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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 10

Trash
Mon message à tonton Jacques m’a tellement excitée, que je dois me masturber encore. Ma chatte dégouline littéralement.
Je parcours internet à la recherche de trucs bien cochons. Je finis par tomber sur la vidéo d’une fille qui suce l’énorme bite d’un étalon. Ça m’a toujours impressionnée de voir ces putes s’adonner à ces vices pervers. Moi qui dit être une salope, d’autres le sont encore plus que moi.
Je suis pourtant résolue à progresser dans cette voie et à m’initier à toutes les perversités qui manque à mon arsenal de la parfaite petite salope. C’est mon vœu le plus cher, et tonton Jacques m’aidera à accomplir ma mission.
La salope de la vidéo, à quatre pattes, pompe l’énorme engin de l’étalon tout en le masturbant et un mec derrière elle, lui aussi monté comme un étalon, l’encule sans retenue. Il lui détruit littéralement le cul, qu’elle a fort beau.
Elle couine comme une truie tout en astiquant et en suçant le manche du cheval de plus en plus vite. Elle enfonce la grosse bite le plus loin possible dans sa bouche, mais elle ne peut tout prendre. Une partie encore plus longue reste à l’extérieur.
De sa main, elle masturbe la partie visible de la bite et pompe comme une damnée la partie cachée à l’intérieur de son réceptacle à foutre.
On voit son visage en gros plan et sa bouche qui pompe et pompe et pompe. On sent que le dénouement n’est pas loin. Retour en plan large et on voit le mec l’enculer encore plus fort et lui claquer le cul à tour de bras.
La chienne crie de plus en plus fort, mais ses sons sont étouffés par la bite de l’étalon, qui sans crier gare, commence à envoyer la sauce qui se fraie un chemin aux coins des lèvres de la suceuse.
Elle retire la queue de sa bouche, tout en la masturbant, pour asperger son visage avec cette impressionnante quantité de foutre.
Quand son fouteur voit la scène, il se retire de son cul et la tourne pour qu’elle soit assise par terre, sous le ventre du cheval, pendant qu’elle prend une douche de foutre chaud. Il se branle et lui aussi, laisse partir quelques bon jets de sperme qui atterissent sur le visage déjà souillé. Pour finir, elle suce la grosse queue du mec tout en branlant l’étalon. Elle est couverte de foutre.
Et moi, j’ai jouis trois fois en regardant la scène. Ma main est trempée de cyprine et je la lèche comme une chienne qui nettoie son chiot.
Je suis décidée. Bientôt, je sucerai un étalon en me faisant enculer et peut-être aussi, me faire enculer par un autre étalon, pourquoi pas?
Un léger son de cloche me sort de ma rêverie. C’est Facebook qui m’avertis qu’on a répondu à mon message. C’est tonton Jacques!

— Salut petite pute! Tu fais quoi? — Je lèche ma main pleine de jus de chatte…— Vrai? Tu pensais à ta tante?— Non, je regardais une fille qui se faisait enculer pendant qu’elle suçait un étalon…— Sale petite cochonne…— Hihihi!!— Tu me fais bander. — Je sais. Tu vas m’aider?— À quoi?— À me faire sauter par le curé!— D’où tu sors toutes ces idées perverses?— De mon esprit pervers. Je suis une vicieuse, tu le sais maintenant!— Je le sais trop bien! J’ai bandé toute la journée en repensant à ce qui s’est passé hier soir, chez-moi!— C’était cochon hein? T’as aimé?— Oui, beaucoup! T’es vraiment une salope insatiable!— Je sais! Et alors? Le curé?— Tu es sûre de vouloir faire ça?— Et comment! C’est cochon, c’est sale c’est immoral, c’est pervers et vicieux…— T’as raison, c’est tout toi!— Ma chatte remouille… J’aime être cochonne et salope… — C’est bien vrai que tu veux baiser ma femme avec moi? — Oh oui! Et elle adorera se faire lécher la fente et le cul par sa cochonne de nièce. Tout viendra en temps et lieu. Je ne brusquerai rien.— Comme dans mon fantasme…— Ce sera encore mieux que dans ton fantasme… Ça sentira le foutre!— J’aimerais que tu sois ici et que tu me branle doucement avec ta petite main douce…— Je te branlerais en te disant des saloperies…— Oui… Et tu me sucerais?— Oui, quand tu veux. Tu penseras à comment je pourrais faire pour me faire baiser par le curé?— Oui. Je vais trouver un moyen. Je bande déjà. J’ai hâte de te voir te faire labourer par sa Sainte queue. Ça m’excite plus que tu ne pourrais le penser. Ça m’excite vraiment beaucoup…— Mmmm… Tu es aussi cochon que moi, dis-donc!— Petite salope! Je communique avec toi demain pour te faire part du plan.— Parfait. Je suis excitée! — Bonne soirée, ma nièce cochonne! Xxxx— Bonne soirée, tonton cochon! Xxxxx
Et voilà! Bientôt, je me ferai défoncer par le curé qui m’a baptisée, qui a baptisée ma fille Mia. C’est également lui, jeune et nouveau curé de la paroisse, qui avait mariés mon père et ma mère, il y a un peu plus de vingt cinq ans.
