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La face cachée du lycée

Chapitre 4

Les douches - partie 2

Trash
Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, la tête qui tournait, mais ce fut Alex qui me fit retrouver mes esprits. Il se tenait devant moi, dans l’embrasure de la porte. Péniblement je me remis debout mais aussitôt je plongeai vers le sol ; mes jambes flageolaient encore, jamais je n’avais ressenti un tel orgasme. Alex me rattrapa juste à temps et me releva. Ses mains effleuraient mes seins et je me surpris à tendre ma poitrine. Tous les garçons de l’équipe de rugby étaient sortis du vestiaires, nous étions seuls.
« Tu m’impressionnes, me dit-il, je ne pensais pas que tu tiendrais toute la séance. »
Je voulus répondre mais j’étais incapable de prononcer le moindre mot.
« J’espère qu’il te reste encore de l’énergie cela dit. Il te reste encore du travail._ De quoi… De quoi tu parles..?_ Tu as vu toutes ces minettes de volley-ball ? Elles auront bientôt fini elles aussi et elles vont avoir besoin de réconfort. Tu t’en sens capable ? »
Je n’eus pas la force de lui répondre mais le monstre à l’intérieur de moi semblait toujours avoir faim, toujours plus faim. Je hochai péniblement la tête et sans attendre, Alex me traîna dans le couloir, toujours nue et ouvrit la porte du vestiaire des filles. Calmement il m’assit sur un des bancs et me regarda de haut en bas. C’est seulement à ce moment que je me rappelai du sperme qui coulait sur mon visage. Je voulus m’essuyer mais il m’attrapa le poignet et me fit non de la tête. Il tourna le dos et s’en alla mais l’espace d’une seconde, je fus certaines de voir sur son visage un sourire en coin. J’en étais persuadée.Il me laissa là, seule et encore essoufflée, tentant de rassembler mes pensées. Mais avant que je puisse y parvenir, la porte s’ouvrit et une quinzaines de filles en tenue de sport entrèrent avec un grand bruit. En m’apercevant devant elles, plusieurs sifflèrent de contentement. La capitaine s’avança vers moi et me regarda avec intensité.
« Les filles, j’ai l’impression qu’il y a de la viande fraîche au menu aujourd’hui. Allez, on tombe le maillot ! s’exclama-t-elle en enlevant le sien. Quant à toi ma mignonne, j’espère que tu vas bien t’occuper de nous, on a vraiment besoin d’amour. »
En quelques secondes seulement, toutes les filles étaient complètement nues. Elles sortaient d’une longue séance de sport, je voyais des gouttes de sueur rouler sur leurs corps aux courbes parfaites. L’odeur était loin d’être aussi forte que celle des garçons, elle était beaucoup plus douce, plus enivrante. Soudain, la capitaine s’assit sur mes genoux et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue jouait avec la mienne d’une façon délicieuse, je sentais ses lèvres pulpeuses contre les miennes… Je fermai les yeux et aussitôt j’étais dans une autre galaxie ; j’avais même oublié mon prénom. Quand elle se détacha de moi, elle avait une expression gourmande, presque vorace. Elle s’agenouilla, m’écarta les cuisses sans ménagement et plongea sa langue sur ma chatte. Je sentis qu’elle savait y faire, elle jonglait entre mon clitoris et l’entrée de mon vagin mieux que moi-même. Les autres filles se jetèrent sur moi. Deux se mirent à téter mes seins, une sur chaque, deux autres se saisirent de mes mains et glissèrent mes doigts en elle à grands renforts de gémissements. Elles étaient déjà trempées. Deux autres vinrent lécher chaque centimètres carrés de mon visage pour y boire la moindre goûte de sperme. Quand elles eurent fini elles m’embrassèrent en même temps. Ce fut une vraie salade de langue et de salive, j’en sentais même couler sur ma poitrine.Tout mon corps était sollicité. Je n’étais plus qu’une boule de plaisir. Soudain, je sentis comme une décharge électrique partir de mon entrejambe et se diffuser dans tout mon corps. Cet orgasme fut si puissant et si long que j’eus l’impression qu’il durait une éternité. Quelque secondes plus tard, les filles qui s’empalaient sur mes doigts vinrent elles aussi. Je sentis leur mouille couler dans mes mains. Quand enfin