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Exhib dans le train...avec anneau pénien

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Bonjour à toutes et tous,
Voilà, j’avais vingt-trois ans à l’époque des faits. Je l’étais acheté quelques semaines auparavant un anneau pénien vibrant rechargeable de très bonne facture. Un achat un peu onéreux mais tout de suite rentabilisé tant je ne m’en séparais presque plus. Une petite séance "vibratoire" par ci, une autre séance par là, ma nouvelle acquisition me permettait de garder la forme et mes désirs au top niveau. Nous étions durant l’été et il faisait chaud. Alors que je me baladais sur un site d’histoires coquines, mon attention fut attirée par le témoignage d’une femme qui avait réalisé son fantasme d’utiliser un sex-toy vibrant dans les transports en communs. Se donner du plaisir "aux yeux de tous sans que personne ne le sache" lui avait procuré un orgasme indescriptible écrivait-elle. Un texte qui me donna de la suite dans les idées. Je prenais le train toute l’année durant pour aller en cours et m’imaginer mettre mon anneau pénien dans les transports ne me semblait pas impossible ni impressionnant. Mais je réalisais bien qu’à la différence des femmes, nous les hommes, produisons une éjaculation... petit détail pouvant vite faire tâche (excusez-moi du jeu de mot) surtout en cas d’affluence. Mais ce qui me bouleversait le plus - et qui du coup me faisait le plus fantasmer - était tout le descriptif "émotif" qu’avait eu cette femme à ressentir son plaisir secret en présence d’autres personnes. Pour ma part, je ne m’imaginais pas "bander" en présence d’autres hommes, anneau pénien ou non.
L’idée de passer à l’action mit donc plusieurs semaines, jusqu’au jour j. J’avais choisi un milieu d’après-midi, là où l’affluence dans les transports était la plus faible. Je m’étais équipé de mon anneau pénien et avais même osé enfiler un mini-short de course plutôt qu’un long bermuda. Mon coeur battait déjà fort à l’attente du train, à l’idée de ce petit plaisir interdit mais pourtant fantasmé que je m’apprêtais à m’accorder. Tout était globalement sous contrôle donc jusqu’à l’arrivée de cette jeune femme blonde. Elle devait avoir quatre ans de plus de moi. Une "bombe" comme on dit, avec de longs cheveux platine, et surtout une jupe blanche si courte que la quasi totalité de ses cuisses lisses et galbées étaient ainsi mises à nu. Une jupette "raz-le-bonbon" qui ne tarda pas à éveiller mes sens et mon désir alors que mon anneau pénien n’était pas encore allumé. Oui, la belle me faisait déjà à moitié bander. Placé à la base de mon sexe, mon anneau retenait le sang qui commençait à affluer dans mon sexe, le gardant gonflé de désir.
Heureusement, le train ne tarda pas trop à arriver alors que je commençais à cuire sur le quai, debout en plein soleil au beau milieu de celui-ci. Au moment où il freinait pour stopper à quai, la belle me jeta un regard. Nos yeux se croisèrent. Telle une pulsion animale traquant sa proie, je me mis à suivre la belle jeune femme, le coeur battant. Je sentais déjà le nylon de mon micro-short frotter contre mon gland, excitant celui-ci. La belle monta la haute marche du train. Je crus que mon coeur allait s’arrêter de battre quand j’aperçus la naissance parfaitement nue de ses fesses. La belle devait porter un string, comme toutes les femmes de son âge, plus sexy que jamais. La belle se dirigea jusqu’au fond de la voiture et je la suivis en silence, mes yeux rivés sur ses fesses couvertes d’une jupe blanche et légère. Je bandais de plus en plus fort et mon shorty théoriquement prévu pour la course à pied auquel j’avais retiré le double-fond était assez ample pour me laisser bander assez librement. La belle finit par déposer son sac et s’asseoir à un emplacement avec deux sièges se faisant face. Honteux de la poursuivre et de lui coller aux basques, je m’assis pourtant juste en face d’elle. Au fond de la voiture où nous nous situions, seule une femme devant avoir la bonne quarantaine était assise au dernier rang. Nous étions situés côté droit de la voiture et elle côté gauche, l’allée centrale nous séparant.