Et c’est lui qui a dirigées les funérailles de mon père, deux mois après son mariage, à l’âge de vingt cinq ans. Ma mère en avait vingt trois.
Je suis née neuf mois après que mon père ait trouvé la mort dans un accident de la route. Ma mère était enceinte sans le savoir.
Mon père aurait 50 ans aujourd’hui, presque le même âge que tonton Jacques. Qui sait, peut-être est-ce lui que j’aurais choisi pour me sauter et me défoncer et m’aider à me vautrer dans le vice et la perversité.
C’était un bel homme, grand, aux épaules larges et un sourire ravageur. Pas étonnant que ma mère en soit tombée amoureuse. Je l’ai déjà imaginé dans mes fantasmes, en train de limer le cul de sa salope de fille. Je me demande ce qu’il pense de ce qu’il voit de moi, à partir du paradis? Peut-être se branle-t-il?
Putain, j’ai vraiment un esprit pervers!
Ma mère, la sœur de tonton Jacques, a 48 ans. C’est une très belle femme assez grande et aux formes là où il faut. Mon corps ressemble au sien, soit dans la grosseur des nichons, la rondeur des fesses, la finesse de la taille, qui fait paraître notre cul encore plus rond et attirant.
Elle ne s’est jamais remariée et à ma connaissance, n’a pas eu non plus d’amoureux. On dirait qu’avec la mort de son mari étant jeune, elle s’est fermée à toute union. Peut-être a-t-elle eue des aventures d’un soir, mais je ne m’en suis jamais aperçue et je n’ai jamais posé de questions.
Ma mère est peut-être la seule personne au monde que je n’ai pas imaginée baiser. Pourtant, elle est jolie, elle a un corps superbe et à la limite, elle a un air cochon. Mais je ne l’ai jamais vue dans mes fantasmes et c’est bien comme ça. J’ai bien essayé de m’imaginer comment mes parents m’ont conçue. Mon père l’a-t-elle prise en levrette, dans la position du missionnaire ou était-elle assise sur sa queue? Je n’en sais rien…
Bon, je vais au lit. C’est épuisant à la longue de penser seulement au sexe et de mouiller presque en permanence.
J’ai peine à trouver le sommeil, excitée par notre prochaine saloperie. Je dois me doigter à quelques reprises en m’imaginant les scènes les plus cochonnes. Je ne suis pas longue à venir et à mouiller mes draps.
J’ai un jour cherchée la définition de dépravée, car je crois que c’est mon état.
Ça disait : Dépravée: Personne perverse, qui a perdu tout sens moral.
C’est une bonne description de moi. Je suis cochonne, impure, luxurieuse, vicieuse, amorale, un peu sadique, dévergondée, libertine, débauchée, perverse, immorale, pervertie. En un mot, une véritable salope… et je m’aime bien ainsi.
Je m’endors finalement en pensant à la bite du curé, qui ramonera mes trous bientôt.
À suivre
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