Salut à tous, je m’appelle Evelyne, j’ai 64 ans. Je suis encore bien conservée pour mon âge. Je suis petite, 1m58, je mets donc toujours des talons aiguilles pour me grandir un peu. J’ai de jolies jambes et de gros seins. Je n’ai jamais travaillé, mon mari ayant fait fortune dans l’informatique. Sa société est même rentrée en bourse ! Nous possédons une ile dans les Caraïbes au large du Venezuela. Mais ce n’est pas dans cette ile que j’ai connu ma 1ere séance de soumission.
J’étais seule dans notre maison, me préparant à sortir. J’en profitais pour me regarder une dernière fois dans la glace de ma chambre. J’avais enfilé une robe noire qui s’arrêtait juste au-dessus du genou dévoilant mes jambes gainées d’un collant satiné. Mes escarpins noir vernis aux talons fins allongeaient ma silhouette. La sonnerie de la porte d’entrée retentit et je descendis ouvrir la porte. Etonnée, je découvris un groupe de 4 jeunes filles âgée d’à peine 20 ans. Encore plus surprise, je reconnus parmi elles, ma petite fille Alexandra. Cela faisait plusieurs mois que je n’avais plus de nouvelle. Ma fille m’avait déjà expliqué qu’elle avait arrêté brutalement ses études et qu’elle fréquentait d’autres filles qui avaient formé une espèce de gang et avait déjà eu des démêlés avec la justice. J’étais quand même contente de revoir Alexandra et je les fis rentrée. Alexandra m’embrassa et me présenta ses copines. Elles portaient toutes un pantalon en latex et des bottines à hauts talons. J’ai servi un soda à tout le monde et je me suis assise sur une des chaises de notre salon, j’ai croisé les jambes et ma robe s’est un peu retroussée dévoilant mes cuisses. J’ai surpris plusieurs fois le regard des filles posées dessus et je me demande si elles ne seraient pas lesbiennes. Je me sens mal à l’aise en présence des amies de ma petite fille sans vraiment comprendre pourquoi. Je demande de ses nouvelles à Alexandra qui me dit qu’elle a arrêté ses études.— Ta mère me l’a dit et tu as tort, tu devrais les reprendre rapidement….Comment vis tu ?— Justement, grand-mère, ce n’est pas simple. Tu ne pourrais pas nous prêter un peu de fric, t’en a plein toi…Je suis outrée par ce que je viens d’entendre ! Voilà pourquoi elles sont toutes la ! Pour me soutirer de l’argent ! — T’as qu’à bosser ou revenir chez ta mère ! Si tu crois que je vais te donner le moindre centime, tu te trompes ma chérie ! Deux des filles se levèrent, se jetant sur moi en hurlant que j’étais une bourgeoise friquée et qu’il allait falloir leur donner ce que j’avais chez moi ! Je poussai un hurlement et tentait de me débattre ! Elles me lèvent de la chaise et me donne une gifle retentissante !— Tais-toi salope ! Une des filles me caressa les seins à travers le haut que je portais, les malaxant sans douceur….Une autre fille sortit tout un attirail d’un sac à dos qu’elle portait. On me lia les poignets dans le dos avec des menottes malgré mes ruades et mes cries. Ma propre petite fille s’approcha avec un regard mauvais et me fixa une espèce d’harnais sur le visage m’enfonçant une énorme boule en latex dans la bouche me déformant la mâchoire. Elle attacha le harnais autour de la tête. Je fus trainée vers la table du salon et fut courbée en avant. On me lia les chevilles et les poignets aux pieds de la table avec une corde. Je poussais des hurlements étouffés par la boule en latex. Je sentis qu’on soulevait ma robe exhibant mes fesses à la vue de mes tourmenteuses ! Je gigotais dans mes liens. Les insultes et les claques sur mes fesses tombèrent. Me faisant couiner de douleur…— Tu vas nous dire ou est ton fric, salope sinon on te tanne le cul !!! Alexandra déchira mon collant et m’arracha mon string. On lui tendit une cravache et elle me fouetta le cul me faisant hurler ! Les coups redoublèrent, mes fesses devinrent rapidement