Je me retrouvai donc assis devant cette jeune femme blonde hyper sexy avec sa minijupe qui lui arrivait en haut des cuisses. Vraiment en haut. Un soleil éblouissant illuminait le compartiment, en particulier cette belle inconnue qui l’avait en plein dans les yeux. Je profitai de cette occasion pour allumer discrètement mon anneau pénien vibrant, avant de regarder par la fenêtre comme si de rien n’était. Les vibrations lentes et alternatives ne tardèrent pas à produire leur effet. C’était la première fois que j’osais utiliser mon sex toy ainsi dans un lieu public. J’en avais le coeur qui battait à la chamade, le feu qui me montait aux joues. Avais-je l’air si mal à l’aise pour que cette déesse me fixe ainsi ? L’excitation monta d’un cran que je vis ses yeux descendre au niveau de mon entrejambes. Les vibrations de mon jouet préféré étaient heureusement couvertes par les bruits du train. Je tentais de contrôler mon état d’excitation jusqu’au moment où je vis soudain la belle inconnue ouvrir légèrement les cuisses. Sa jupe déjà courte se tendit et se retroussa de quelques centimètres. Assez pour que j’aperçoive ce que je n’aurais pas dû voir. La déesse blonde ne portait pas de string comme je le pensais. Elle avait la minette à l’air. Un électrochoc pour ma conscience. Une belle paire de lèvres parfaitement lisses, sans le moindre poil. Je dû faire une sacrée drôle de tête car quand je relevai les yeux vers elle pour m’assurer que je ne rêvais pas, la belle manqua d’éclater de rire face à ma réaction qu’elle avait semblé scruter avec attention. Un filet de soleil illumina le compartiment. Non, je ne rêvais pas.
Mon coeur se mit dès lors à battre avec force et vitesse dans mon coeur. Une énergie aussitôt transmise dans mon sexe que je sentais gonfler et durcir avec force. La belle blonde avait les cuisses ouvertes et les ouvris plus encore en posant son pied droit sur son sac de voyage. Sa jambe était donc surélevée. Etait-ce de la provocation ? Se rendait-elle compte qu’elle était assise devant un jeune homme, la minette à l’air sous sa jupette ? La belle cessa de me déranger en regardant par la fenêtre. En faisant tout du moins semblant. JE voyais ses yeux descendre discrètement sur mon entrejambes. Je bandais si fort que je sentais mon chibre en rut menacer à tout moment de sortir par la jambe droite de mon mini-short. Bon dieu, dans quel pétrin m’étais-je mis ?! Je n’avais jamais vu une aussi belle chatte de toute ma vie. Les lèvres de celle-ci, parfaitement lisses, semblaient gonflées d’excitation. Je sentais l’anneau vibrant me masser le sexe et compresser le sang qui battait en lui. Je ne tardai pas à sentir mon gland en fusion de mettre à mouiller. La blonde sulfureuse me regarda alors droit dans les yeux en mâchant son chewing-gum.
Et oui, tel était pris qui croyait prendre. L’autre femme située de l’autre côté de l’allée centrale lisait un livre, fort heureusement. Je baissai les yeux de honte et les relevai vers ceux de la blonde qui, cuisses écartées, son joli fruit bien offert à mon regard gourmand, soutenait le mien avec une incroyable audace. Oui, on pouvait le dire : c’était bien elle qui me provoquait. Je ne contrôlais plus rien. Sans doute aurais-je dû à cet instant me lever tant qu’il en était encore temps et partir, au lieu de quoi je restai là, assis, dévorant cette belle chatte des yeux. Les conséquences de ma curiosité mal placée ne tardèrent pas à se faire ressentir. Mon sexe en rut ne cessant de durcir, de grossir et surtout de s’allonger ne tarda pas en effet à menacer de se frayer un chemin par la courte jambe droite de mon micro-short. Je pouvais bien critiquer la courte jupette de cette blonde allumeuse, mais la longueur de mon short était toute aussi critiquable. Sauf que mon excitation se faisant de plus en plus forte, le drame trop tardivement redouté se produisit. Je sentis soudain la pression jusque là exercée par le nylon de mon short sur mon gland disparaître. Je n’osai baisser les yeux à l’idée de ce qui pouvait en être l’explication. Fixant le visage de la belle blonde, j’eux confirmation de ce qui venait de se produire quand je la vis, les yeux baissés sur mon entrejambes, cesser soudain de mâcher son chewing-gum.
