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Se faire treize plaisirs

Chapitre 1

Erotique
L’attrape-rêvesUne histoire érotique Tirée d’une histoire vraie
Yann et Yaël avaient pris l’habitude de se taquiner sur la façon dont un jour ils se retrouveraient intimement. C’était un jeu subtil qui permettait à chacun de chuchoter à l’autre ses profonds désirs. Très vite, l’espace choisi pour l’acte avait pris une importance grandissante. Chacun y allait de sa suggestion, et entraînait l’autre vers le territoire de ses envies. Yann pensait régulièrement à des lieux insolites, Yaël imaginait parfois des endroits qui la sécurise. Lui, brun énigmatique, la trentaine, très à l’aise avec son corps, était dans une période d’intense activité sexuelle. Elle, petite blonde réservée, la quarantaine, était dans une période d’entière découverte sexuelle. Ils s’étaient connus brièvement lors d’ébats à 3. Et il faut croire que cette première rencontre les avait suffisamment marqués tous les deux. Depuis, ils n’avaient cessé de se « chercher », histoire d’entretenir le désir, en vue de plus si possibilités.Yann enchaînait les plan cul avec des filles rivalisant de talents sexuels. Cela forçait l’admiration de Yaël qui, même si cela lui paraissait nimbé d’irréel, l’excitait au plus haut point. Elle ressentait la plénitude sans égal de Yann après l’expérience d’un nouveau lieu, d’une nouvelle position, ou encore d’un nouveau minou très particulier. De son côté, depuis la rupture avec son compagnon, Yaël entretenait une relation unique, purement sexuelle, avec un partenaire libertin. C’était une première pour elle. A chacune de leur rencontre, ses sentiments étaient mêlés d’excitation et de peur. Cet homme très attirant avait été clair dès le départ. Il la baiserait « comme elle le mérite », autrement dit il la soumettrait à ses désirs complexes. Simplement il n’était pas question de sentiment amoureux. Yann avait partagé un de leur ébat et c’est ainsi qu’ils s’étaient rencontrés. Malgré leur vie personnelle bien différente, Yann autant que Yaël sentaient bien une affinité les lier. Certes, ils exerçaient tous deux dans le même milieu technique, et avait appris qu’ils étaient originaires du même endroit. Cependant, c’était plus une affaire d’alchimie des corps, d’emboitement naturel, ou encore une attirance inconsidérée pour ce voile, mêlé de douceur et de sauvagerie, que chacun pouvait discerner dans le regard de l’autre. Malgré tout, chacun était pris dans le filet de ses plaisirs actuels et le temps passait … jusqu’à ce vendredi.Au laboratoire, Yann s’affairait devant la simulation en cours, et scrutait le signal lumineux sur son écran. Tandis qu’il observait si le seuil était en passe d’être atteint, il regarda machinalement l’heure à son poignet. Presque midi. Déjà ! C’est alors qu’il entendit derrière lui, débouler son chef qui s’esclaffait. Au second rire il discerna également celui d’une femme.  C’était rare quand son boss rigolait, et tout autant de devoir croiser une femme en ces lieux. Quand il se détourna de sa simulation, Yann tressauta silencieusement sur son siège. La femme qui était devant lui n’était autre que Yaël. Que faisait-elle là ? Avant qu’il n’ait pu penser à autre chose, son chef pris congé, en lui lançant un énigmatique « Occupe-toi bien de notre hôtesse ! ».  Yaël jubilait. Par ses connaissances haut placées, elle avait aisément, non sans effort tout de même, pu accéder à la société de Yann. Puis, avec encore un autre petit effort, elle avait su convaincre les responsables, d’aller passer un peu de temps au laboratoire.  