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Exhibition portuaire

Chapitre 1

Trash
Après avoir eu quelques expériences d’exhibition assez soft, mon mari voulu aller plus loin mais sans vouloir m’en dire la teneur. Sachant qu’il est toujours avec moi dans ces cas là et aimant recevoir le regard des hommes se poser sur moi, je lui fis confiance.Je m’appelle Margaux, j’ai quarante deux ans et à ce que l’on dit très appétissante hormis mon 95D très avantageux pour susciter la convoitise.Ainsi, un samedi soir de fin juillet de l’année dernière, Greg me proposa d’aller m’afficher. Aussi, c’est lui qui décida de mon accoutrement. J’enfilais une mini jupe plissée, écossaise rouge et noir, un chemisier blanc, des bas autos fixant noirs et une paire d’escarpins à talons aiguilles. — Et en sous vêtements, qu’est-ce que je mets ?— Rien ! C’est du superflu Marge, répondit-il avant d’ajouter, j’espère que tu as bien épilé ta petite chatte ? Comme beaucoup d’hommes j’aime les femmes mures avec un minou d’adolescente, ça les rend plus désirables.Sur les coups de vingt deux heures nous montions dans notre spacieux Nissan Nirvana, et Greg démarra vers une destination qui m’était inconnue. Ma jupe était si courte, qu’en étant assise elle révélait la peau blanche de mes cuisses au dessus de mes bas, ce qui avait l’air de plaire à mon mari. Je l’interrogeais sur l’endroit où nous allions, mais je n’eus comme toute réponse un sourire narquois. La nuit était tombée lorsque que j’aperçus la pancarte du port de Gennevilliers. Nous étions dans une zone industrielle qui menait vers l’espace portuaire de la Seine. Il n’y avait pas une seule animation, sinon des voitures de vigile auprès de certains entrepôts.Nous allions de rue en rue, Greg semblait chercher sa destination. Enfin il trouva l’entrée d’un dock où un panneau immobilier le mettait en location, bien qu’il semblait en inactivité depuis un bon moment, aux vues des herbes et des broussailles qui envahissaient la cours et aux vitres cassées des bureaux. Quelques voitures, phares éteints ou en veilleuses étaient stationnées, d’autres faisaient une ronde en roulant lentement, et s’arrêtaient auprès d’autres avant de repartir.Greg fit le tour d’un des bâtiments, puis il alla se garer un peu en retrait entre deux rangées de containers. Il coupa le moteur en éteignant ses codes, puis il alluma mon plafonnier et il verrouilla les portes. L’endroit était plongé dans le noir, un vrai coupe gorge.— Il n’y a pas meilleur emplacement qu’ici ? Lui demandais-je peu fière.Il ne me répondit pas, trop attentionné à discerner les deux phares qui venaient vers notre voiture. Les phares s’éteignirent et une portière claqua. Les bruits de pas se dirigèrent vers ma porte. Je ne voyais pas qui c’était, un jeune, un vieux… ?Greg me demanda de déboutonner mon chemisier et de me caresser la poitrine. Je regardais le loquet de verrouillage de ma porte qui était baissé, et rassurée, j’entrebâillais mon chemisier pour commencer à cajoler mes seins tout en effleurant mes tétons. Mon mari baissa mon dossier et retroussa ma jupe sur mon ventre. Ses doigts s’insinuèrent entre mes lèvres.— Suces-toi tes tétons ma chérie.Relevant ma tête et prenant d’une main l’un de mes seins, de ma langue je me mis à jouer de mon téton qui se mit à s’ériger. Tantôt je l’aspirais et le gobais, ou bien j’en dessinais les contours de ma langue.Puis l’on cogna à ma vitre. Je ne voyais toujours pas qui était à l’extérieur. Greg l’entre ouvrit de quelques centimètres.— C’est pour mater, ou on peut toucher ? Interrogea une voix.— Les deux, répondit mon mari.— Alors j’l’ai maté ! Baisse la vitre, maintenant j’ai envie de la peloter !Greg baissa la vitre. Un homme de près de soixante ans se pencha au dessus de moi dans l’habitacle en posant une main sur mes seins qu’il se mit à pétrir.