Il me fallait savoir ce que je savais déjà. Je baissai lentement les yeux à mon tour sur mon entrejambes et restai pétrifié : j’avais la moitié de mon membre en rut à l’air qui dépassait de de la jambe de mon short. C’était comme si le bout de ma queue s’éloignait de mon corps pour rejoindre cette chatte parfaitement offerte devant lui. La belle blonde ne resserra pas les cuisses pour autant. Il me sembla même voir comme les lèvres de sa belle chatte légèrement s’entrouvrir. Le coeur battant à tout rompre, je réalisai surtout qu’il m’était totalement impossible désormais de remballer mon membre en rut dans mon short, devenu bien trop petit pour cela. Un véritable chaos régnait dans mon corps et dans ma tête : j’étais terriblement excité par la vue de cette belle chatte que je rêvais de caresser. Le regard audacieux et inquisiteur de la belle blonde posé sur mon membre en rut me poussait à bander toujours plus gros, toujours plus fort.
En contrepartie, c’était bien la première fois que je me retrouvais à bander ainsi la queue à l’air dans un espace public. Excitant et inquiétant à la fois, d’autant que la femme quarantenaire pouvait à tout moment lever les yeux de son livre et tourner la tête en ma direction. Quelle serait alors sa réaction en découvrant mes vingt centimètres en érection totale ?! Toute cette excitation et cette confusion mélangées me faisaient bander comme pas permis. A cela s’ajoutant les vibrations intenses produites par l’anneau, et je sentais mon chibre fondre sur le champ. Mon gland en particulier, duquel je sentais couler de la mouille épaisse. La belle blonde elle aussi semblait s’en rendre compte lorsqu’elle passa lascivement sa langue autour de ses lèvres, comme pour me faire comprendre qu’elle prendrait bien ma queue en bouche. D’ailleurs, la belle ne quittait plus mon chibre en rut des yeux. Elle ne m’accordait plus d’attention particulière, se montrant uniquement intéressée par mes attributs. Je sentais mon bonbon d’amour fondre de désir pour sa belle chatte, offerte là, presque à la portée de mes doigts... Je portais alors ma main droite sur le dessus de ma cuisse, et du bout des doigts, je vins exercer une pression sur le dessus de mon sexe.
Et là, le coeur battant, je tirai sur la peau de mon chibre. Je sentis celle-ci coulisser lentement sur mon gland, décalottant celui-ci en douceur. Scrutant la réaction de la belle blonde, je vis celle-ci entrouvrir la bouche, ses yeux rivés sur mon membre en érection totale. J’avais mon bonbon d’amour rose clair et luisant de mouille qui s’offrait à elle. Visiblement déstabilisée, la belle blonde tourna le regard vers la fenêtre pour admirer le paysage qui défilait. Et là, toujours en regardant au loin comme si de rien n’était, je vis la main gauche de la belle retrousser un peu plus sa jupette. Sa main droite vint quant à elle glisser à l’intérieur de sa cuisse. La belle se mit lentement à se caresser la chatte devant moi, finissant d’ouvrir les cuisses en grand. Des caresses lascives qui ne durèrent que quelques secondes mais lorsque la belle blonde retira ses mains, je découvris alors son fruit fendu. Sa belle vulve luisante de mouille apparaissait entre les grandes lèvres, surtout son clito gonflé et luisant lui aussi d’excitation. Ce fut à mon tour de rester bouche bée face au spectacle que la belle inconnue se permettait de m’offrir. Cuisses grandes ouvertes, sa belle chatte luisante de mouille en son centre à vue. Je perdais totalement le contrôle de la situation. L’avais-je seulement eu me mis-je soudain à douter. Mon coeur battait vite, je me sentais soudain pris de panique. La belle blonde me souriait, demeurant silencieuse. Pour ma part, je ne savais plus quoi faire, ni quoi penser. Ce petit jeu de cache prenait une drôle de tournure. Etais-je tombé sur plus forte que moi ? Une part de moi me disait de me calmer, et l’autre plus folle, de me laisser aller. Mon anneau vibrant, place à la base de mon sexe, me faisait fondre la queue et les couilles de désir. Il maintenait surtout tout le sang que faisait affluer mon coeur battant dans mon chibre, qui s’en trouvait plus gros et long que jamais. LA belle blonde avait sa main droite posée à plat à l’intérieur de sa cuisse, m’invitant à me rincer l’oeil.
