conduisais, nous croisâmes un groupe d’adolescents adossés à un abribus. Leur conversation mourut lorsque les uns après les autres, ils remarquèrent l’opulente poitrine excitée d’Adeline, tressautant à chacun de ses pas. Une fois passé le groupe, nous entendîmes un sifflement suivi des rires. Le visage d’Adeline était cramoisi, le regard fixé au sol elle serrait son sac contre sa poitrine.
Nous atteignîmes la café nous nous assîmes de part et d’autre d’une petite table, en terrasse. Au serveur venu prendre nos consommations, je nous commandai deux cafés. Malgré l’humiliation ressentie lors de cet épisode, les mamelons d’Adeline n’avaient rien perdu de leur superbe. Assise sur sa chaise, les jambes croisées, elle restait silencieusement plongée dans ses pensées. Elle me regarda et me sourit enfin, alors qu’arrivaient nos cafés.
Je lui demandai maintenant de décroiser ses jambes, voulant constater l’absence totale de sous-vêtement. Elle obtempéra, mais les maintins cependant collées l’une à l’autre. Je cherchais son regard, mais ses yeux étaient rivés sur sa tasse vide. Glissant un pied entre ses jambes, je lui fis comprendre mon désir. Adeline écarta doucement ses cuisses jusqu’à ce qu’elle soit entièrement ouverte et offerte à mon regard. A la lumière du jour, sa vulve apparaissait rosée, légèrement empourprée, mais fermée. Sans en être certain, il me semblait cependant y distinguer une légère rosée à la commissure de ses petites lèvres.
Les passants et clients ne semblaient rien deviner de mon petit jeu et je commençais à le regretter lorsque j’aperçus une dame située à deux tables de la nôtre. Celle-ci avait les yeux rivés sur le sexe d’Adeline, la bouche entre-ouverte. Le faisant discrètement remarquer à ma douce, elle ne put s’empêcher de jeter un regard affolé vers cette femme qui, à ce moment seulement, détourna le regard de sa fente. De mes pieds, j’empêchais Adeline, affolée, de refermer ses jambes et maintenais sa vulve offerte aux yeux de notre voyeuse. Je prenais un certain plaisir à observer du coin de l’œil cette femme qui ne pouvait réprimer quelques regards désormais discrets. Elle devait être âgée d’une petite soixantaine d’année et était vêtue d’une tenue chic et élégante. Je caressai la jambe d’Adeline tandis qu’elle me continuait de me fixer de ses yeux écarquillés. Exhibitionniste peut-être, mais plutôt mal assurée pensais-je. Car bien que la situation paraissait la mettre mal à l’aise, son minou lui semblait aux apprécier de voir la lumière du jour. Il s’était ouvert et gonflé progressivement et les chairs étaient à présent délicieusement luisantes. Ses tétons pointaient fièrement et le visage pivoine d’Adeline complétait ce tableau hautement érotique. Notre voyeuse avait les cuisses serrées et de ma position je ne pouvais suivre ses mains. Mais ses regards dorénavant appuyés semblaient caresser les charmes de ma douce. Une goutte de son précieux nectar roula lentement le long de sa fente et termina sa course contre son anus, pressé sur la chaise. Après quelques minutes, décidai de stopper ce délicieux supplice. La prenant par la main, je l’entrainai hors de ce café. Le dos de sa jupe était marqué d’une auréole humide.

Cet épisode avait enflammé mon désir et il me fallait absolument soulager cette tension. Guidant nos pas à travers la vieille ville, nous atteignîmes une petite cours. Prenant Adeline dans mes bras et la plaquant contre l’une des fenêtres aveugles du rez-de-chaussée, je l’embrassai fougueusement. Tout son corps semblait vibrer sous ce baiser charnel. Son pubis frottai ma virilité dans de petits mouvements circulaires. Les lèvres pulpeuses de ma compagne attisaient ma passion alors qu’elle entreprit de me suçoter la langue. A deux mains, je lui saisis les épaules et la forçais à s’agenouiller devant moi. Les grandes pupilles dilatées d’Adeline me fixaient, agenouillée et prostrée contre le mur, elle n’en était que plus désirable. Je pris mon temps pour dénouer ma ceinture, ouvrir mon pantalon et libérer mon sexe raide. Adeline porta ses doigts à mon membre et entreprise de le caresser. Il gonflait encore lorsque, l’empoignant, elle dirigeât le gland pourpre vers sa bouche. Elle prit tout d’abord un malin plaisir à me tourmenter, me goutant avec hésitation, du bout du lange. Cependant ce premier contact déclencha un plaisir électrique. Mon membre sursauta et se dressa face à Adeline, animé de sa propre vie. Elle posa alors délicatement le bout de ses lèvres contre mon gland gonflé. Plongeant son regard dans le mien, elle commença alors à les écarter, avalant le bout de ma queue rigide. S’immobilisant une fois le gland englouti, je senti alors sa langue entamer une dance exquise. Chaque passage de son muscle était une délicieuse caresse. Cette douceur ne faisait cependant rien pour apaiser le violent désir qui m’enflammait et je sentais la tension monter au creux de mes bourses. Je plaçais alors mes mains de part et d’autre de son cou et saisi sa tête pour agrémenter ses caresses d’un mouvement de va-et-vient.
Rythmant notre ébat, ses caresses devinrent plus maladroites à mesure que j’accélérais la cadence. Ses joues se creusaient sous son aspiration, tentant de libérer le venin qui me consumait. Adeline glissât l’une de ses mains sous sa jupe et entrepris de se satisfaire. Un bruit de succion s’échappait de sa bouche lorsque je m’en retirais rapidement et j’entendais quelques gémissements étouffés ponctuer son œuvre. Sentant ma sève bouillir, je me retirai de sa bouche et pour prolonger ce moment d’extase, je plaquais sa bouche contre mes bourses. Elle se mit à les lécher et les gober telle la plus douce des gourmandises. Alors qu’elle les aspirait et jouait délicatement, ma queue tressautait sur son visage bientôt recouvert de traces de salive. N’en tenant plus, de ma main restée sur son cou, je lui plaquais de nouveau la tête contre le mur. Adeline, dont je voyais la main s’agiter frénétiquement sous les plis de sa jupe, me fixait, les yeux embués de plaisir. A genoux, prostrée contre ce mur, elle vibrait sous ses propres doigts et je lisais dans ses yeux la fièvre sexuelle qui l’agitait. Cette vision me fit perdre pied et je saisi mon membre éructant des premiers spasmes de l’orgasme. Les premiers jets incontrôlés l’attinrent au sommet du visage avant que je ne dirige les suivants entre ses lèvres charnues. Elle collecta ma semence qui se déversait copieusement. Noyant sa langue dans un flot blanchâtre, tandis qu’une vague de plaisir me submergeait. Le corps encore secoué par la puissance de l’orgasme, je forçais les dernières gouttes à rejoindre sa bouche pleine. Adeline me regardait dans l’expectative et je lui indiquais la bonne conduite en lui refermant la mâchoire. Ma chérie déglutie difficilement tout en me regardant de ses grands yeux. Ses lèvres étaient encore luisantes lorsqu’elle posa un dernier baiser sur mes bourses. Lui tendant la main, je l’aidai à se relever et essuyai son front. Après avoir réajusté sa tenue, nous retournâmes le cœur léger, arpenter les boutiques de la ville.
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