Je la sens cette grosse bite qui se fraie un chemin entre mes lèvres et force l’entrée de mon vagin en feu. Le gland est énorme et la poussée est lente et régulière et il me semble qu’elle n’a pas de fin. Quand je sens le bas de son ventre se coller sur mes fesses, je sais que j’ai avalé complètement l’engin. Je retire mes mains de mes fesses et l’une d’elles rejoint mon clitoris. Ça y est! Mission accomplie. Je me fais bourrer la chatte par mon oncle! — Oh tonton!! Qu’elle est grosse ta queue!!— Ta chatte est bien serrée… et elle est brûlante!— Vas-y, défonce ta nièce… — Tu aimes te faire fourrer par ton tonton?— Oui! Vas-y!! Il me prend par les fesses et les masse pendant que commence le va et vient tant attendu. Je râle d’excitation. Il pousse sa queue bien au fond et la ressort presque entièrement, jusqu’à ce que le gland se retrouve à l’entrée de mon volcan en feu, puis, il la repousse bien au fond, accélérant la cadence. — Oh oui tonton!! Oh oui!! Bourre bien ma chatte!— Ce que tu es serrée et chaude petite cochonne!!— Vas-y plus fort!!— Tu veux que je te défonce? Dis-le moi!— Défonces-moi tonton… Défonces ta salope de nièce! Son mouvement s’accélère encore. Il monte ses mains sur mes hanches, comme s’il voulait bien s’agripper pour me ramoner bien à son aise. Là, il y va franchement. Je l’entend respirer très fort. Il grogne lui aussi. — Tu es bonne à baiser… cochonne… — Plus fort tonton… encore plus fort!!— Tu l’auras voulu! Alors là, il se déchaîne pour mon plus grand plaisir. Il me donne de violents coups de bassin en me tenant fermement par les hanches et de temps en temps, une bonne claque retentit sur une de mes fesses. Mes doigts caressent toujours mon clitoris et je coule littéralement. J’entends le claquement de sa peau contre mes fesses.
— Ah… ah… tonton… ah… ah… c’est bon!— Tu aimes, petite salope? — Oui! Je vais jouir. Mon vagin se resserre sur le pieu qui me défonce. Un flot de mouille éclabousse ma main qui travaille toujours mon clitoris. — Ah putain!! Je viens tonton!! Ah! Il continue de pilonner ma chatte de plus en plus fort en me donnant quelques claques sur les fesses. Je vais jouir encore une fois! — Oh nom de Dieu! Je viens encore… Ah!… tonton!! Il se retire, et vient se placer à genoux devant moi. Il m’attrape par les cheveux, relève ma tête et me présente au visage sa queue toute mouillée de mon jus. — Suce… goûte à ton jus… Je ne me fais pas prier. Je gobe la grosse queue et la suce violemment. Je mordille son gland et l’enfonce aussi loin que je peux. Ma tête fait un mouvement très rapide de va et vient et on peut entendre un très fort son de succion. — Oui,suce bien. Tu es bonne… Une bonne petite cochonne… Il met une main derrière ma tête pour accompagner mon mouvement. Et tout à coup, il pousse d’avantage pour me forcer à prendre sa queue entièrement. Il pousse et pousse, jusqu’à ce que mon nez soit collé sur son pubis. Sa queue est entièrement avalée. Je sens le gland dans ma gorge. Il fait de courts mouvement de va et vient pour ne pas laisser sortir sa queue de ma gorge. Après quelques secondes, il la ressort enfin pour me permettre de respirer un peu. Un long filet de liquide visqueux s’échappe de ma bouche et rejoint sa queue que je regarde avec envie. Je suis à bout de souffle. — T’as aimé, cochonne?— Oui… Sans attendre, il remets ça. Tenant fermement ma tête à deux mains, il enfonce sa grosse queue au fond de ma gorge et cette fois, il y va à grands coups, comme s’il baisait ma chatte. Après un moment de cette médecine, il pousse une dernière fois bien au fond et maintient mon visage bien appuyé sur son bas ventre. — Oh putain, la cochonne! Il finit par se retirer de ma gorge et soulève ma tête en me tenant par les cheveux. Je le regarde, essoufflée, la bouche barbouillée de liquide gluant et de salive. — Encore…— T’es vraiment trop salope toi!— Je sais… Encore…— Non. Maintenant, je vais prendre ton cul. Je vais défoncer ton charmant petit trou.— Oui, éclate-le. Avec sa queue, qu’il tient dans sa main, il recueille le filet de liquide épais et gluant dégoulinant de ma bouche. Je commence à le branler vigoureusement et je crache sur sa bite enflée pour la lubrifier d’avantage. — Encules-moi tonton… — Tu es vraiment une cochonne!— Je sais… Je suis ta cochonne, ta salope… Il se dirige derrière moi et se place entre mes jambes. Il claque mes fesses ce qui m’excite encore plus. J’écarte les jambes au maximum et de mes mains, j’écarte mes fesses pour offrir bien à sa vue, mon petit trou qu’il défoncera bientôt. Il prend sa bite et donne de bons coups de gland sur mon anus. Je grogne. — Allez tonton… encule ta belle petite nièce. — Je vais déchirer ton cul!— Oui! Il présente son gland à l’entrée de mon cul et se met à pousser. L’énorme gland trouve son chemin vers mes entrailles. Il entre avec une certaine facilité et comme précédemment dans ma chatte, l’entrée se fait doucement, et centimètre par centimètre, la matraque est entièrement avalée. — Oh putain, ce qu’il est serré ton cul!— Finalement! Tu m’encules! Quelle massue!— Il est chaud ton cul… — Assez discuté! Défonces-moi tonton!— Petite salope! Il me donne quelques bonnes claques sur les fesses avec son engin toujours bien au fond de mon cul. Et puis, commence le va et vient. Je crois que je paierai cher. Son mouvement s’accélère rapidement et je sens ses grosse couilles frapper ma chatte. Il y va très brutalement, comme un animal qui copule par instinct. Il grogne comme un verrat qui bourre sa truie. Bientôt, il y va de toutes ses forces. Je suis en extase. J’adore me faire enculer violemment. — Oh ce qu’elle est bonne à enculer la salope! Petite garce!!— Oh oui tonton, continue!!— Ton cul est trop serré, tu vas me faire jouir!— Je veux que tu viennes dans ma bouche…— Ça vient!! Putain!!— Tu aimes enculer ta nièce? — Oh oui!!! Je viens!!! Il se retire de mon cul et je m’agenouille devant lui, la bouche ouverte. Je vois sa grosse queue s’approcher. Avec précision il dirige les jets de foutre directement sur ma langue sortie. Il râle d’extase. — Ah! Oui!! Avale tout… Putain!! C’est bon!! Une quantité impressionnante de sperme se retrouve dans ma bouche. Je n’aurais jamais cru en recevoir autant, été donné qu’il a vidé ses couilles il y a quelques minutes, mais je suis ravie. J’adore avaler du foutre. Je me mets à le sucer pour le terminer. Je tète comme un veau sur le pis de sa mère. — C’était délicieux. Merci tonton…— Tu n’avais pas menti, tu es vraiment une petite salope!— Je sais!! Sur ce, il se rhabille et quitte. Me voilà seule, les trous béants, couverte du foutre de mon oncle. Nous nous sommes promis d’autres baises. Je suis sa salope après tout… À suivre…
