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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 11

Trash
Il est à noter, que bien que je ne parle pas souvent de ma petite fille Mia, elle est toujours en sécurité pendant mes débauches. Je n’alourdis donc pas le texte en expliquant que je la câline, que je joue avec elle, que je la lave etc.
Le lendemain matin, je me réveille avec en tête, la bite du curé. J’en suis obsédée. Je me précipite à mon ordi, me conecte à Facebook, pour voir si tonton Jacques a arrangé le coup.
Il est en ligne!
— Salut tonton! Et puis?— Et puis quoi?— Le curé!— Je viens de me lever petite cochonne! Laisse-moi le temps!— C’est long! Il t’en faut du temps!— Tu es vraiment obsédée tu sais?— J’en ai rêvé cette nuit…— Et si j’allais bouffer ton petit cul et ensuite t’enculer bien fort, ça te calmerais?— Oui vraiment, mais j’ai Mia avec moi alors, tu comprends…— Oui. Essaie de patienter quelques heures, je te promets de régler ça.— Fais vite! J’ai la chatte et le cul en feu!— C’est comme ça que je t’aime… salope!— J’aime bien quand tu me dis, salope…— Vraiment?— Mmmmm… Oui…— Tu es ma petite salope à moi…— Et tu aimes me défoncer?— Oui, j’adore défoncer les trous de ma salope de nièce…
Ça y est! Me voilà partie à mouiller encore. Dans un effort de volonté :
— Je te laisse tonton. J’ai à m’occuper de Mia. — Ok. Je te donne des nouvelles aussitôt que c’est réglé. Ciao xxxx— Ciao xxxxx
Le reste de l’avant midi se passe assez bien. Je réussis à ne pas trop penser à ce qui occupe mon esprit depuis quelques heures déjà. J’en profite pour faire le ménage et dépoussiérer la maison. Je vais quand-même voir à toutes les heures si je n’ai pas eu un message de tonton Jacques.
Vers 11 :30, enfin! Message de tonton Jacques!
— Salut petite salope! J’ai arrangé le coup avec le curé, mais malheureusement, tu ne te fera pas sauter dans l’église comme tu le voulais. Pas aujourd’hui en tout cas. C’est qu’il reçoit des paroissiens en confession cet après-midi et il y aura du monde dans l’église. Si tu veux faire la salope, ce sera au confessionnal. Je sais que tu pourras bien t’en sortir. Rends-toi à l’église vers 13 :30h et fais la file pour aller te confesser. Joue le jeu de la jeune innocente. Il t’aime bien déjà et est bien heureux de ton projet. Je crois que c’est un cochon. Il y aura des suites, crois-moi! Comme je ne travaille pas aujourd’hui, je serai chez-toi vers 13 :15, j’irai m’occuper de Mia. À tout à l’heure. xxx
Le confessionnal.. c’est mieux que rien. Je ferai bander ce vieux cochon. Ça m’excite beaucoup! Je lui dirai mes péchés avec beaucoup de détails.
Le curé Émile est dans la fin cinquantaine. Il n’est pas dénué de charme. Il est très grand, 1m90 et a une bonne carrure. Il est assez autoritaire, mais bien gentil quand-même. Je le connais depuis l’enfance. Il est arrivé au village vers le milieu de la trentaine. Omme j’ai déjà dit, c’est lui qui m’a baptisée.
Au baptême de Mia, j’ai remarqué qu’il reluquait mes gros nichons de coups d’œil furetifs. Et quand je me suis approchée de lui, avec Mia dans mes bras pour qu’il lui verse l’eau bénite sur le front, j’ai sentie sa main frôler une de mes fesses. Ça m’a fait tout drôle et ça m’a excitée.
Alors donc, je me prépare. J’enfile une jupe noire assez sobre, qui s’arrête au haut du genou. J’aime bien cette jupe, elle moule parfaitement mon cul rond et comme je ne porterai pas de culotte, il n’y aura pas de marques disgracieuses sur mes fesses. Je choisi ensuite un soutient-gorge de dentelle blanche, le genre qui remonte mes seins pour me faire une raie incroyablement invitante. Je recouvre le tout d’un chemisier blanc, lui aussi très sobre.
Je laisse mes cheveux raides tomber sur mes épaules et je me maquille, mais pas trop. Bien que je sois une salope, je ne dois pas me maquiller comme telle. Les pires salopes sont les plus discrètes.
Tonton Jacques arrive enfin.
— Oh là là!! Tu es vraiment jolie tu sais!— Tu trouves? Ça ne fait pas trop salope?— Non, pas du tout. Un petit air cochon, tout au plus.— Viens là…
Je l’attire à moi et nous nous embrassons. Je bouffe sa langue, déjà excitée à la pensée de ce que je m’en vais faire. Il masses mes fesses et relève ma jupe.
— La cochonne… elle n’a pas de culotte!— Tu aimes?— Oui! Je te retournerais bien sur le mur et je te limerais bien fort ma petite salope.— Arrête, je dois partir…— Bon, très bien. Tu me raconteras tout?— Oui, sois sans crainte. — À plus tard.
Un dernier baiser et je quitte pour l’église.
À mon arrivée, il y a déjà du monde. Je vais dans la file de droite. Il y a une personne devant moi. C’est madame Julie. Une dame dans la cinquantaine, très gentille. Nous discutons tout bas, et puis, vient son tour d’entrer dans le confessionnal. Trois autres personnes font la file derrière moi, et autant dans la file de gauche. Ça m’excite d’aller faire des saloperies dans un confessionnal avec des gens qui attendent à l’extérieur!