Son clito était gonflé d’excitation, comme prêt à exploser. Après tout, il s’agissait d’un petit jeu entre nous. Un petit jeu qui me faisait bander comme un âne. Honteux et excité tout à la fois, je retroussai la jambe droite de mon shorty pour lui offrir à mon tour ce que j’avais à proposer. Je vis la belle hausser les sourcils et se mordre les lèvres en admirant mon membre en rut. Elle ne résista pas à l’envie de passer à nouveau le bout de ses doigts sur sa chatte, à m’en rendre fou. J’avais mes vingt centimètres en rut à l’air libre, pointant, dardant devant cette belle chatte bien lisse. Ce fut à cet instant que la lectrice leva les yeux de son livre et les posa sur moi. Elle portait des lunettes de soleil mais je compris qu’elle devait de voir mon chibre bien offert quand je la vis ouvrir la bouche en grand. Le coeur battant à tout rompre, paniqué, je vis comme si de rien n’était. Dans le coin de mon champ de vision, je la devinais fort bien la tête tournée en ma direction. J’étais dans de beaux draps, ma belle grosse queue en rut ainsi offerte à la vue de ces deux femmes, l’une consentante, l’autre pas du tout. Cela me servit de prétexte pour prendre le bout de mon chibre dans le creux de ma main. Façon pour moi de cacher mon sexe et surtout de le caresser.
La lectrice-mateuse compris ce qui était en train de se passer, voyant que la fille assise devant moi avait les cuisses grandes ouvertes, sa main plongée entre elles. Le tac-tac du train battait au rythme de mon coeur. La belle-blonde avait bien du repérer que nous n’étions pas tout à fait seuls. Pour autant, elle ne se gêna pas : elle passa ses doigts sur sa belle chatte lisse et humide devant moi, soutenant mon regard, un sourire large et amusé aux lèvres. Elle se délectait de ma gêne, de mon excitation à ne pas oser. Devais-je avoir honte de bander de la sorte ? Oui et non, vu ce spectacle qu’elle m’offrait. Regardant par la fenêtre, j’ouvris les cuisses et retirai ma main de sur mon chibre. JE bandais comme pas permis, et la honte et l’excitation au ventre, je lui présentai ma queue. Je leur présentai ma queue devrais-je dire. LA belle-blonde lâcha un gémissement satisfait en se mordant les lèvres. L’autre femme, quant à elle, regardait deux seconde par la fenêtre, ne sachant où se mettre, avant de reluquer à nouveau mon dard en érection totale.Du bout de ses doigts, la belle blonde se mit à pétrir délicatement ses chairs intimes. Sa belle chatte gonflée d’excitation, fendue en deux par le désir.
— Caresse ta belle queue me soupira-t-elle enfin.
