Je me présente: Marc, 17 ans, brun, yeux marron, assez grand, pas trop de réussite avec les filles, je suis juste sorti avec une fille assez moche pour dire... Je me contente des sites pornographiques sur internet en attendent mieux. J’habite avec ma mère, mon père Louis est décédé il y a de ça 5 ans, à l’âge de 45 ans d’une crise cardiaque. Il n’a pas souffert mais nous oui; de son absence. Ma mère Marie a fait des petits boulots tout au long de sa vie pour payer les factures. Elle a 48 ans, elle est brune, un peu ronde mais pas beaucoup, avec une forte poitrine. Elle a le teint mat, elle ressemble à une Réunionnaise un peu, mais elle n’a jamais quitté la région Parisienne. Plutôt de petite taille, je l’appelle souvent mon petit poney quand elle fait le ménage à genoux dans la cuisine, elle range les placards du bas et moi je suis à table, je la taquine... Elle ne s’est pas remariée depuis la mort de mon père, elle m’a élevé toute seule et très bien! Nous nous retrouvons souvent tous les deux, nous aimons discuter ensemble près de sa cuisine. Quand je rentre du lycée elle me demande comment s’est passé ma journée? Toujours pas encore de copines ? Puis elle me rassure en me disant que je trouverai un jour, chaussure à mon pied, d’être patient... Un jour, alors qu’elle me posait encore ces mêmes questions, elle me dit qu’elle avait dû appeler un plombier aujourd’hui car il y avait une fuite dans la salle de bain. En attendant sa venue demain, j’ai mis un récipient afin que l’eau s’écoule. J’ai bien tenté de réparer moi-même le robinet mais j’ai malheureusement causé encore plus de dégâts! L’eau coulée à flot, de partout, ma mère est venue à ma rescousse, en quelques minutes nous étions tous les deux complètement trempés...C’est là que j’ai vu les énormes seins de ma mère, sous son tee-shirt transparent, mouillé, elle ne portait pas de soutien-gorge. Je ne pouvais plus détourner mon regard face à cette voluptueuse et imposante poitrine qui se dressait devant moi. Ses gros tétons pointaient. Elle s’en rendit compte et voulait changer de tee-shirt. Elle me demanda alors de me retourner afin que je n’en voie pas plus…Heureusement qu’il y avait un miroir, je pouvais alors apprécier le beau spectacle. Je n’en croyais pas mes yeux, je bandais comme un dingue à travers mon bas de jogging. Depuis, chaque soir, je me masturbais en repensant à ses gros mamelons, ses tétons si durs. Soudain un soir, je l’entends frapper à la porte de ma chambre alors que j’étais en train de me masturber. Elle avait à nouveau besoin de mon aide maladroite dans la salle de bain. Cachant tant bien que mal la bosse qui se dessinait sous mon habit, je la suivais jusque dans la petite pièce d’eau. Mais sans me dire le moindre mot, elle remarquait mon excitation et savait qu’elle venait de me « déranger »…Les jours suivants, son comportement changea quelque peu, elle se tenait de manière plus sexy, plus attrayantes. Elle portait des jupes plus courtes et des décolletés plus échancrés. S’asseyait jambes écartées, sans culotte sur notre grand canapé, me dévoilant son fruit défendu. Sortait de la douche en petite serviette, voulait que je lui mette de la crème nourrissante dans le dos, sur ses jambes – si douces. Un jour, alors qu’elle nettoyait le parquet à quatre pattes, munie d’une mini-jupe, j’étais quant à moi assis tranquillement sur le canapé qui lui faisait face. Je commençais alors à me raidir, admirant le spectacle que m’offrait ma gentille mère. Je ne pouvais plus résister. Je commençais à me caresser, lentement, innocemment. Mais mon excitation devenait de plus en plus forte, presque insurmontable. Ma mère voyait en réalité mon reflet sur l’écran de la télévision. Je décidais alors de sortir mon engin et de me branler plus explicitement. Elle restait toujours à terre, dos à moi, mais tortillait son cul de plus belle. Quand soudain, elle passa sa main entre ses cuisses et se mit à se caresser elle aussi. Je pouvais voir ses doigts tout contre sa vulve, haletante, excitée comme moi. De mon canapé, je voyais tout et me délectait de la scène.C’est à ce moment-là, que je décidais de la rejoindre, au sol et de frotter ma grosse bite bien dure entre ses fesses. Il ne suffit que de quelques instants avant que je lui éjacule dessus.
