Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 51 J'aime
  • 2 Commentaires

Expérience zoophile avec ma nièce

Chapitre 2

Zoophilie
On est chez Jean-Claude, notre hôte, et on vient de passer des instants inoubliables. Il a deux grands chiens avec lesquels il baise tous les jours, mais il est assez vicieux pour s’en passer pour une fois, nous les offrir, et profiter du spectacle. Ma nièce est passée la première, et j’ai pu moi aussi me délecter à la vue de cette belle petite salope qui se fait monter par un chien, après l’avoir un peu sucé. Ca a été ensuite mon tour avec le deuxième chien, et elle a pu constater que je suis une grosse pute de salope d’enculé.Les chiens en ont fini avec nous, ils sont hors service, et JC (Jean-Claude) reste sur sa faim, sa faim de queue. On l’a sucé, mais surtout on s’est fait enculer, moi et ma nièce, par lui et bien plus par ses chiens. Il se fait mettre tous les jours par ses compagnons, et là, il est en manque. Il lui faut sa dose quotidienne:— Encule moi, encule moi stp. Je vous ai laissé mes chiens, mais ça m’a trop chauffé de les voir vous enculer. J’ai envie d’une bite dans le cul, prends moi, je veux être ta pute comme vous avez été celles de mes chiens.— Ok salope, je vais me le faire ton cul, mais tu vas bouffer le chatte de ma petite nièce comme tu lui as promis.— Oui, tout ce que tu veux, je veux être sa pute à elle aussi. Je veux boire sa mouille.— Sa mouille et sa pisse. Si tu veux que je t’encule, il faut accepter son urine.Ma nièce ouvre de grand yeux, me fait signe que je ne vais pas bien, puis reste scotchée à la réponse de JC:— Oui, tout ce que tu veux, pourvu que tu m’encules. Elle peut pisser, je vais la boire avec plaisir. On va à la cuisine, et il s’allonge sur la table, le cul bien au bord. Je relève ses jambes, et pose ses chevilles sur mes épaules. Je bande comme un âne et je frotte mon gland dans sa raie. Il gémit comme une chienne en chaleur, impatient de sa saillie. Je vais le farcir, mais je veux déjà que Flora se mette en position. Elle est hésitante face à ce vieux de soixante ans, mais je la sermonne, lui dit qu’elle est payée comme une pute, y compris pour ça. Elle grimpe sur la table, et vient s’enfourcher timidement sur la gueule de notre partenaire. Je vois sa langue parcourir la fente de ma chérie, et je pousse doucement mon gland dans son œillet:— Bouffe lui la chatte à ma nièce, avale sa mouille, je veux entendre tes sluppp de gros porc dégueulasse. Bouffe là comme il faut, et je te promet une bonne ramonée. Il dévore la belle petite huître qui lui est offerte, avec des bruits de bouche qui ne laisse aucun doute sur la faculté de ma nièce à mouiller en continu, à enchainer orgasme sur orgasme. Je suis satisfait de voir qu’il fait plaisir à mon petit amour, et je vais l’enculer pour le remercier. Je pousse, et m’enfonce entier dans son trou d’enculé. Je le lime virilement, et encourage ma nièce à se frotter sur lui. Elle se déhanche, se frotte en long en large en travers, n’en finit pas de dégouliner, lui encrème la gueule du front au menton, d’une oreille à l’autre. Je me penche en avant, elle aussi, et nos bouches se soudent dans un baiser passionné. On se décolle pour reprendre souffle, et je lui parle à l’oreille:— Pisse, pisse ma chérie, donne lui à boire à ce gros porc, c’est une vraie salope qui aime la pisse. Laisse toi aller mon amour, pisse dans sa bouche, même s’il ne le mérite pas. Il te paye pour ça aussi, cette ordure, ce putassier.Elle se laisse aller, et ouvre son robinet. JC est surpris, manque s’étouffer, mais il se ressaisit très vite et boit son urine comme du petit lait. Je le vois faire, et redouble mes coups de