SA belle chatte était si lisse, si luisante de mouille, que je mourrais d’envie de la lui lécher. Excité à mourir par ce qu’elle me présentait, j’osai. Je pris mon manche épais à pleine main et lentement, le coeur battant à tout rompre, je me mis à me le pétrir lentement. Devant elle. Devant elles. Je ne m’étais jamais caressé en public, en tout cas pas mon membre à l’air. Je faisais fort, là, dans ce train. JE vouais une confiance totale à cette inconnue qui elle seule avait la vision du reste du wagon. Je ne pus retenir un gémissement de plaisir, de soulagement, quand je sentis la peau épaisse de mon sexe coulisser sur mon gland. Une coulée de mouille épaisse s’échappa de celui-ci, rendant mes caresses plus divines encore.LA belle-blonde osa alors poser son pied droit à-même la banquette sur laquelle elle était assise, cuisses grandes ouvertes devant moi.
— Hummm oui, caresse ta belle queue ! m’encouragea-t-elle une nouvelle fois.
J’entendis soudain un "Oh mon dieu, c’est pas possible" de la bouche de la lectrice quarantenaire qui trépignait sur place, les joues rouges. La belle blonde se contentait de se sa caresser la minette en surface. Elle écarta les lèvres de celle-ci à l’aide de ses doigts, m’offrant une vue directe sur sa vulve rose pale, luisante de mouille. Son clito était gonflé d’excitation, prêt à exploser. A me masturber à pleine main de la sorte devant ces deux femmes, j’en étais plus excité que jamais. Mon gland chuintait au moindre de mes mouvements tant il était trempé de mouille. La belle blonde comme nous mîmes à gémir en même temps. Je sentais l’orgasme arriver à grands pas. J’arrivais au bout du tunnel, il me fallait arrêter là, avant la catastrophe, tant il était encore temps. Les tétons de la belle blonde dardaient sous son top noir et elle se ralentissait pas les caresses prodiguées sur sa belle chatte. La femme quarantenaire, malgré ses jurons, n’avait pas quitté sa place pour aller s’en chercher une autre. Bien au contraire. Bien que prise dans les tourments de ses convenances morales, elle savait bien que la fin approchait. Elle ne quittait presque plus ma queue du regard, s’attendant à une éjaculation imminente. Le comble e l’obscénité en ce lieu public, mais elle l’attendait. Elle la voulait. Je ne m’imaginais pas une seule seconde oser éjaculer à grands jets devant ces deux femmes. Je me connaissais sur ce point et me savais particulièrement généreux, ce qui, selon les circonstances, ne jouait pas toujours à mon avantage. Les doigts coquins de la belle-blonde la faisaient chuinter de mouille elle aussi... Le regard de ces femmes sur mon membre en rut et au bord de l’orgasme... Ce train, ce lieu public dans lequel nous étions en plein interdit, où j’étais en plein interdit... Mon gland était de plus en plus sensible. Je sentais que j’allais jouir. Non, je ne pouvais pas, je ne pouvais pas.
Pas ici. Pas ici. La belle-bonde perçut-elle mon hésitation dans mon regard ? Je la vis se pencher en avant et appuyer sur la touche "+" de mon vibromasseur. Elle poussa alors ma main de sur mon sexe d’un geste vif accompagné d’un "lâche ta queue !" pour le moins directif. Elle se remit en position, les cuisses grandes ouvertes, la chatte bien offerte, le dos en appui dans l’angle de la banquette et de la fenêtre. La belle blonde osa même lancer un regard insistant à destination de la femme lectrice. Un échange de regards que je perçus en elle avant que la femme quarantenaire ne tourne la tête en portant une main à sa bouche, tant elle devait être choquée, stupéfaite parce qu’elle voyait. La situation était si infernale que ça valait bien tous les romans du monde. Je sentis ainsi les vibrations très intenses de mon anneau pénien parcourir ma queue toute entière, m’électrisant les bourses et résonnant jusqu’au bout de mon sexe. J’avais mon gland gonflé à bloc, mon frein tendu comme jamais. Cuisses écartées, m’abandonnant à mon destin, j’étais ainsi affalé sur la banquette, sachant très bien vers quoi il me destinait.