toute rouges. Je pleurais et reniflait. Des doigts fouillèrent ma chatte sans ménagement, on me titilla le clitoris. Je fus détaché et on me passa un collier en cuir autour du cou. On accrocha une laisse et on me força à trottiner sur mes talons aiguilles dans le salon sous les quolibets des filles. Me fouettant le cul…Elles me prennent en photos. Elles me forcèrent à m’allonger à terre. On me retira mon harnais.Une des filles s’agenouilla entre mes cuisses et me caressa en m’entrant un doigt dans la chatte. Un 2ème doigt rejoignit le premier et tout en m’aspirant le clitoris, la jeune fille me branlait de plus en plus vite. J’essayais de ruer alors une des filles se mit à califourchon sur mon visage après avoir enlevé son pantalon. Je sortis timidement ma langue léchant la vulve dégoulinante …Je commençais à mouiller …La fille, celle qui était dessus se retira et avec les autres, se mit à me caresser sur le corps, les seins, me pinçant les tétons. J’avais la bouche ouverte et gémissait doucement, puis mes cris devinrent de petits cris de jouissance. Deux autres filles vinrent me caresser, me pénétrant de leur doigts, une d’elle entra même l’intégralité de sa main dans la chatte, me fistant et me faisant hurler… On m’allongea à terre dans une position inconfortable. Les poignets liés aux chevilles exhibant ainsi ma fente sans pudeur. On déchira mon haut et on baissa les balconnets de mon soutient gorges. Mes seins furent de nouveau malaxés, on les triture, on les lèche, on me mordille les tétons….On fouette mes mamelles avec la cravache puis on donne des petits coups sur ma fente me faisant sursauter ! Elles sont complétement exciter, hystériques, elles crient comme des furies, me hurlant de leur donner du pognon. Je pousse un petit gémissement. Une de ces folles s’approcha de moi, un gode aux diamètres impressionnant à la main, Elle positionna le faux gland sur ma chatte et poussa. Je les suppliais d’arrêter mais le gode prit possession de mon intimité cm après cm. Elle agita le gode à toute vitesse dans mon intimité. Alexandra me triture le clitoris de ses doigts en même temps…— Elle est trempée la salope, elle commence à aimer ça !Et c’est vrai ! Ce viol sauvage commence à ne pas me laisser indifférente ! On m’enfonce un autre gode dans la bouche exigeant que je le suce !! J’obéis, soumise, léchant le gode comme un sexe d’homme. L’autre fille agite le gode dans ma chatte comme une folle…J’eu soudain un orgasme qui me fit hurler de plaisir sous les applaudissements de mes violeuses….
On m’installe à quatre pattes au milieu du salon. Ma petite fille et ses copines ont toutes fixés un gode ceinture autour de la taille. On m’agrippe les cheveux et on m’oblige à sucer un gode énorme m’étouffant à moitié, je salive dessus en grognant. Alexandra m’agrippa les hanches, me pénétra et se mit à me besogner à grands coups de reins me limant brutalement. Mes gros seins ballottent dans tous les sens… Je gémissais et elles décidèrent de me retourner et de me prendre en sandwich. Quand le gode pénétra mon anus, je couinai mais les filles s’en fichaient et elles me limèrent en cadence, m’arrachant des cris de souffrance et de jouissance mêlées. Les filles se retirèrent. Cela dura des heures, elles me défoncèrent toutes chacune leurs tour ! J’eu plusieurs orgasmes… Je fus même enculée par Alexandra qui me fit hurler de plaisir en me défonçant comme une chienne. Finalement, je leur donnais une grosse somme d’argent pour qu’elle me laisse. Elles partirent m’abandonnant pantelante sur le sol de mon salon.Ce fut ma 1re expérience de soumission, j’en ai connu d’autres par la suite avec d‘autres personnes, aussi bien des hommes que des filles. Même sur mon ile, j’ai eu droit à une sacrée séance de baise sauvage. Si vous le souhaiter, je reviendrais vous les raconter….