Madame Julie sort enfin. J’entre et m’agenouille. Je déboutonne quelques boutons de mon chemisier et replace mes nichons dans leurs bonnets pour améliorer ma raie et je mets le tout en évidence en me penchant vers l’avant.
Le curé Émile termine avec la personne de gauche et ouvre le panneau derrière le grillage de mon côté. Ses yeux se portent immédiatement sur mon décolleté. Comment aurait-il pu faire autrement? Son regard s’illumine quand il voit mon visage, mais il reste solennel.
— Dis-moi tes péchés mon enfant. T’accuses-tu de quelque écart de conduite?— Oui mon père, j’ai péché.— Quel genre de péché?— Le péché de la chair, mon père.
Je fais une moue de gamine fautive en baissant la tête et en le regardant avec des yeux de chiot triste.
— Je vois. Et…— Il y a autre chose mon père…— Oui?— Le plaisir solitaire. Je me touche souvent.— Ah bon… Et tu aimes ça?— Oh oui. Vraiment beaucoup mon père.— Et tu le fais souvent?— Six ou sept fois par jour, mon père…
Il fait une légère pause, comme pour accuser le coup.
— Et tu penses à quoi quand tu te touches les parties intimes?— Je pense à des hommes qui mettent leurs gros pénis dans mon petit vagin, mon père.
Autre légère pause.
— Je vois. Autre chose?— Je pense à des femmes qui lèchent ma vulve et mon anus.— … Tu aimes te faire lécher la vulve et l’anus? — Oui, beaucoup mon père. — Et toi, tu aimes en lécher?— J’adore ça mon père. J’aime aussi lécher et sucer des pénis.
Pause un peu plus longue.
— Et ces pénis, à part les prendre dans ton vagin et les sucer, tu fais autre chose avec?— Je ne sais pas si je dois le dire…— Tu dois tout me dire mon enfant. C’est pour le salut de ton âme. — Je sais…— Je crois que je devine. Tu aimes les prendre par le cul?
Là, je commence à mouiller sérieusement. De mes deux mains, je relève ma jupe pour mieux me caresser.
— Oui! J’adore ça mon père!— La sodomie est un grave péché!— Je sais mon père, mais je ne peux m’en empêcher…— Bon, nous verrons tout à l’heure pour ta pénitence…— Il y a autre chose, mon père…— Ah oui?— Je fais l’amour avec un homme marié…— Je vois… — C’est mon oncle, le frère de ma mère…
Je vois sa respiration s’accélérer. Je me doigte de plus en plus vite et ma respiration s’accélère elle aussi.
— J’ai aussi péché en pensées…— C’est-à-dire?— Je voudrais baiser la femme de mon oncle, avec lui…— Hum hum… Oui… autre chose?
Je le sens troublé. Sa respiration est maintenant haletante. Je déboutonne complètement mon chemisier et je masse un de mes seins tout en me masturbant.
— J’ai remarqué au baptême de ma fille que vous regardiez mes nichons, mon père. Ils vous plaisent mes nichons?— Je dois avouer…— Et vous aimez quand je les masse comme ça?
Il me regarde tripoter ma grosse poitrine en passant la langue sur mes lèvres.
— Oui… j’aime bien. Et quels sont tes autres péchés en pensées, mon enfant.— Je veux me faire sauter par vous, mon père. Que vous défonciez mes trous. Ça vous plairait?— …
Je baisse mon soutien-gorge pour lui dévoiler mes gros nichons dont les téton sont pointés et prêts à éclater.
— Vous les aimez mes gros nichons, mon père?
Je pousse mes seins vers le grillage, et mes tétons s’infiltrent dans deux des trous.
— Léchez-les, mon père.
Il approche et pose sa langue sur mes mamelons en érection. Je gémis doucement.
— Tu es excitée, petite cochonne?— Mmmm… oui…— Fais voir ton cul…
Je me lève et tourne vers lui, mes fesses déjà dénudées.
— Quel joli cul tu as. Écarte bien tes fesses, je veux voir le trou.
Je m’exécute, et en me penchant vers l’avant, je peux coller mon cul ouvert, dans le grillage. Je sens le bout de son doigt chatouiller ma rosette. Il l’enfonce légèrement. Je valse doucement du cul. Mes doigts chatouillent ma chatte. Je sens que je vais jouir.
— Retournes-toi et mets-toi à genoux.— Vous arrêtez déjà, mon père?
Je lui fais une moue d’ado en massant mes nichons.
— Ton âme est en perdition mon enfant! Je ne peux te donner de pénitence ici. Tu devras venir me voir au presbytère ce soir. Tu recevras la fessée. Il faut que ton cul soit purifié par mes soins. Je vais t’introduire la foi.— J’aimerais voir votre queue, mon père. Vous me la montrez, là, maintenant? Elle est grosse?— Petite salope… Sois au presbytère à 19 :00 et ne sois pas en retard!
Et il me referme le guichet au nez. Je finis de me faire jouir en m’imaginant sa queue dans mon cul. Je lèches mes doigts humides de ma mouille, je replace mes vêtements et je sors. 5 personnes attendent leur tour. Monsieur Roger me regarde, inquiet.
— Eh bien mon petit, le curé est de mauvaise humeur? Il t’a donnée une grosse pénitence? Ta figure est toute rouge!— Euh oui, il est d’humeur un peu spéciale. Au revoir!
Je quitte précipitament en réprimant un sourire. Je suis fébrile en pensant à la soirée qui m’attend.
À suivre…
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