reins:— Tu l’aimes la pisse de ma nièce, ordure, sac à pisse, et tu l’aimes ma bite dans ton vide couilles. Tu la payes ma nièce pour être ta pute, mais tu es plus pute qu’elle, tu es un chien, une décharge.Ma nièce pisse toujours, mais pas en continu, par à-coups. Entre deux services je peux l’entendre gémir, grogner de plaisir, signe que mes mots ne le blessent pas, bien au contraire, et j’en rajoute. Elle a vidé sa vessie et n’a plus d’urine à lui offrir. Par contre sa source de mouille est intarissable, et elle continue à l’abreuver de sa délicieuse liqueur que je connais par cœur. J’encule mon amant de plus en plus fort, et ses grosses couilles sautent dans tous les sens, pour le ravissement de ma nièce. Elle se régale de ce spectacle, puis se penche pour caresser ces belles boules, essayer de les sucer. La position n’est pas idéale pour elle, et je propose un changement.Je me retire et demande à JC de nous emmener à sa chambre. Je m’allonge sur le lit, la colonne dressée comme un obélisque, et il s’accroupit au dessus de moi, de dos, pour s’empaler sur mon phallus. Je pose mes mains sur ses seins, et le couche sur moi. Il relève ses jambes, et je parviens à m’en saisir pour les maintenir en hauteur. Je ne vois pas, mais j’ai ma bite dans son cul, et je devine ses couilles offertes à volonté. Le repas de ma nièce est servi.Elle dévore ses boules les gobe, les suce, les aspire, mais une seule à la fois. Elles sont trop volumineuses pour les prendre les deux, et ça semble l’énerver:— C’est pas possible, je les veux les deux dans la bouche ces grosses couilles, il faut que j’y arrive, elles sont trop belles. Elle s’acharne dessus et y parvient enfin en s’aidant de ses doigts pour les pousser l’une derrière l’autre. Elles les a en elle, et elles reprennent leur place côte à côte. Elle a les joues gonflées au maximum, comme un hamster. Elle ne peut plus rien faire, ni sucer, ni lécher tellement elle est remplie. Elle est quand même satisfaite de son tour de force, reste la gueule coincée, et se saisit de la bite de JC qui bande, pour le branler sauvagement. Il apprécie le traitement, et vocifère, grogne:— Salope, on ne m’a jamais ça. Personne n’a pu la bouffer ma paire de couilles, et toi tu y es parvenue. Garde les, régale toi salope. Ohhhh putain que c’est bon, c’est bon mes valseuses dans ta bouche, c’est bon ta main qui me branle, c’est bon ton oncle qui m’encule. Essaie de m’enfiler un ou deux doigts dans le cul, en plus de la queue de ton salopard de tonton...............Ma petite s’exécute et je sens un puis deux doigts venir me caresser le manche à l’intérieur du fion de mon enculé. Il grogne de plus en plus et nous encourage à lui casser le cul, à le branler plus fort. Il sent son plaisir venir et prévient Flora:— Tu vas me faire jouir salope, tu devrais dégager mes couilles si tu veux bouffer mon sperme. J’en ai encore plein à t’offrir.Elle les dégage avec quelques difficultés, en s’aidant de ses doigts, en poussant sur ses joues pour les libérer l’une après l’autre. Elle reprend sa bite en main, l’astique toujours aussi fort, lui demandant de la prévenir juste avant qu’il n’éjacule. Ca arrive, et elle se jette sur son gland pour l’enserrer entre ses lèvres. Elle le branle toujours et sent les soubresauts de sa trique en même temps que les giclées de sperme sur sa langue, jusque dans sa gorge. Elle avale tout et le remercie. Il est crevé, moi aussi, et on fait une mini pause avant de reprendre. On repart à la chambre, et il s’installe à quatre pattes sur le lit, le cul au bord. Je le prends aussitôt, plus besoin de préliminaire, tandis que ma nièce se glisse sous lui en 69. Elle ouvre les cuisses en toute