— J’raffole des belles mamelles pleines !Tout en poursuivant de me malaxer ma poitrine, il planta sa bouche sur mes mamelons pour les dévorer et les sucer avidement. Tandis que sa main droite se calait entre mes cuisses et se frottait à mes lèvres humides. Ses doigts nerveux ne tardèrent pas à s’infiltrer en moi et à fouiller ma vulve. Inconsciemment j’écartais un peu plus les cuisses, non pas pour qu’il profite davantage de moi, mais bien pour qu’il me fasse jouir. Ma peur avait disparue et j’offrais mon corps à la perversité d’un inconnu, sécurisée par la présence candauliste de mon mari. J’allais jusqu’à attirer par la nuque cet homme pour que ses lèvres baveuses me gouttent encore plus. Sa salive dégoulinait entre mes deux seins, ne reprenant sa respiration que pour me dire des cochonneries. Greg me prit mes pieds et les fit se reposer sur le tableau de bord en prenant soin que mes cuisses restent bien ouvertes.— Tu peux lui explorer son petit cul ! Lança-t-il à l’homme.Il ne se fit pas prier, et tout en me dévorant ma poitrine, je sentis ses doigts glisser sur mon périnée puis venir explorer mon anus offert. Maintenant il me sodomisait de trois de ses phalanges qu’il vrillait dans mon intestin alors que de son pouce il agaçait mon clitoris. C’en était trop ! J’eus un orgasme qui m’ébranla tout le corps. Cette jouissance l’excita davantage, et il me mordilla mes tétons tout en me dilatant d’un quatrième doigt qui vint forcer mon anus.— Tu veux qu’elle te suce ?L’homme ne répondit pas, il se dégagea da portière, et baissa son pantalon. Je me redressais pour découvrir une verge mi en érection et gluante de sperme. Il s’était déjà répandu dans son slip. Ma main maculée de sa semence je me mis à le masturber. Me prenant par la nuque, il m’approcha mon visage de son membre. Du bout des lèvres je m’habituais à son odeur et à son foutre épais. Puis je le prenais en moi, jouant de ma langue autour de son gland dont s’échappait encore de son méat sa liqueur de mâle. Il forçait mon visage contre son ventre pour prendre sa verge dans sa totalité. C’était presqu’un délice d’avoir le sexe d’un homme dans sa gorge sans pour autant avoir des éructations ou des nausées de sentir un gland trop profondément enfiché en soi.Il me traitait de salope et de bien d’autres noms obscènes et avilissants, mais cela, plutôt que de me déplaire, renforçait ma soif de concupiscence animale envers cet homme âgé. D’autant que pour stimuler ma jouissance, mon mari avait glissé l’une de ses mains entre mes cuisses, tandis que l’autre caressait ma poitrine.Lorsque l’homme eut des prémices d’éjaculation d’un sperme très liquide et âcre, j’eus un nouvel orgasme. Etais-ce dû à cet inconnu, à la situation, aux caresses intimes de mon mari, à leurs propos orduriers, car mon mari n’était pas en reste…Quand l’homme se fut retiré, Greg remonta ma vitre et éteignit mon plafonnier avant de redémarrer sous les cris de l’inconnu qui voulait que nous restions.Jupe retroussée avec l’entre cuisses plus qu’humide, chemisier ouvert découvrant mes seins et le visage maculé de sperme et de salive, je cherchais mon sac à main pour y trouver les lingettes. Mon mari avait mis le sac à ses pieds et ne voulant pas que je le reprenne.— Reste comme ça, tu es mon fantasme, ce soir tu es ma pute, demain tu redeviendras la femme respectable BCBG, celle que personne ne pourrait croire être une vraie salope au fond d’elle !C’est ainsi, souillée et en tenue débraillée que nous rentrâmes chez nous, avec les promesses de Greg que cette soirée n’était que le début d’autres à venir.
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