Toujours interloqué, Yann la vit lui mettre fermement son index droit sur la bouche, tandis que de la main gauche elle déboutonna consciencieusement sa robe tout par devant. D’ordinaire à l’aise, Yann n’en menait pas large. Mais c’était de la folie, de la pure folie ! Elle n’allait pas oser tout de même, pas à son travail !! Son regard ne cessait d’alterner entre l’écran lumineux où sa simulation se déroulait tranquillement et Yaël qui venait de se caler le bout des fesses juste à côté, sur le plan de travail. Ce qu’il vit continua de le décontenancer. Sa robe maintenant dégagée, elle était nue devant lui avec ses grosses mamelles légèrement pendantes et son sexe épilé en forme de triangle. Toute entière à son plaisir, elle commença par se palper les seins. Puis elle les prit à pleine main, les secouant doucement, en leur donnant un petit mouvement de balancier. Enveloppée de bien-être, voyant ses yeux écarquillés, elle s’affairait avec lenteur, ne bougeant le reste de son corps que par légères ondulations au niveau du bassin. Puis c’était au tour de ses mamelons de faire l’objet de toute son attention. Elle libéra chacun de ses pouces et index pour titiller les renflements voire les pincer à son rythme. Elle ne lâchait pas ses prises, dressées comme deux obus. Dans son siège, Yann n’en bougeait plus. Si un collègue rentrait, si son chef revenait, que dire, que faire. Sans parler que depuis qu’elle avait commencé son petit manège, il sentait son sexe de plus en plus à l’étroit dans son jean. Dans son siège, il n’en pouvait plus non plus ! Devant sa mine déconfite, elle finit par lui lancer : « Détend toi, je vais bien m’occuper de ton sexe à partir de maintenant ». Ce qui aurait pu résonner comme une phrase de pur plaisir, sur son lieu de travail, cela prenait une toute autre allure. D’ordinaire si réservé sur sa vie privée, une peur inédite se mêlait à une excitation décuplée par la situation honteuse. Elle s’approcha de lui, dégagea délicatement son sexe des tissus qui le protégeait et l’enfila dans sa bouche. Puis elle se mit à le sucer généreusement par petits à-coups d’avant en arrière.  Son sexe était gonflé, encore un peu mou, mais très vite, elle le sentit devenir très dur, comme une trique. Par ses dimensions considérables, le sexe de Yann occupait désormais pleinement sa bouche. Tandis qu’elle ne lâchait pas sa prise, il se redressa pour imprimer le mouvement qui lui convenait mieux. Alors qu’il faisait glisser mécaniquement sa queue entre ses lèvres, elle sentait que l’instinct du baiseur reprenait le dessus. A chaque va et vient, en plus de l’objet tout dur qui occupait toute sa bouche, elle prenait ses couilles sur le menton. Toujours silencieux, il rabattit consciencieusement sa chemise puis ses deux mains autour de sa tête. Ainsi prise sous le tissu, il avait tout à loisir de guider au mieux son sexe au fond de sa gorge. Elle émit un râlement qui l’encouragea à y aller de plus belle. Il utilisait sa bouche comme une chatte pour la pénétrer maintenant sans retenue et la baiser avec ferveur. Sous elle, ses seins ballotaient dans tous les sens, aussi décontenancés qu’elle par la soudaine audace de Yann.Au bruit d’une porte qui claque au loin, Yann et Yaël se tendirent. D’ici moins de 5 minutes, il fallait terminer l’affaire si bien engagée. Que penserait-on si on les voyait dans une telle posture. Dans un dernier assaut à sa bouche, Yann lui lâcha une giclée de sperme si abondante et si épaisse qu’elle dû l’avaler sur le coup pour ne pas s’étouffer. Il retira alors son sexe de sa bouche, et s’essuya le sexe à sa chemise. Tandis que Yaël reboutonnait maladroitement sa robe et Yann remontait son jean, son chef arriva à grand pas. « Alors cette petite visite inopinée, tout à votre aise chère Madame ? ». Elle le remercia chaleureusement et alors qu’il s’apprêtait à la raccompagner à l’entrée, elle glissa à l’oreille de Yann : « J’ai pensé jouer les prolongations ce soir » et de rajouter de façon malicieuse : « Passe-moi les clefs de ton appart stp ». Yann s’exécuta discrètement en faisant glisser son jeu de clefs dans son sac à main ouvert. L’air ahuri, il la regarda s’éloigner …
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