impudeur pour mieux offrir sa délicieuse chatounette à la bouche de ce gros vieux porc affamé et assoiffé. Il va la dévorer, la gloutonner, et elle ne fait rien, que laisser faire. Il a les cuisses juste écartées pour que ses couilles encore grosses et bien pendantes viennent se déposer sur son visage. Je l’encule, le défonce, le matraque à grands coups de reins. Ses testicules gesticulent dans tout les sens, et ma nièce ferme les yeux pour mieux apprécier toutes les caresses qui lui sont accordées. Je me déchaîne dans son cul, jusqu’à décharger entre ses reins:— Je vais te remplir salope, et puis tu va bouffer ma sauce, comme on a bouffé celles de tes chiens. Prends, prends salope, prends tout.Je me vide dans son fion, me retire, et il s’accroupit pour me sucer. Il se torche le cul à plusieurs reprises, se le fouille, pour récupérer tout mon jus et l’étaler sur mon gland avant de l’engloutir:— Oui, c’est bien mon salaud, récupère bien tout pour ne rien gaspiller de ma semence. Ensuite je t’offrirais ma pisse pour t’aider à digérer.Il a terminé, et on va dans son jardin, à l’abri des regards indiscrets. Les chiens sont là, et Flora aimerait les sucer. JC donne des ordres pour qu’ils se lèvent et se laissent faire, tout en prévenant notre gourmande qu’ils doivent être fatigués et peut-être pas très performants. Elle est à genoux entre les deux, et les pompe à tour de rôle.JC est à genoux lui aussi, devant moi, bouche ouverte. Je n’ai pas pissé de toute la journée, et il est temps que je me soulage. J’ouvre les vannes, et pisse dans sa bouche, par à coups pour qu’il puisse tout boire et respirer entre deux gorgées:— Oh, putain, que ça fait du bien. Régale toi gros porc, je sais que tu aimes ça. Tu es un sac à pisse, un urinoir. Je pisse toujours et je jette des coups d’œil à ma nièce. Je me suis placé pour bien la voir, et elle est toute fière de me montrer comme elle fait bien bander ses partenaires, et aussi le sperme qu’elle récupère régulièrement, en me montrant sa langue chargée avant d’avaler.
On est vidé, les chiens et moi, et on n’a plus ni d’urine ni de foutre à offrir. JC et Flora sont rassasiés, et tout le monde est pleinement satisfait. JC récompense généreusement ma nièce. Elle refuse, mais il insiste; il a les moyens, et se fait plaisir en s’offrant une pute:— Prend salope, je veux te payer comme une putain pour tes services. Si tu penses que c’est trop, partage avec ton oncle, c’est une grosse pute lui aussi, aussi pute que toi. Elle aurait tord de refuser, et encaisse en le remerciant.On est revenu à la maison, on a diné, et on s’installe au canapé, dans les bras l’un de l’autre. On retrace notre après midi. Comme moi elle est ravie de notre expérience avec les chiens, super ravie de la paire de grosses couilles de leur maître. Il n’y a que les séances pisse qui la laisse perplexe. Je lui explique alors que je connais bien JC, qu’il y a une cour privée à l’arrière du sex-shop, et que je sais qu’il aime y servir d’urinoir, de sac à pisse, pour tous les clients amateurs. On continue sur ce sujet, et je lui avoue que j’ai déjà bu ma pisse, mais que je rêve de boire celle d’une jeune femme comme ma nièce chérie. Elle me dit qu’on verra demain, et on se couche sagement, dans les bras l’un de l’autre.Flora est très gentille, et le lendemain matin j’ai droit à son pipi joli en guise de petit déjeuner, directement servi de la productrice au consommateur.
Il lui reste encore plus de trois semaines de vacances avec moi, et elle m’annonce que sa copine, celle avec qui elle a baisé en compagnie de ses parents, souhaite passer deux jours avec nous.
A suivre.......................
Diffuse en direct !
Regarder son live