l’orgasme s’estompa je tentai de reprendre ma respiration, mais visiblement la capitaine avait d’autres projets : elle m’allongea sur le sol du vestiaire et s’agenouilla au-dessus de moi. Je ne voyais plus que sa chatte parfaitement épilée et déjà bien humide. Je savais très bien ce qu’elle attendait de moi et c’est pleine d’ardeur que je plongeai ma langue en elle. J’entendais des sifflements autour de moi, des petits rires de satisfaction mais je n’y prêtai pas attention ; tout ce qui m’importait c’était les gémissements de plaisir. Deux autres filles me présentèrent leur chatte, que je branlai avec vigueur même si je ne pouvais pas les voir. Je voulais toutes les faire jouir sur moi, toutes. Mes mains déjà inondées claquaient de façon plus qu’obscènes sur les corps nues des sportives, et la capitaine devait adorer ma langue vu les litres qui dégoulinaient dans ma bouche et sur mon visage. Elle avait un goût délicieux, légèrement sucrée.Soudain, je sentis qu’on glissait une chose longue et dure dans mon vagin. Un gode. Les volleyeuses étaient en train de me m’enfoncer un gode. Je le sentais qui allait de plus en plus loin en moi, et j’adorais ça. Puis, petit à petit elles commencèrent à faire des va-et-viens, de plus en plus rapides. Je remuais toute entière au rythme du chibre en plastique. La capitaine attrapa mes cheveux pour m’immobiliser et m’ordonna de bien tirer la langue. Elle se mit à bouger plus vite, elle se branlai vraiment sur mon visage. Et d’un coup elle se stoppa avec un long cri, et je reçus dans la bouche de longs jets de cyprine, que je m’empressai d’avaler.Aussitôt une autre pris sa place, et chacune à leur tour elles jouirent sur mon visage ou sur mes doigts. Et quand elles eurent toutes fini elles formèrent un cercle autour de moi et se masturbèrent ensemble. En quelques minutes, elles atteignirent toutes à nouveau l’orgasme et je reçus quinze nouveaux jets sur le corps, la plupart sur le visage. Essoufflées elles se rhabillèrent calmement, sauf la capitaine qui s’accroupit près de moi et passa ses doigts sur mon visage pour faire couler toute la mouille dans ma bouche. Je ne pensais pas qu’un jour j’en aurais vu une telle quantité. Puis elle m’embrassa tendrement et me murmura à l’oreille :
« A bientôt ma cochonne. J’ai adoré ce que tu m’as fait et j’espère que toi aussi. »
Sans attendre une quelconque réponse elle se releva et se rhabilla elle aussi. Plus personne ne semblait plus faire attention à moi, allongée sur le sol, trempée de mouille et de sueur et un gode enfoncé loin dans la chatte. Elles sortirent du vestiaire comme si de rien était et moi je restait là, perchée sur un nuage. Une fois de plus ce fut Alex qui me tira de ma torpeur. Appuyé sur l’embrasure de la porte, les bras croisés il me lança :
« Impressionnant. Décidément tu es impressionnante._ Merci…_ Tiens, je pense que tu vas avoir besoin de ça. »
Il me lança une serviette et une bouteille de gel douche. Comme une zombie je me dirigeai vers les cabines et là je pris une bonne douche chaude qui me fit beaucoup de bien. D’un coup, je sentis le gode que j’avais oublié tomber par terre. Je n’avais pas l’habitude d’avoir des choses aussi imposantes en moi, je ressentis un grand soulagement. Quand j’eus fini de me laver je sortis, et là Alex me tendis mes vêtements, que j’enfilai lentement.Nous sortîmes tranquillement du gymnase pour sortir du lycée mais à peine le portail passé je le plaquai contre le mur.
« Je suis prête. _ De quoi tu parles ?_ Du niveau supérieur. Tu as dit que je n’étais pas prête mais je le suis, je veux découvrir ton monde !_ Ah vraiment, tu crois ça ?_ Je ne crois pas je le sais. »
Rarement dans ma vie j’avais été aussi sûre de moi. Je savais ce que je voulais, de tout mon être. Et visiblement, ça se voyait dans mes yeux. Alex me regarda droit dans les yeux pendant de longues secondes, pesant le pour et le contre. Et finalement il me dit :
« Ok, ça marche. Prépare toi alors. Demain après les cours, viens chez moi. Et ne t’attend pas à rentrer chez toi. »
A suivre.
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