Chaque vibration alternative, durant une bonne seconde, m’électrisait les parties. Je sentais cette "onde de choc" me faire fondre les bourses et m’électrocuter le gland. Je sentais que j’allais jouir d’ici quelques secondes, d’ici quelques électrochocs puissants et salvateurs. Impuissant, me condamnant à mon destin, à ce que celle blonde en chaleur attendait de moi, je me contentai de grimacer, de gémir. D’un bref coup d’oeil sur le côté, je vis la lectrice-mateuse respirer bouche ouverte, peinant à déglutir sa salive, sa main sur sa poitrine. Etait-elle choquée de ce qu’elle voyait, de ce qu’elle devinait d’un avenir très proche. Ces deux femmes avaient leurs yeux rivés sur mon chibre plus dur et gros que jamais, sur mon gland luisant de mouille. Cela en fut trop. Ce fut l’électrochoc de trop. Celui qui vous électrocute le sexe à l’en tétaniser. Un frisson parti de mes couilles et, tel la foudre, traçant sa route jusqu’au bout de mon gland et le long de ma colonne vertébrale.
— Oui ! Ouiiiii ! râlai-je de façon peu discrète.
La belle blonde activa les caresses de ses doigts sur sa chatte et ondula du bassin tout en même temps. Je n’en pouvais plus. Mes parties fièrement offertes, cuisses ouvertes, les deux femmes spectatrices virent mon chibre se raidir, être parcourus des spasmes de l’orgasme. L’anneau qui serrait la base de mon membre fit comme retarder l’éjaculation, jusqu’à ne plus pouvoir la contenir. Dans un grand cri, je me mis à éjaculer un puissant jet de sperme qui vint gicler sur la cuisse gauche de la belle blonde. Toutes deux hoquetèrent de surprise. La belle blonde s’en enfonça le majeur dans la chatte et se mit à jouir à son tour en excitant son clito. Les deux jets de sperme qui suivirent se firent aussi puissants, aussi généreux.
— Oh mon dieu ! s’exclama la lectrice, main sur la bouche et yeux grands ouverts sur le spectacle obscène que je lui offrais.
J’éjaculai à grands jets de sperme blanc et épais sur les cuisses bronzées de ma partenaire de fortune. Ce sperme claquait sur sa peau ferme et cela ne semblait pas la déranger, bien au contraire. La belle se mit à jouir en grimaçant, se tortillant, un doigt profondément enfoncé dans la chatte. La belle gémissait son plaisir, plus discrètement que moi en serrant les cuisses, son corps de déesse lui aussi parcouru de violents spasmes. J’éjaculais devant ces deux femmes sans même me pétrir le sexe, mon jouet magique faisant tout le travail. Une fois mon orgasme terminé, j’éteignis mon outil de plaisir, éreinté. Les cuisses de la belle blonde étaient maculées de traînées de foutre blanc. Il y en avait également une belle quantité à-même le sol, entre mes cuisses. La femme quarantenaire ne savait plus où se mettre en présence de ces deux jeunes personnes qui venaient de jouir devant elle. Je la vis ranger son livre dans son sac à main et quitter son siège sans oser nous regarder. Douce hypocrisie, elle qui avait tout regardé depuis le début.Dix minutes à peine s’écoulèrent avant le terminus. La belle-blonde comme moi ne dîmes mot.
La belle se contenta d’essuyer ses cuisses avec un mouchoir en papier. Je remballai quant à moi mon jouet et mes parties, vidées, éreintées. Ni elle ni moi n’essuyâmes le sperme laissé sur le sol, preuve unique des méfaits obscènes dont nous étions complices et auteurs. La belle-blonde finit par se lever. Je la suivi. Je me situais juste derrière elle alors que les passagers attendaient debout que le train s’arrête pour sortir. Excité, j’osai passer ma main droite sous sa jupette décidément très courte. La belle se laissa faire. J’avais ma main sur ses fesses de rêve, douces, fermes et rebondies, peau contre peau.
Ce simple contact suffit à me faire recommencer à bander, déjà. Dieu que j’aurais aimé avoir une petite amie comme elle, aimant et désirant le sexe, à fleur de peau...
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